Conclusion Sur Le Livre De Candide

que les œuvres de fiction sont un moyen efficace de convaincre le lecteur : en effet, le genre du conte philosophique se distingue avant tout par un récit plaisant et divertissant que le lecteur a beaucoup de plaisir à suivre : c'est le cas de Candide de Voltaire, publié en 1759, qui retrace les ridicules aventures du jeune personnage éponyme : pour agrémenter le plaisir de lecture, certains éléments comiques permettent de dérider le lecteur, comme la leçon de « métaphysique appliquée » de Pangloss

une grande diversité littéraire puisqu'il est l'auteur d’œuvres philosophiques et historiques, de contes, de tragédies, de poésies ainsi que des lettres et des essais. Ses œuvres les plus connues sont Lettres philosophiques (1734), Zadig (1747) et Candide (1759). Le texte qui nous intéresse ici est un extrait de La Princesse de Babylone parut en 1768 écrit par Voltaire, c'est un conte philosophique d'inspiration Orientale. Cet extrait raconte l'histoire de Formosante qui est la princesse de Babylone

religieuse, il célèbre la prospérité et le progrès comme les avancées de la science, il expose la doctrine du matérialisme de Locke, tout en affirmant une foi optimiste en la nature humaine : l’ouvrage devient un véritable manifeste des Lumières. Le livre est interdit pour ses idées réputées dangereuses. - Au château de Cirey, il écrit des tragédies (Zaïre, La mort de César…) et des comédies (Nanine). - 1738 : se passionne les sciences, l’histoire, la philosophie, et écrit ses Éléments de la philosophie

Chap. 1  : Comment Candide fut élevé dans un beau château et comment il fut chassé Château du baron de Thunder-ten-tronckh en Vestphalie (Westphalie) Candide  : doux, esprit simple, jugement droit, les anciens domestiques de la maison soupçonnent qu'il est le fils de la sœur du baron et d'un bon et honnête gentilhomme du voisinage. Sa mère ne voulut pas l'épouser car il n'avait que 71 quartiers et le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l'injure du temps. Mr le baron  : un

oeuvre puissante ...La grâce ,et mélancolie touchant le personnage principal (exceptionnel Romain Duris ) réduit l 'articulation du métrage autour de scènes de une beauté palpable et enivrante ..Jacques Audiard (César du meilleur film et réalisateur) livre un manifeste rarement abouti... La caméra bat au rythme de son interprète, balancée entre explosion de violence et déferlement de passion,cette passion que Thomas" Romain Duris" Seyr exerce avec brio ,cette toccata en mi mineur BWV 914 de Johann Sebastian

efficace. J’ai consumé mes jours à raisonner sur la liberté de Dieu et du genre humain, mais j’ai perdu la mienne ; ni saint Augustin ni Prosper ne me tireront de l’abîme où je suis. » L’Ingénu, livré à son caractère, dit enfin : « Voulez-vous que je vous parle 25 avec une confiance hardie ? Ceux qui se font persécuter pour ces vaines disputes (3) de l’école me semblent plus sages ; ceux qui persécutent me paraissent des monstres

quitter la nature mais il pense que l’on est vraiment homme qu’à partir du moment où l’on appartient à une communauté de langage, qui organise l’économie, la violence,… ». L’organisation sociale est donc indispensable. Ensuite, dans le conte ‘’ Candide ‘’ de Voltaire, la morale de l’histoire est que le travail permet à l’homme de s’enrichir, d’accéder à la vie sociale, d’être en contact avec d’autre et de se rendre utile ce qui permet d’accéder au bonheur. La société qui permet ce travail humanise

par la conclusion. En premier lieu, nous pouvons nous rendre compte que la citation de l’auteur est cohérente avec notre situation actuelle. Nous remarquons aisément que la plupart du temps, les romans dont on entend le plus d’écho, sont en grande partie des romans qui parlent de notre condition humaine. Ce sont des romans auquel le lecteur peut s’identifier aisément. Pour illustrer, prenons l’exemple du célèbre livre « Thérèse Raquin » écrit par le très controversé Emile Zola. C’est un livre parlant

subit. Par exemple, Candide dans « Candide » de Voltaire, où ce jeune-homme a réussit sur un point de vue morale. Au début de l’œuvre, il est très simplet et naïf. Il ne croit que son percepteur Pangloss, qui prône la théorie que « tout est au mieux dans le meilleur des mondes ». Mais, au fil du roman, Candide voit la réalité de la vie. Même s’il dit souvent « Pangloss disait… », il se forge sa propre opinion et murit psychologiquement. On constate à la fin de l’histoire que Candide a beaucoup appris

d'un apologue peut être explicite mais aussi implicite. Pour cela nous verrons tout d'abord qu'un apologue est plus abordable lorsque sa morale est formulée explicitement puis l'apologue peut parfois être meilleur quand sa morale est implicite. Conclusion : Quand la morale d'un apologue est explicite cela permet au lecteur de s'axer sur cette morale pour sa lecture ce qui lui permet de comprendre le point de vue l'auteur sans ambiguïté par rapport au texte. Il retiendra plus facilement la thèse