[Plan choisi : plan antithétique.]

Introduction :

Nous lisons tous des romans. Si l’on varie le genre de roman on peut parfois observer que le héro ne réussit pas tout le temps. En revanche, le personnage possède toujours : des caractéristiques, un portrait, une fonction et un certain degré de psychologie. C’est pourquoi nous pouvons nous demander si un héro de roman doit-il forcément réussir pour exister et avoir sa place dans son roman. Soit, y-a-t-il d’autres moyens pour lui d’exister ? Nous analyserons ce sujet dans un plan constitué de deux parties. L’une abordera la nécessité d’une réussite pour exister. La suivante se chargera d’étudier l’existence du personnage sans avoir réussi.

Développement :

PARTIE 1 (thèse) : Dans une première partie nous verrons que certains romans impliqueront que leurs personnages réussissent pour exister.

1) Tout d’abord, quelques romans ont tracé un destin bien défini qui mènera le personnage à la réussite.

A. D’une part, on observe la volonté de représenter un idéal, une réussite parfaite, parfois avec beaucoup de complexité. Comme, Octave Mouret dans « Au Bonheur des dames » d’Emile Zola, qui a parfaitement réussi l’ouverture de son magasin dédié aux femmes. Ceci lui a fait atteindre le bonheur et l’idéal qu’il convoitait tant. B. D’une autre part, il faut illustrer la supériorité du héro qui a réussit. Celle-ci ce caractérise par une image symbolique d’un personnage tout en haut, pendant que les autres sont tout en bas. Cette métaphore filée peut rendre compte d’une réussite (sociale, économique ou autre). Ainsi, on retrouve ceci avec Georges Du Roy dans « Bel-Ami » de Guy de Maupassant. Ce personnage a réussi à gravir les échelons de la réussite et se retrouve « tout en haut de la pyramide ». Il est au sommet de sa gloire lors de son mariage, où il est vu comme un roi, car il se comporte comme tel.

2) Ensuite, la réussite est souvent représentative.

A. En effet,