Conclusion Sur Le Socialisme

Chapitre 3 : le socialisme en ​​Russie-Union Soviétique 1917-39 En  août 14, la Russie était une puissance démog , rapidement industrialisée, puissance libéralisée (régime constitutionnel en 1905 après des révolution : assemblée consultative : la Douma) pendant la G : union sacrée : cette G fait voler en éclat ce colosse au pied d’argile - Caractère multinational : bcp d’éléments halogènes ¼ - Des faiblesses éco : l’indus repose sur des kx étrangers, limités géographiquement (Petrograd, Moscou

crise 2. Le « printemps de Prague » : la libéralisation de la Tchécoslovaquie 3. L’inévitabilité de la réponse armée soviétique II. Pologne 1980-1981 : l’apocalypse du modèle soviétique 4. L’échec économique de la construction d’un socialisme national 5. Comme cause un large mouvement ouvrier 6. La menace d’intervention de Moscou. L’inhabituelle patience. 7. La répression interne III. Les conséquences internationales de l’intervention en Tchécoslovaquie et de la crise

. . . . . . . . . . 3.1. Ses origines historiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3.2. Ses idées maîtresses. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Bibliographie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37 39 42 62

favorisant l’antagonisme des classes. Par exemple, ils s’intéresseront au socialisme réactionnaire, qui se présente sous 3 aspects. Le socialisme féodal est celui de l’aristocratie. Sa motivation est menée contre la bourgeoisie, soi-disant au profit de la classe ouvrière exploitée. Mais dans les faits, les féodaux reprochent à la bourgeoisie de ne pas avoir pu étouffer l’élan révolutionnaire du prolétariat. Il y a aussi le socialisme petit-bourgeois prônant le retour aux valeurs passées, par une diminution

bien que diverses illustrent bien le profond divorce qui s'opère entre deux courants de la gauche, les communistes et les socialistes. Si l'on veut schématiser, on peut dégager trois grands courants au sein de ce qui constituait avant la guerre un socialisme relativement uni : une parti a défendu jusqu'à l'issue du conflit l'union sacrée et souhaite rétablir L'internationale précédente, une autre, prolongement de la gauche de Zimmerwald, soutient la révolution bolchévique et constitue des Pcs partout

politique socialiste et de ses conditions historiques nécessaires obligent à admettre que, dans des conditions aussi défavorables, l'idéalisme le plus gigantesque et l'énergie révolutionnaire la plus ferme ne peuvent réaliser ni la démocratie ni le socialisme, mais seulement de faibles rudiments de l'une et de l'autre. Bien comprendre ce fait, avec toutes ses conséquences profondes, est un devoir élémentaire pour les socialistes de tous les pays. Car ce n'est qu'à une telle compréhension amère qu'on

passé en agissant à l’inverse des opposants dit classiques de l’État libéral. Le fascisme a la main lourde contre tout type d’opposition politique. Définissons tout d’abord les deux ennemis cités dans le texte, c'est-à-dire le libéralisme et le socialisme. Libéralisme est une idéologie politique qui s'est développée dans le cadre général de la philosophie des Lumières. Le libéralisme économique (capitalisme) considère que la recherche du profit et de l'intérêt personnel constitue le moteur du

La SFIO de 1905 à 1969 Introduction Le parti socialiste SFIO, Section Française de l’Internationale Ouvrière, naît en 1905 de l’unification de divers mouvements socialistes. Le socialisme français hérité du 19° est tributaire des théories de Marx et de doctrines plus spécifiquement françaises. Le socialisme peut être défini comme une doctrine sociale visant à la réforme radical de l’organisation de la société par la suppression des classes sociales, grâce à la collectivisation des moyens de production

L’exposé des théories marxistes inscrit donc une rupture d’ordre méthodologique ( rupture avec l’idéalisme historique hégélien) , par laquelle Marx prétend construire une philosophie qui se veut scientifique. B) Rupture avec le socialisme, / le marxisme un socialisme scientifique Marx prétend par là se distinguer des autres socialistes qu’il taxe d’utopistes. Pour marx ceux-là ne s’adonnent qu’à une simple critique du temps présent alors que lui prétend défendre une conception plus profonde

pour détruire définitivement les vestiges du monde bourgeois. Selon Staline, la "construction du socialisme dans un seul pays" passe nécessairement par un développement forcené de l'industrie, moyen d'affirmer la puissance soviétique face au monde capitaliste qui "assiège" l'URSS. Dans ce cadre de pensée, l'activité des PC européens est réorientée vers le soutien inconditionnel à la "patrie du socialisme". II: L'État Totalitaire. 1: Un État partisan et centralisé. L'État passe sous la coupe