Conclusion Sur Marivaux

fasse arrêté. Ou encore dans Don Juan et le festin de Pierre où Molière s’inspire du zanni Brighella pour créer le valet de Don Juan : Sganerelle… Molière n’a pas été le seul inspiré par ce théâtre italien. En effet, nous pouvons remarquer que Marivaux, écrivain du XVIIIème siècle, utilise le personnage d’Arlequin dans La Double Inconstance ou L’Île aux Esclave et Pedrolino est à l’origine du Pierrot français. Les Guignols, le pantomime français et le cinéma comique muet avec Charlie Chaplin aussi

MARIVAUX – Act I, scène 8 L'entrée en scène d'Arlequin Intro : c'est le 1er acte de la pièce. Résumé de l'intrigue. Après l'entrée de Dorante, déguisé en Bourguignon, et sa rencontre avec Silvia (déguisée en ...), voici l'entrée d'Arlequin avec ses "gros sabots". Pb : En quoi l'entrée en scène d'Arlequin met-elle en valeur les oppositions ? I Opposition sur le plan du langage (en part : début jusqu'à "autant vaut") Dès le début : réplique 1 s'oppose à la réplique de Dorante son tutoiement s'oppose

encore de rideau de scène, si bien que les changements de décor sont rendus impossibles. Il n’y a pas de coulisses donc les acteurs restent sur scène même lorsqu’ils ne jouent plus. Toutes ces contraintes rendent difficile la vraisemblance. 4. Conclusion Le théâtre au Moyen Age est très ancré dans la réalité et très en lien avec la société dans laquelle elle s’épanouit. Il naît en se démarquant de la littérature épique et romanesque. Il prône les valeurs inverses à celles que développe la littérature

celui de prédire l’avenir à ceux qui pouvaient l’y contraindre). Tantôt le genre est compris par opposition à la tragédie, pour désigner une pièce dont les personnages appartiennent à une humanité plus moyenne et dont les péripéties trouvent une conclusion plus heureuse, tantôt pour le distinguer de la farce, par son expression plus décente, plus conforme à la vraisemblance et plus chargée d’intentions littéraires. Le mot « comédie » a, en outre, souvent renvoyé à toute espèce de théâtre. Genre

est rendu possible grâce à des mises en scènes menées par des stratèges. Ces meneurs de jeu jouent presque un rôle de dramaturge car ils sont au courant de tous les stratagèmes et sont les seuls à ne pas être trompé. Dans les Fausses Confidences de Marivaux, ce rôle de stratège est interprété par Dubois, le valet d’Araminte qui dès le début de la pièce, acte I scène 14 met en place des stratagèmes. Il va en effet confesser l’amour de Dorante pour Araminte à celle-ci. Il conservera ce rôle tout au long

dans les pièces à machines, importance du spectaculaire ➢ Dom Juan de Molière > la statue du Commandeur Ex : au XVIIIe siècle, le personnage d’Arlequin est reconnaissable grâce à son costume à losanges. ➢ Le Jeu de l’Amour et du Hasard de Marivaux Ex : au XIXe siècle, dans le drame romantique : le décor, d’une grande précision, réaliste, est essentiel au spectacle. Il permit d’insérer une « couleur locale » dans la pièce. Il en va de même pour les costumes des comédiens. ➢ Victor Hugo

Progression annuelle Séquence 1. Lumières et contestation (Objet d’étude 1 : Un mouvement littéraire et culturel français et européen du XVIème au XVIIIème siècle) Corpus : GT (Montesquieu, Voltaire, Beaumarchais)+œuvre choisie : L’Ile des esclaves de Marivaux Lecture complémentaire : Candide de Voltaire Séquence 2. Argumenter et délibérer (Objet d’étude 4 : Convaincre, persuader et délibérer : formes et fonctions de l’essai, de la fable et du conte) Corpus : GT (1. Essai : Baudelaire 2. Trois fables

Mme Courrin Français 1ère Marivaux, Les Fausses confidencesLL1 : l’exposition du stratagème (I, 2)De « DORANTE-Elle a plus de cinquante mille libres de rente » à la fin de la scènePrésentation de l’œuvre :Présentation de l’extrait : L’acte I est l’acte d’exposition : les scènes 1 et 2 permettent une exposition rapide et efficace. Après avoir été introduit par Arlequin dans la scène 1, Dorante est rejoint par Dubois. Les fausses confidences

sous une forme différente. elles ont une place très importante même si elles sont parfois discrète et se limitent en général a indiquer les déplacements, les entrées et sorties des personnages. Elles sont complètement inexistantes dans le texte de Marivaux et très discrètes dans le texte de Molière. Par contre, pour Musset, les didascalies sont plus directes et franches. Dans le prologue de Jean Anouilh, sont présentés et décrits les acteurs qui vont interprété Antigone. Deuxièmement, Il semble

=aparté passage d’acteur (il existait) à spectateur (« je vois ») : S prend le public à témoin de sa détresse et montre qu’il a été convaincue, il n’est plus Sosie=rire. Conclusion : Procuration du rire grâce à la complicité des spectateurs (avec double énonciation). Il en va de même pour Le Jeu de l’amour et du hasard de Marivaux ou le rôle de travestissement du personnage est révélé. Le spectateur connait tout et comprend les quiproquos (=comique).