Concordat De Bologne

annates (impôt versé par l'E des titulaires de bénéfices, chaque fois que les bénéfices changeaient de mains, le successeur devait acquitter à la cour de Rome un impôt qui était égal à un montant annuel du revenu de l'évêché. Conséquences du concordat de Bologne. Droit contraire au droit gallican, ils sont tous d'accord pour supprimer les annates car il y'a la une intervention inacceptable du pape dans les affaires de l'église. ) Le texte se termine par l'affirmation des principes révolutionnaires

l’affirmation de la dépendance du pouvoir laïc au pouvoir spirituel : on est à l’apogée de la théocratie pontificale. Cependant, les successeurs de Grégoire VII sont plus modérés et des terrains d’entente vont être trouvés avec les princes. Le Concordat de Worms en 1122 affirme que l’évêque est librement élu par un collège de chanoines et de dignitaires ecclésiastiques et qu’il est ensuite consacré par l’archevêque. Le pouvoir laïc n’intervient qu’après : le roi investit l’évêque des biens liés

y avait les "liver pau perum" prêtés pour un an. Les livres été composés de cas pratique, textes et de comparaisons.   c) Les post glossateurs d'Orléans Vers 1250 vers Orléans avec maitre Jacques de Revini et Pierre de Belleperche et en Italie à Bologne avec Azon et Accurse. Ils s'attachent aux commentaires pour but de trouver des solutons pratiques. Ces auteurs vont adapter ce droit romain en se détachant des textes. Le droit romain est enseigné à Orléans depuis 1219 après décision du pape d'interdire

C’est la redécouverte du droit romain. Personne ne comprend très bien. A Rome le Pape avait quand même conservé les textes. Fin XIIème siècle, afin de comprendre ces textes assez obscurs, des facultés de droit sont reconstituées. Par exemple : fac de Bologne en Italie, à Montpellier, Paris, Orléans, et aussi Oxford. A partir du XII et XIVème siècle, apparaissent des facultés de droit d’est en ouest, et la dernière c’est en Russie. Dans ces facultés on enseignera uniquement le droit romain, dans toutes

obligé de venir s’excuser devant le pape, il va a Canossa car le pape va jusqu’au château du pape en 1075, donc l’empereur va s’humilié devant le pape. Finalement, la crise abouti a une transaction en 1122 l’empire et la papauté passe la concordat dit le concordat de Worms, où il y aura un choix conjoint des évêques entre la papauté et le pouvoir politique. - Utilisation du clergé régulier : on a vu les monastères en conflit avec les évêques et ont été la fer de lance de la réforme grégorienne.

d’indulgences « qui déçoivent le simple peuple ». Mais, en Toscane et en Lombardie, Jérôme Savonarole, son contemporain et émule, inclinait vers la tradition apocalyptique de Joachim de Flore. Né à Ferrare p021 en 1452, novice aux dominicains de Bologne, il était, en 1481, entré à San Marco de Florence. Scolastique et thomiste, il fut d’abord peu écouté. Pourtant, de 1486 à 1489, il prêcha dans les villes lombardes, où son éloquence tragique émut violemment les âmes. Laurent le Magnifique le rappelait

à un problème sur une question juridique. Consulter un juriste ce n’est pas si fréquent que ça  et ça coute très cher, a l’époque c’est réservé à une élite. Au 13e siècle, on raconte que consulter un juriste (un jurisconsulte) de l’université de Bologne, cela coute un château. Pourquoi il y a relation étroite entre pensée juridique et doctrine c’est que la pensée juridique s’exprime essentiellement par le biais de la doctrine c'est-à-dire les juristes. Mais il faut repréciser que la pensée juridique

à papa ». A partir d’une telle situation, un contentieux se développe jugé par les parlements. Il y a un lien entre le fait que la royauté déforme l’Eglise et la dégradation morale et religieuse d’où s’en suit un besoin de réforme. Le concordat de Bologne : traité en 1516 qui va un peu améliorer le texte de la pragmatique mais à peine car sur le fond c’est une légalisation de la situation de fait. Le pape retrouve une partie de son contrôle de la régularité canonique de l’élection mais une partie

demande à son parlement d'enregistrer un accord diplomatique passé avec le pape que l'on appelle un concordat de Bologne. Cet accord est fondamental pour les relations entre le pape et la France puisqu'il a fixé durablement jusqu'à la fin de l'ancien régime au moins l'essentiel des relations, du partage du pouvoir entre le pape et le roi de France sur tous les aspects temporels de l'Eglise. Ce concordat a essuyé un certain nombre d'opposition et de contestations des Parlements qui trouvent pas que le

grâce au Roi. Le Gallicanisme religieux suppose le Gallicanisme politique et progresse parallèlement à la souveraineté royale (il en est un des aspects). La pragmatique sanction est un régime défavorable au Roi ; cela conduira à la signature du Concordat de Bologne en 1518 par François Ier mettant fin à la pragmatique sanction de Bourges (le Roi peut alors choisir lui-même les évêques et contrôle l’Eglise française) TITRE 5 : Droit justice et souveraineté royale (P29) A partir de la fin du 13ème