Concordat De Bologne

gallicane, dans un de ses aspects tout au moins : le gallicanisme politique, en France depuis la fin du moyen age les deux grands pouvoirs : spirituel et temporel étaient enchevêtrés, le roi intervenait dans la marche du pouvoir spirituel. Le concordat de Bologne lui même n’a été enregistré par les parlements que a la suite d’une lettre de jussion qui demandait expressément de le faire, l’église aidait le roi et recevait en contre partie un certain nombre d’avantages. Le pape d’ailleurs, avait l’habitude

son royaume, ce sera aux dépens de ses relations avec Rome. B/ Église de France  Le conflit avec la papauté … Louis XIV est un monarque de droit divin, il estime donc avoir un droit de regard sur les affaires de l’Église. Depuis le concordat de Bologne de 1516, le roi est le maître du haut clergé, c'est-à-dire qu’il nomme les évêques, qui recevaient ensuite l’investiture canonique du pape. Rome et le roi de France agissaient alors tous les deux en bon terme. En 1673, éclata l’Affaire de

Justinien avaient été reniées, puisque l'Empire Romain était tombé. Avec les Croisades, elles sont redécouvertes. Occident confronté à des textes de droit qui paraissent peu compréhensibles. On crée donc les premières facultés de Droit: faculté de Bologne en Italie, puis faculté de Montpellier, puis faculté de Paris et d'Orléans, puis dans le reste d'Europe pendant des siècles. La Russie n'a de faculté qu'au XVIIIème siècle. Pendant des siècles, on n'enseigne que le Droit Romain, jamais le Droit National

plus de liens étroits (le centre de gravité du rapport litigieux). Ex. Un litige porte sur l’aptitude au mariage d’un milanais vivant à Bologne : - si le milanais vit de façon permanente, et depuis longtemps, à Bologne, il est logique d’appliquer la loi bolognaise car il n’a plus de lien caractérisé avec Milan. - si le milanais ne vit à Bologne que de façon temporaire, alors le centre de gravité est Milan. - si l’on applique la méthode statutaire, l’aptitude au mariage

s’installe à Bologne où il réalise ses premières commandes comme artiste indépendant. 2. Les principaux mécènes de Michel-Ange furent les Médicis comme Laurent le Magnifique, les papes Léon X (1513-1521) ou Clément VII (1523-1534) ; les papes Jules II (1503-1513), et surtout Paul III (1534-1549) qui le nomme architecte, peintre et sculpteur du Vatican en 1535 et la cité de Florence pour qui il réalise le célèbre David en 1504. 3. Michel-Ange a réalisé la majorité de ses œuvres à Florence, Bologne et Rome

appliqués en Orient jusqu'en 1453 (c à d la chute de Byzance). Au 12ème siècle, les croisés rapportent d'Orient les textes de Justinien. Les hommes du temps saisissent assez mal la portée de ces textes et sont crées par conséquent les facultés de droit (Bologne, Montpellier, Paris). Ces textes, jusqu'au XIXème siècle, et en Allemagne jusqu'en 1900 sont étudiés dans les facultés de droit. Deux pays se distinguent : au XVIIème siècle, en Suède et en France, les rois crées une cour de droit national dans leurs

théocratie pontificale, conception dans laquelle le pouvoir pô et temporel sont aux mains du pape. Le problème de la désignation des evêques subsistent néanmoins. Dans le début 12eme, la apauté remporte la victoire avec la signature, en 1122, le concordat de Worms où l’empereur accepte le principe de libre election des evêques par les chanoines de la cathedrale. C’est une victoire pour la papauté car l’empereur ne pourra plus veritablement maitriser l’election de ses evêques et le pape n’hesitera

de la dépendance directe des rois = la papauté prétend avoir le pouvoir de contrôler l'action des puissances temporelles en raison des péchés que les rois et empereurs peuvent commettre dans leurs fonctions. Solution de compromis en 1022, avec le Concordat de Worms passé entre l'empereur Henri V et le Pape Calixte V : il s'applique à toute l'église chrétienne occidentale et prévoit une distinction entre les fonctions spirituelles de l'évêque, qui relèvent de l'élection canonique (l'évêque est consacré

de l'Empire d'Occident (Hannibal, lui-même, n'osera pas attaquer la ville de Rome). Entre le milieu du IVe et le milieu du IIIe siècle av. J.-C., Rome s'imposa aux peuples du centre de l'Italie, aux Gaulois qui, au Nord, étaient présents jusqu'à Bologne, et à l'Italie du Sud qui, hellénisée, la menaçait autant culturellement que politiquement (à Tarente, principal foyer de résistance, on parla grec jusqu'au milieu du Moyen Age et, aujourd'hui, dans certains villages isolés des Abruzzes, les vieilles

VII par « la pragmatique sanction de bourges » règle la discipline de l’Eglise, réduit les droits du Pape. Cette pragmatique sanction devait régler les rapports entre l’Eglise et le Roi de 1438 à 1516 a été appliquée. ⎝ 1516 : le concordat de Bologne qui a été négocié par François Ier renforçait l’influence du Pape sur l’Eglise de France et réservait au Roi la métrise du recrutement des évêques et des abbés des abbayes. A partir de 1516, le Roi avait acquis le monopole du recrutement du