Condition De Vie Des Soldats 14 18

pour dîner du pain et du rizn'ayant pas trouvé autre chose. […] Les Allemands font partir dans d'autres pays occupés des familles entières qui ne demandaient qu'à rester chez elles […] Cet enlèvement dure toute la semaine à Lille. Chaque jour des soldats allemands (20 par maison) baïonnette au canon arrivent dans un quartier vers 3 heures du matin, font lever tout le monde et emmènent des hommes, mais surtout des femmes et des jeunes filles de 20 à 35 ans pour les conduire on ne sait où. Il y a des

profondément dans le rétablissement de la paix : inspirer aux soldats de la confiance : idée du bon rois préoccupé de son royaume. * proposition complétive circonstancielle de cause introduite par « car »   ( 12-14) : 2 propositions successives qui montre qu’il a combattu pour se défendre : seul chose légitime dans la guerre : critique de la guerre inutile . 2) l’attitude de Gargantua envers les prisonniers * les libères sans condition : (3-4) gradation + suivit de mesure concrètes « vous recevrez

s’en va – sans un au revoir, à ses regrets. XIX / (203-211) : Madame de Flers (veuve noble improvisée infirmière) – accompagne le narr jsq Clémence ds la salle commune – tte la nuit à regarder Clémence – délire nocturne du soldat à côté – dernier soupir vers le matin – le soldat d’à côté (Albert Jovinal) meurt aussi ; enterrement de BdJ (narr n’y est pas : pas le cœur) – pr Clémence, 6 à l’enterrement – cauchemar la nuit suivante – saoulerie ; tentation de suicide ; puis l’enfant est amené par 1 sœur

sérieux avec la civilisation, impossible de se connaître profondément. « Nous vivons dans une illusion »[1], c'est la conclusion à laquelle arrivera Sigismond après la connaissance de ses racines. La vie est un songe, pièce de théâtre la plus réputée de l'oeuvre de Pedro Calderon de la Barca, expose la vie en tant qu'illusion. Par la démonstration de pairs, de doubles et de structures formelles symétriques, cette oeuvre célèbre écrite pendant le Siècle d'Or espagnol propose une interprétation métaphysique

entendu un rôle important sur la vie sociale des gens en général et donc de l'auteur. Mais vis à vis de l'auteur en particulier, cette influence est limitée, on peut la considérer comme une parenthèse dans sa vie. Il était médecin écrivain avant la guerre, il le redeviendra après la guerre et on ne peut pas dire qu'elle a bouleversé la vie de cet humaniste. 4.2 Le genre Le livre est une autobiographie partielle en effet, l'auteur raconte une époque déterminée de sa vie, une époque difficile et peu

lignes de front évolueront peu.  Dès 1915 la guerre change d’échelle : elle va se répandre sur l’ensemble de la planète à cause des empires coloniaux= mobilisation des troupes coloniales étant donné la grandeur de l’empire colonial.  2 millions de soldats coloniaux envoyés pour se battre + offensive à l’intérieur des colonies.  En même temps dans chacun des camps, les diplomaties sont mobilisées pour trouver de nouveaux alliés au fur et à mesure. La triple Entente gagne à ce jeu pendant la 1ère

comme contributrices essentielles à l’effort de guerre mais aussi comme grandes oubliées de l’après-guerre. Car si la guerre a pu représenter un temps d’émancipation pour les femmes, il s’agit d’une parenthèse qui se referme avec le retour des soldats dans leurs foyers. Les responsabilités qu’elles avaient obtenues prennent fin et les réformes attendues, comme l’obtention du droit de vote, n’ont pas lieu. Pourtant la guerre a eu des conséquences sur la place des femmes dans la société. On peut

extraits du début des romans, la première apparition du héros, à l'inverse des textes B et D qui constituent deux excipits. Chaque texte met en scène un personnage d'un âge plutôt jeune, Frédéric Moreau (texte C) : « Un jeune homme de dix-huit ans (l. 18) »  ; Julien Sorel (texte A) : « Un petit homme de dix-huit à dix-neuf ans (l. 39) » ; Eugène de Rastignac (texte B) : « l'étudiant » ; Bel-Ami faisant légèrement exception car d'un age sûrement un peu plus avancé. Pour les deux débuts de romans,

écrivain aux multiples visages et témoin de son siècle. Lui-même engagé dans l’aviation pendant la guerre de 14-18, on retrouve dans l’œuvre le conflit en toile de fond. Mais quelle vision de la guerre se dégage de ce roman ? Tout d’abord, L’Equipage offre au lecteur une vision réaliste de la guerre et donne au roman une valeur de documentaire ou de témoignage, en particulier sur la vie des aviateurs, en 1918, dans la région de la Marne, comme en témoignent les multiples références aux lieux qui

s’accumulent. C’est à dire que les soldats qui ont résistés à la guerre, meurent pour la plupart de la grippe espagnole. Ce bilan humain aussi lourd entraine une multiplication des monuments aux morts. Le plus souvent, ces derniers servent à honorer ceux qui ont perdu la vie. Cette marque de respect est des plus importante car 80 % des combattants de cette guerre avait moins de 40 ans et ont sacrifié leur vie pour leurs pays. L’Ossuaire de Douaumont abrite les restes de 130 soldats. Une multiplication importante