Condition féminine

réflexion qui doit vous inciter à relire l’oeuvre et vous donner de nouvelles pistes de réflexion. Introduction : Lorsque Laclos publie les Liaisons dangereuses en 1782, le terme « féminisme » n’existe pas encore, mais la question de la condition féminine et de la place des femmes dans la société est bien au centre des débats de l’époque. Un certain nombre d’entre elles s’imposent dans le milieu très fermé de la société aristocratique en recevant artistes, penseurs et écrivains dans leurs salons

le principe de l’égalité de rémunération entre les hommes et les femmes pour les travaux de valeur égale. En 1974, les frais de contraception sont remboursés par la Caisse d’assurance maladie. En 1974 également, le secrétariat d’Etat à la Condition féminine a été créé. En 1975, la loi interdit la discrimination sexiste à l’embauche, préconise l’égalité des époux pour choisir le lieu de résidence. La loi Veil autorise l’interruption volontaire de la grossesse (IVG) et la pilule contraceptive est

lui sert encore au moment où elle écrit. Elle apparait comme un personnage instruit, elle cherche à connaitre la nature humaine, desceller la vérité des gens. C’est un personnage qui sera difficilement dupé. C’est une lettre qui révèle la condition féminine dans la haute société du 18eme. Fille = femme non mariée. Son statut la condamne au silence et à l’inaction. Silence  elles n’ont pas le droit de penser, de proférer une opinion. Inaction  elles n’ont aucun pouvoir de décision. « On me croyait

TPE Le statut et la condition de la femme : le paradoxe de l’Inde Année 2010-2011 [pic] «  En Inde, bien veiller à n’être ni chien, ni veuve. » Henri Michaux Un barbare en Asie Introduction L’Inde, grand pays du continent asiatique, peuplé de plus de 1 milliard d’habitants fait partie des pays dits émergents. Malgré un dynamisme remarquable sur bien des plans tel que l’économie, la croissance, la jeunesse de la population … l’Inde garde des aspects très traditionnels qui entravent

agit sous la haute autorité du ministre de l’Emploi et de la Solidarité en charge des Droits des Femmes. (Source : www.infofemmes.fr ) 1.2 Evolution de la demande au sein du réseau : Elle est à l’image de l’évolution de la condition féminine où les femmes veulent devenir des personnes capables de faire des choix : de décider ! La demande s’est d’abord tournée vers des questions de Droit : pour les femmes qui veulent assurer leur existence juridique propre. Puis, ce sont les

marché du travail ne cessent de perdurer car elles vont tomber enceinte car les embaucheurs sont machos ! Elles ne touchent pas le même salaire que les hommes en effectuant le même travail ! Comment faire ? Nous ne cessons d’évoluer mais la condition féminine stagne dans certains pays, voir n’a jamais évoluée pour d’autres, c’est pourquoi nous devons changer cette inégalité même si des religions disent que la femme est inférieure, même si elle est considérée comme t’elle a l’égard des hommes. Nous

Révision linguistique Pierre Sénéchal Collaboration à la révision et soutien technique : Francine Bérubé Direction Marie-Andrée Allard Hélène Harvey Nathalie Savard Partenaire financier Secrétariat à la condition féminine du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine Éditeur Conseil du statut de la femme Direction des communications 800, place D’Youville, 3e étage Québec (Québec) G1R 6E2 Téléphone : 418 643-4326 ou 1 800 463-2851 Télécopieur : 418 643-8926 www

constant pour se faire accepter aussi bien professionnellement que dans la société ou même au sein de sa propre famille. Pourquoi la femme n’était-elle pas égale à l’homme au XIXème siècle ? L’est-elle aujourd’hui ? Pourquoi l’évolution de la condition féminine transforme-t-elle radicalement notre culture et l’ensemble des rapports sociaux ? La problématique porte principalement sur l’égalité entre l’homme et la femme mais aussi sur le rôle de la femme dans l’ensemble de nos rapports sociaux. Les

difficile pour elle, beaucoup plus difficile que pour les hommes (l 25-26 : hyperbole « une infinité de ressources pour être heureux ») CONCLUSION Une conception originale du bonheur ; inattendue, car elle repose sur une conscience nouvelle de la condition féminine Mme du Châtelet s’inscrit dans un nouveau combat qui commence à poindre, celui de la reconnaissance de la femme, et qui s’amplifiera dans les siècles suivants Thème cher aux philosophes du 18e : nécessité de développer la connaissance du monde

droit des femmes dans la famille "La femme doit obéissance à son mari ". Jusqu'à une date récente, le droit des femmes dans la famille fut marqué par l'esprit qui présida à la rédaction du Code civil en 1804. Toutefois, l'évolution de la condition féminine et des moeurs ont eu raison de ce Code dont les féministes, en 1904, célébraient le centenaire par un autodafé. Le Code civil de 1804: la puissance maritale fait de la femme une mineure à vie. En codifiant l'infériorité de la femme mariée