Conférence de Copenhague de 2009 sur le climat

et d'un désenclavement très poussé de la majorité de son territoire. 2- Des potentialités importantes pour les activités primaires, tertiaires et pour le tourisme • Le climat français est essentiellement tempéré : océanique sur la façade atlantique, plus continental à l'Est du pays, méditerranéen au Sud-Est. C'est un climat particulièrement favorable aux activités agricoles. La France est une très ancienne puissance agricole, elle est le grenier de l'Europe. Ses grandes plaines = agriculture céréalière

et une diminution de 5,2% des gaz à effet de serre en moyenne d’ici 2012 par rapport au niveau de 1990. En plus selon le protocole de Kyoto , la Conférence des parties a décidé que les valeurs de PRG (potentiel de réchauffement global) calculées dans le deuxième rapport d’évaluation du GIEC (Groupe d'experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) doivent être retenues afin de convertir les diverses émissions de gaz à effet de serre en unités comparables d’équivalent CO2, lors des calculs

international. → protocole de Kyoto → réduction des gazes à effets de serre. Certains pays réagissent différemment, les principaux producteurs sont aussi les plus pollueurs. Ils s'opposent à des mesures trop sévères. En décembre 2009, la conférence de Copenhague sur le climat à été un échec. L'énergie nucléaire suscite de grandes inquiétudes : • dangerosité de la radioactivité de l'uranium ( premier producteur d'uranium : Canada ) • La gestion des déchets → Tchernobyl en 1986 en Ukraine Cependant

fonction de l'exploitation des ressources naturelles jusqu'en 2100 (chute brutale des populations en raison d'une pollution croissante, de l'appauvrissement des sols cultivables et de la raréfaction des ressources énergétiques). – 1972 : une conférence des Nations unies sur l'environnement humain à Stockholm expose notamment l'écodéveloppement et les interactions entre écologie et économie. – 1987 : une définition du développement durable est proposée par la Commission mondiale sur l'environnement

Faut-il réduire la population mondiale pour sauver la planète ? La question est devenue récurrente. A tel point que le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) a affirmé dans son rapport de 2009 sur l'état de la population mondiale, présenté lors de la conférence de Copenhague le 18 novembre 2009, que le réchauffement planétaire ne peut être endigué que par une réduction massive de la population mondiale.   Quasiment au même moment, un rapport, élaboré par la London School of Economics (LSE)

de 1972, année où elle a connu une série de calamités écologiques. Le premier ministre en place avait établit un groupe qui a comme but de protéger les réservoirs d’eau du pays et également de préparer la participation de la Chine à la première conférence de l’ONU sur l’environnement humain en 1973. Le gouvernement à également créé deux comités permanents pour la protection de l’environnement. Malgré la mise en place d’une législation environnementale, la protection de l’environnement reste une priorité

est-elle possible ? ------------------------------------------------- La conférence de Copenhague en décembre 2009 devrait marquer une étape importante pour affronter les dérèglements climatiques de façon globale . Comme l’indique le vice président du groupe international d’expert sur le changement du climat (GIEC) , il n’ y a plus de temps à perdre pour limiter le réchauffement climatique à 2°C par rapport au climat préindustriel . il faut diviser les émissions de gaz à effets de serre par

en perspective : La taxe sur le carbone est une initiative proposée par la fondation Nicolas Hulot lors des élections présidentielles de 2007 et paraphée par l’ensemble des candidats. Nicolas Sarkozy en propose les grandes lignes en septembre 2009 : « la taxe concernera les énergies fossiles. Elle entrera en vigueur le 1er janvier 2010. Et sera progressive : elle est fixée au départ à 17 euros la tonne de CO², pour les ménages comme pour les entreprises » (France Info, 2010). La proposition

politique ne va pas sans heurts car elle remet en cause les choix de développement du Nord et du Sud et posent en particulier la question cruciale de l’énergie. I. Le bilan scientifique Le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (GIEC) est un organisme fondé en 1988 par l’Organisation météorologique mondiale et le Programme des Nations Unies pour l’environnement. Sa mission est de rassembler des données scientifiques, techniques et socio-économiques pertinentes afin d’envisager

mesures de réduction des émissions de gaz à effet de serre jugées trop sévères, ce qui a entraîné en décembre 2009, l’échec de la conférence de Copenhague sur le climat. De plus, certains pays se retrouvent régulièrement en conflit pour des raisons financières et donc l’énergie est aussi un puissant levier de pression dans les relations internationales. Par exemple, en janvier 2009, la Russie a décidé d’interrompre ses livraisons de gaz à l’Ukraine car l’Ukraine refusait de payer son gaz à