Conflits Débats Affrontements

gestion des conflits dans l’entreprise Mémoire réalisé pour l’obtention du Diplôme Universitaire Supérieur de Gestion des Entreprises Présenté par Jean-Luc GALIZIA Année universitaire 2000 – 2001 8 Jean -Luc GALIZIA. Mai 2001 SOMMAIRE INTRODUCTION : DE LA CRISE AU CONFLIT ………………………………….….10 A. Le conflit  A1. Les conflits réalistes et irréalistes  A2. L’éclatement du conflit B. Les origines du conflit  B1. Première approche  B2. Deuxième approche C. Les conflits larvés et conflits

*1er phase= but est d’acquérir des territoires. 2ème phase de la géopolitique 1945-1975 La géopolitique était associée au racisme au déterminisme racial. Au nazisme. La deuxième discréditation du géopolitique conflit entre pays marxiste et pays de mer. On ne fessait pas appel à la géopolitique pour expliquer les crises. La corporation des géographes a tout fait pour discréditer cette science. On avait une opposition de marxiste et non marxiste et l’affrontement

raisons qui tiennent de l’armement. Il faut des minerais donc on les recherche. L’hellénisation de ce monde se déroule pendant environ 2 siècles. SECTION 1 : PHASE MILITAIRE Traditionnellement, les combats se faisaient surtout avec des affrontements de chevaliers, aristocrates, de cavaliers. Les combattants appartiennent aux grandes familles appelés les eupatrides, c’est-à-dire ceux qui sont bien nés. Cela est dû au fait que les soldats s’arment à leurs frais. On a donc en permanence l’exaltation

Humanisme Université du Québec à Montréal (Canada-Québec) Par Corinne GENDRON Chaire Économie et Humanisme École des sciences de la gestion de l’Université du Québec à Montréal (Canada-Québec) Le concept de bonne gouvernance, désormais au centre du débat sur le développement humain durable et l’aide aux pays du tiers-monde, soulève un ensemble de questionnements et met en jeu un certain nombre d’enjeux sociétaux. Chargé d’un fort contenu néolibéral, le concept est proposé par les institutions de Bretton

On observe que les religions servent souvent de socle d’identité culturelle, mais que dans les sociétés marquées par l’essor des sciences physicomathématiques et de la technologie qui l’accompagne, l’autorité religieuse décline et fait l’objet de débats, de contestations, comme en témoigne par exemple la montée du scepticisme en Europe au 18e siècle, ou bien d’indifférence. On s’interrogera alors sur les conditions, le sens et la portée du jugement critique, dont la religion fait l’objet. Peut-on

actantielle, si un personnage n’a pas de position, cela veut dire que votre histoire est mal ficelée. On peut avoir plusieurs schémas à l’intérieur d’un schéma dramatique, schéma secondaire. La grammaire du récit (l’intrigue dramatique) valorise le conflit, (ou il ya contradiction entre les quête) et la validité de certains de c’est outils d’analyse est limitée. La grammaire du récit permet d’analyser l’action en privilégiant non seulement les étapes de son évolution (situation initiale, transformation

les États-Unis. • Le discours de Fulton prononcé par Churchill en mars 1946 est le premier événement qui annonce l’opposition entre l’Ouest et l’Est : un « rideau de fer , de la Baltique à Trieste » divise désormais l’Europe en deux. • Le premier affrontement a lieu en Grèce où les Britanniques n’arrivent plus à soutenir les monarchistes opposés aux communistes (soutenus par l’URSS) ; les États-Unis décident donc de prendre la relève : une aide financière est tout de suite accordée à la Grèce et à la

y a dans « Le Chevalier de la charrette » un épisode, à première vue secondaire, qui a pourtant la particularité de mettre en évidence une problématique propre aux implications du triangle courtois1. Il s’agit de l’épisode du Pré aux jeux avec le conflit père-fils qu’il met en scène, sujet qui a une certaine importance puisqu’on lui constate une récurrence dans ce roman. Outre l’évidente rivalité entre Méléagant et son père Baudemagu, qui serait d’ailleurs annoncée par les personnages de l’épisode

en contre point, la montée en puissance de l’OMC en tant que pivot potentiel de la gouvernance mondiale. Quoi qu’il en soit, les termes du débat ont changé. On parle de gouvernance mondiale et non plus de nouvel ordre mondial. Ce glissement n’est pas fortuit. Il tient à la place considérable qu’occupe désormais la question de la mondialisation dans le débat public. Tout se passe en effet comme si la mondialisation introduisait un nouveau questionnement planétaire, comme si la mondialisation nous

résistances à cet ordre mondial insupportable se sont exprimées de façon contradictoire. La théorie du choc des civilisations, mise en pratique par des responsables politiques peu scrupuleux, pour servir les intérêts de leur cause, a fait grandir des affrontements dangereux et sans issue à l’échelle planétaire. Le terrorisme, qui pousse sur le terreau de la domination des peuples, est devenu le nouvel ennemi public. Dans ce contexte, le peu de prix accordé aux vies humaines constitue un traumatisme sérieux