Conflits Et Mobilisation Sociale

28ème éd., 2006 - JEAMMAUD A., "Conflit/litige", in D. ALLAND et S. RIALS (dir.), Dictionnaire de la culture juridique, PUF, 2003, p. 255 - JESTAZ Ph., "Pouvoir juridique et pouvoir moral", RTD civ. 1990, p. 626 - LEBRETON G., Libertés publiques et droits de l’Homme, Armand Colin, 7ème éd., 2005 - MAZEAUD H., "Les notions de Droit, de justice et d’équité", in Aequitas una bona fides, Basel, 1955, p. 229 - NOREAU P., "La superposition des conflits : limites de l’institution judiciaire

Épreuve composée Cette épreuve comprend trois parties. 1 – Pour la partie 1 (Mobilisation des connaissances), il est demandé au candidat de répondre aux questions en faisant appel à ses connaissances personnelles dans le cadre de l’enseignement obligatoire. 2 – Pour la partie 2 (Étude d’un document), il est demandé au candidat de répondre à la question en adoptant une démarche méthodologique rigoureuse de présentation du document, de collecte et de traitement l’information. 3 – Pour la partie 3 (Raisonnement

s'opposent radicalement en raison de leurs intérêts dans les relations internationales. En fonction de leur armement et de leur diplomatie, les États-Unis et l'URSS font entrer le monde dans un système où les alliances qu'ils animent déterminent les conflits, contrairement à tout ce qui s'était passé dans les années 1920 et 1930. En conséquence, le monde entre dans une période de guerre froide jusqu'en 1954 (expression de Baruch, conseiller de Roosevelt). Cette phase de paix armée évolue en "coexistence

de crise)- Pierre Fabre) ; formulation de lois tendancielles (sociologie électorale (André Siegfried) => analyses stratégiques (calcul sur les choix rationnels des électeurs et analyses écologiques (insertion de l’électeur dans son environnement social, religieux, etc). A l’inverse, ces discours sont différents du discours du politiste : * Discours de l’acteur engagé (militants, élus, intellectuels) expose des jugements de valeur. * Discours du philosophe expose la question des valeurs

Le syndicalisme : La place des syndicats dans la société : Le syndicalisme est le mouvement qui vise à unifier au sein de groupes sociaux, les syndicats et les professionnels pour défendre des intérêts collectifs (hausse des salaires, meilleures conditions de travail, baisse du temps de travail, lutte contre le licenciement, etc., pour les travailleurs). Le terme « syndicalisme » s'applique, dans son sens le plus courant, à l'action au sein des syndicats de salariés, et par extension, à celle

étroites, étayées par des poutres, pendant la guerre sur le front. 2. Qui est le dirigeant de l’Allemagne ? Le kaiser Guillaume II. Il est à la tête d’une vaste armée. 3. A quelle date la France mobilise-t-elle ? Le 1er août (1914) à 16h00 la mobilisation générale est décrétée. 4. En novembre 1917 qui incarne la volonté de vaincre ? Quel est son surnom ? Georges Clemenceau, président du Conseil, incarne la volonté de vaincre de la France. Il a pour surnom : le Tigre. 5. Quelles troupes sont

l’avantage de la légitimité- apparaissent comme les plus gds exemples de crime organisé » = extorsion des ressources sur les populations, forme de racket légal. Etat = naissance accidentelle (fait de contingences historiques) ≠ doctrines du contrat social (Grotius, Hobbes, Rousseau) qui évite la guerre de tous contre tous. L’Etat n’est pas naturel, sa construction est due à un processus historique. 2-3. L’Etat et les bandits, le cas de l’empire Ottoman. * Karen Barkey, Bandits et bureaucrats

FICHE DE RÉVISION THÈME 2 : LA GUERRE AU XXème SIÈCLE CHAPITRE 1 : LA PREMIÈRE GUERRE MONDIALE : L’EXPÉRIENCE COMBATTANTE DANS UNE GUERRE TOTALE DEFINITIONS Guerre totale : Mobilisation de toutes les forces d’un Etat pour gagner la guerre (sur terre, sur mer, dans les airs, sur le plan économique,…). Guerre de mouvement : Combats caractérisés par le mouvement des armées (qui entraîne de constantes modifications du front). Guerre de position : Stabilisation du front, les combats

de la cour du roi se met en place. La cour est une transformation sociale. Transformation sociale ( valeurs ( normes de comportements ( ethos ( formation sociale. Ce dispositif va-t-il finir par disparaître ? La cour de France est un modèle pour les autres pays ainsi que pour son peuple. Dans la cour, les nobles vivent chez le roi (Versailles) et c’est là que tout se décide. La cour est une configuration sociale/formation sociale qui peut varier de taille, dans celles-ci les individus sont liés

que sur les recherches plus récentes sur la culture hip hop, il tente de comprendre certaines conduites violentes des jeunes à partir du sens que ces acteurs leur attribuent. Il est amené ainsi à s'appuyer fortement sur la notion de représentation sociale, dont la représentation de classe peut être considérée comme un exemple parmi d'autres. 1. Violence et modernité : faux débats civilisationnels, vrais enjeux socio-politiques Quel est le sens des violences urbaines ? Parmi