Conformisme Jeunes

syntaxe, les sonorités et les jeux de répétition intègrent la guerre à la vie familiale, sans que cela provoque d’émotion. On peut penser qu’à travers cette évocation, Prévert dénonce une véritable absence de vie de famille. 
III/ La dénonciation du conformisme 
Le titre du poème sonne de manière ironique : quelle est cette vie de famille qui accepte la guerre et la mort avec autant d’indifférence ? 
1/ L’ironie du texte
 ·        L’adjectif, au féminin, pourrait s’appliquer aux mots « vie » ou « atmosphère »

complémentaires mais parfois en concurrence (conflits) La fonction de contrôle social Le contrôle social constitue l'ensemble des pressions qu'exerce la société sur l'individu pour l'amener à se conformer à ses valeurs et à ses normes. Le conformisme s'oppose à la déviance. La socialisation contribue au contrôle social car elle renforce le contrôle social interne. Interne : l’individu fait lui même son autocontrôle car il a été socialisé. Externe : la société se donne les moyens de rappeler

deux parties, la première sera consacrée à l’influence majoritaire dans toute leur formes, alors que la deuxième portera sur l’influence sociale minoritaire. PLAN INTRODUCTION AXE I : INFLUENCE MAJORITAIRE I) La formation des normes II) Le conformisme III) OBÉISSANCE ET SOUMISSION AXE II : INFLUENCE MINORITAIRE I) La déviance II) Le conflit III) L’innovation CONCLUSION BIOGRAPHIE DES AUTEURS BIBLIOGRAPHIE ET WEBORAPHIE AXE II : INFLUENCE MAJORITAIRE 1) LA FORMATION DES NORMES Pour

Ils ne pensent pas, ils récitent des slogans “intellectuels”.» La pièce met en scène une petite ville tranquille soudain bouleversée par la métamorphose de ses habitants en rhinocéros. Seul Bérenger, un marginal qui refuse toutes les formes de conformisme, n’est pas atteint. Au dénouement, il s’interroge sur sa situation : ne serait-il pas plus simple de faire comme tout le monde ? Mais il garde ses certitudes : « Un homme qui devient rhinocéros, c’est indiscutablement anormal », et son langage,

selon Breton, laisserait transparaître ce qu’il nomme « notre non conformisme absolu ». Mais quelles sont les caractéristiques que requiert un comportement afin d’être jugé non-conformiste ? Par quels moyens les surréalistes parviennent-ils à atteindre leur idéal, à créer cette surréalité qui n’est autre que le dépassement du réel et de la conscience ? Le non-conformisme invoqué par Breton ne relève-t-il pas finalement d’un conformisme des surréalistes qui se fourvoient en s’imaginant être modernes

cette ville est vivante. Mais l’impression générale est négative. Les Tokyoïtes sont comparés à des robots : la société japonaise est décrite comme uniforme. Les habitants agissent de manière automatique, conforme à une norme. L’auteur critique se conformisme de la société car chaque groupe doit respecter les usages établis, la tradition, les codes vestimentaire. L’auteur compare aussi les Tokyoïtes à des termites dans leurs termitières : la société japonaise est organisé comme celle de ces insectes

phénomène de massification, par le biais de l’absurde, tant dans le contenu que dans la forme de la pièce Rhinocéros. Pour ce faire, l’auteur démontre que les personnages suivent tous un mouvement de masse et atteignent le même but et il aborde le conformisme en exagérant l’innocence des personnes qui entourent le personnage principal, soit Bérenger. Premièrement, dans la pièce Rhinocéros, de/d’ O/G Ionesco, il présente des personnages qui suivent tous un mouvement de masse, c’est-à-dire qu’ils vont

infraction. -Les problèmes familiaux : Certains jeunes livrés à eux-mêmes, évoluant dans un noyau familial instable, ou au contraire élevés dans une famille trop conformiste ou étouffante, se tournent, par détresse ou besoin de s’exprimer, vers des actes de délinquance. -L’insertion sociale : L’échec scolaire et le sentiment d’exclusion peuvent entraîner une baisse de motivation, une perte de confiance en l’avenir et pousser certains jeunes vers la délinquance. -Le groupe d’amis : Il se

». (p.141) Les effets du groupe. Dans son opposition à l'autorité, l'individu est faible, mais le groupe est fort. Le conformisme est l’attitude du sujet qui agit à l’instar de ses pairs, des gens de son statut, n’ayant aucunement le droit de lui dicter sa conduite. Le terme obéissance sera réservé au comportement du sujet qui se soumet à l’autorité. Comme pour le conformisme, l’individu abandonne à des sources externes l’initiative de son action. « Tout directeur compétent d'un système bureaucratique

cohérence des attitudes et comportements ? Les influences sociales Différents travaux à voir : -La normalisation : situations ou il n’y a pas de norme établie et ou les sujets s’influencent réciproquement en vue de former une norme commune -le conformisme : situation où les individus se soumettent aux normes dominantes * la soumission a l’autorité : influence qu’exerce un individu dont on reconnait l’autorité (politique, administrative..) * influence minoritaire (innovation) : phénomène d’innovation