Conférence Des Non Alignés Au Caire 1964

occidentaux se sont alliés contre l' Axe Rome-Berlin-Tokyo, c'était une alliance de circonstance parce que les soviets sont contre le capitalisme. Suite à la victoire des Alliés, Occidentaux et soviétiques se partagent le monde : conférences (Avant même la victoire au Caire, Yalta, Postdam), ils dessinent des aires d'influences (URSS > Europe de l'Est, USA > Europe de l'Ouest). A partir des années 47/48, les relations entre l'Occident et les Soviétiques se tendent. Début de la guerre froide en octobre

vise surtout la situation en Europe comme nous aurons l’occasion de le voir ; dans la réalité les tensions demeurent mais sont déplacées vers le Tiers Monde qui devient un enjeu pour les deux grands comme en témoigne la guerre du Vietnam par exemple (1964-1975). Il se déplacent également vers le Moyen-Orient où la question israélo-arabe - apparue dès 1948 et la création de l’état d’Israël - ne cesse de se rappeler au bon souvenir de la communauté internationale en 1967 et 1973. ♣ La période 1975-1991

sociale : les richesses doivent être partagées au profit de tous ; • la durabilité : les générations futures doivent être prises en compte (dimension à long terme du développement) ; • le développement doit être engendré par la population elle-même et non par une aide extérieure. Le développement, une notion ethnocentrique ? Une question se pose alors : ce que nous entendons par développement n’est-il qu’une certaine conception de ce que doit être le progrès humain, conception héritée des Lumières

sociale : les richesses doivent être partagées au profit de tous ; • la durabilité : les générations futures doivent être prises en compte (dimension à long terme du développement) ; • le développement doit être engendré par la population elle-même et non par une aide extérieure. Le développement, une notion ethnocentrique ? Une question se pose alors : ce que nous entendons par développement n’est-il qu’une certaine conception de ce que doit être le progrès humain, conception héritée des Lumières

allemande. Inquiets, Chamberlain et Mussolini proposent la convocation d’une table ronde dans le but de régler à l’amiable le problème des Sudètes. La conférence se tient dans la nuit du 29 au 30 Septembre à Munich. Elle réunit Hitler, Mussolini, Chamberlain et Daladier. L’URSS et la Tchécoslovaquie ne sont pas conviées. A l’issue de la conférence, Hitler obtient le rattachement des Sudètes à l’Allemagne le 1er Octobre 1938. La paix est sauvée. Malgré ses promesses de ne plus chercher un agrandissement

politique. Un survol attentif des siècles confirme que les rapports fondamentaux qui ont régi la politique des pharaons et des Babyloniens, tant entre eux qu'à l'égard des autres nations, demeurent ceux que connaît la diplomatie contemporaine. Le Caire et Bagdad reflètent et perpétuent le destin de Memphis et de Babylone. Carte Irak : carte physique Carte physique de l'Irak.  Crédits: Encyclopædia Universalis France Consulter Dessin Irak : drapeau Irak (1963 ; modif. 2007). On retrouve ici les

donner à ces pays émergents un plus grand rôle au sein du FMI où la représentation des pays est encore régis par des rapports de puissance qui existaient au lendemain de la 2ème GM. C) La Banque Mondiale Elle a été créé en mm tps que le FMI à la conférence de Bretton Woods. C'est une source essentiel d'appui financier et technique pr l'ensemble des pays en développement. La Banque Mondiale dispose d'un organisme essentiel, la BIRD (bq internationale pr la reconstruction et le développement). Les

firmes transnationales, organisations non-gouvernementales…). Ces acteurs, autrefois jugés secondaires, n’étaient pas en mesure de contester à l’Etat sa primauté ; il est désormais indispensable d’admettre qu’ils disposent d’un plus grand nombre d’opportunités pour échapper à la tutelle étatique.  Les instruments de régulation de la vie internationale avaient été envisagés sous un angle exclusivement politique. L’émancipation progressive des acteurs non-étatiques imposa de prendre en compte d’autres

rapporte ces aveux présidentiels, poursuit : « Bouteflika confirme qu’au dernier moment, à l’époque, “ils avaient même fixé l’heure et le cérémonial de la prestation de serment”, mais qu’il s’était retiré, refusant de s’incliner devant les civils de la Conférence de l’entente qui, d’une main agile, voulaient faire du chef de l’Etat le fondé de pouvoir d’un conseil d’administration puissant qui lui donnerait des instructions ! » (2) Bouteflika, avec son souverain dédain pour ses compatriotes civils, ambitionnait

satisfaire les apôtres de la société internationale organisée. La mise à l’épreuve de la souveraineté de l’Etat par la solidarité internationale a conduit, après près de deux siècles d’évolution, à une pluralité des systèmes, pluralité qui fait disparaître non pas le système interétatique classique, mais uniquement son monopole. Encore faut-il noter que l’organisation internationale telle qu’elle est conçue aujourd’hui ne nie pas la souveraineté ni même ne la limite : c’est dans la volonté des Etats qu’elle