Congrégation pour les évêques

moche mais intérieur beau) Erasme y puise sa méthode. Tout ce qui est excellent est ce que l’on ne voit pas. Travail d’inversion silénnique : critique audacieuse des pouvoirs temporels et de l’Eglise (ex : Eglise désigne de l’extérieur : prêtre évêques … mais cette apparente humilité cache en réalité des abus). Le bon sens appartient aux fous et non au sage. Le fou est celui qui sait jouer la comédie de la vie. Les illusions sociales (sagesse, savoir, pouvoir) qui défont l’objet d’une satire sociale :

charge de l’enseignement et de l’assistance publique (la charité, les hospices, orphelinats, hôpitaux) → Gros patrimoine, richesses, mais services rendus à la collectivité 3 - Le roi intervient dans la nomination des membres du clergé (il nomme les évêques qui nomment les curés). Le Pape (chef spirituel de l’Eglise) se contente d’approuver ou de désapprouver les choix du roi (il donne l’investiture spirituelle). 4 - L’autorité du pape est limitée par celle du roi sur les questions temporelles (susceptibles

style néo-gothique est souvent adopté pour l’édification de nouvelles églises. Le renouveau culturel prend également la forme d’une reconquête des territoires : restaurer la foi catholique, rechristianiser le pays. Elle développe des missions, des congrégations masculines et féminines (celle du Bon Pasteur à Angers par exemple). Dans la première moitié du XIXe siècle, la reconstruction d’une société chrétienne est en marche mais s’oppose à la laïcisation de la société. 1848 marque un profond changement

celles à qui on a donné la souveraine puissance. le ne feindrai point de dire que, lorsque je formais mon raisonnement, j'avais en la pensée cette autorité que plusieurs donnent au Pape dans les royaumes qui ne lui appartiennent point, et que quelques évêques veulent usurper dans leurs diocèses hors de l'Église romaine; et que je voulais réfréner la licence que j'ai vu prendre à quelques sujets du tiers état sous prétexte de religion. Car, y a-t-il eu jamais aucune guerre civile dans la chrétienté, qui

Cahors. A chaque étape, secrètement, le moine Pierre et le Sieur Eudes s'entretenaient longuement avec tous ce qui compte comme personnalités locales influentes. Ainsi ils avaient échangés avec Gaston de Béarn et son frère Centulle, Amat d'Oloron évêque de Bordeaux, le Vicomte Roger de Gabaret, Pierre Vicomte de Castillon, Guillaume Amanieu de Benauges Seigneur de Benauges et de Saint Macaire, Bertrand de Taillecavat, Pierre Renaud de Genissac, Guéraud II de Gourdon et Guéraud III de Cardaillac …

écritures. Dans l’exercice de leur ministère pastoral, les évêques, en tant que successeurs des apôtres, sont les premiers témoins et garants de la tradition vivante dans laquelle les écritures sont interprétées à chaque époque. "éclairés par l’Esprit de vérité, ils ont à garder fidèlement la Parole de Dieu, à l’expliquer et à la répandre par leur prédication" (Dei Verbum, 9; cf Lumen Gentium, 25). En tant que collaborateurs des évêques, les prêtres ont comme premier devoir la proclamation de la

Régime, les relations entre l’État et l'Église sont réglées par le Concordat de Bologne de 1516. Le roi nomme la hiérarchie ecclésiastique. Le pape se réserve l’investiture canonique = vérification chez les candidats du roi des qualités requises. Les évêques nommant à leur tour les degrés moindres de la hiérarchie ecclésiastique. La tutelle romaine est lointaine, la tutelle royale est étroite. Le clergé est un ordre puissant, le premier ordre, titulaire d’importants privilèges, propriétaire d’un patrimoine

l’enseignement et de l’assistance publique (la charité, les hospices, orphelinats, hôpitaux) → Gros patrimoine, richesses, mais services rendus à la collectivité 3 - Le roi intervient dans la nomination des membres du clergé (il nomme les évêques qui nomment les curés). Le Pape (chef spirituel de l’Eglise) se contente d’approuver ou de désapprouver les choix du roi (il donne l’investiture spirituelle). 4 - L’autorité du pape est limitée par celle du roi sur les questions temporelles[1] (susceptibles

ce qui est alors considéré comme une chasse aux sorcières. Ferry sûr de son fait ne reviendra pas en arrière. Avec cette mise au pas de l’instruction publique, il va y avoir un véritable nettoyage et cela aura un effet direct sur la place des congrégations, 261 établissements vont être fermés et de nombreux religieux seront exclus de l’enseignement. Dans les années qui suivent, la base de l’œuvre scolaire républicaine est posée comme un service public. Ferry fera voter plusieurs lois. La loi sur

de faire comprendre l’origine du dogme et des pratiques religieuses qui structurent pour longtemps la vie de l’Occident chrétien. L’élève doit également percevoir l’élaboration progressive du christianisme et son organisation en Église (prêtres, évêques, conciles...). Le second point, consacré à la diffusion du christianisme, religion à vocation universelle, pose les problèmes essentiels des relations de l’Église et du pouvoir : comment une religion, dont les adeptes ont été parfois persécutés, devient