Congrès de Vienne

l’équilibre et du droit des gens ». Ce point de vue était partagé par TALLEYRAND (royaliste sous Louis XVI, Ministre des Affaires Etrangères de Napoléon, puis de Louis XVIII, puis ambassadeur sous Louis-Philippe) et CASTLEREAGH. Ce fut ici l’œuvre du Congrès de Vienne, qui redessina la carte de l’Europe (après la bataille de Waterloo) en tenant compte de deux principes : la légitimité et l’équilibre. Légitimité car les chefs d’Etats naturels sont des princes, et équilibre car les princes ont le droit de conserver

Un « printemps des peuples » italiens ? A l'issue du congrès de Vienne, dont l'acte final est signé le 19 juin 1815, le Chancelier et ministre des Affaires étrangères autrichien, Klemens von Metternich déclare : « l'Italie n'est qu'une expression géographique ». Il nie ainsi, dans un contexte de statu-quo et de domination autrichienne sur la majeure partie de la péninsule, toute idée de nation italienne. L’Italie en tant que nation n'existe en effet pas encore, puisque son territoire est morcelé

extrait du Traité de Paris du 20 novembre 1815 : « Les Puissances signataires de la déclaration de Vienne du 20 mars [1815] font, par le présent acte, une reconnaissance formelle et authentique de la neutralité perpétuelle de la Suisse, et elles lui garantissent l’intégrité et l’inviolabilité de son territoire dans ses nouvelles limites, telles qu’elles sont fixées, tant par l’acte du Congrès de Vienne que par le traité de Paris de ce jour… »11. Ce sont les puissances européennes qui ont consenti à

Plan détaillé : La France, au lendemain du Congrès de Vienne L’avènement de la Restauration sonne l’aboutissement d’une période agitée. De fait, la Révolution française incarne un geste politique fort à la racine de notre ordre démocratique et libérale. La monarchie prend fin avec la chute du roi Louis XVI, la France devient alors une République. L’impopularité des nouvelles institutions mène au coup d’état du 18 brumaire, en 1799, par Napoléon Bonaparte, générale de l’armée française. Il proclame

conflit opposant les patriotes grecs à leur ancien maître ottoman. Dès les premiers moments de la guerre d’indépendance, les chefs de la rébellion hellène prennent conscience que les grandes puissances européennes, liées entre elles par l’« ordre de Vienne », ne peuvent accepter l’indépendance de la Grèce que si celle-ci adopte un régime monarchique. Les patriotes partent donc à la recherche d’un prince étranger qui accepterait de régner sur leur pays, non sans attirer l’intérêt de quelques candidats

Suite à l’effondrement de l’empire Napoléonien en 1814, les monarchies Européennes souhaitent réorganiser l’Europe et rétablir l’ordre ancien qui veut dire le retour de la monarchie par le congrès de Vienne. On peut voir dans le tableau de François Gérard, Louis XVIII en tenue de sacre en 1814, cette peinture témoigne alors du retour à l’ordre ancien. Mais l’idée de rétablir la monarchie est très contestée, par conséquent, il y a une succession de révolution en France et en Europe comme on

remet-il en cause les décisions du congrès de Vienne de 1815 à 1848 ? Au lendemain de la Révolution Française, de nouvelles idées émergent dans les esprits européens. Ainsi, de nombreux penseurs, philosophes et les populations mêmes souhaitent reprendre l’exemple français pour faire tomber les monarchies. Face à ces nouvelles idéologies, les pays vainqueurs de Napoléon décident de se réunir pour réorganiser l’Europe : c’est le congrès de Vienne. Lors de ce congrès, les pays décident de redessiner

à mesure, progression du modèle, démocratie (démo conquise, acquise, octroyée) cette démo est souvent une démo de façade. Chapitre 1 : l’Europe de Vienne ou l’impossible effacement de la révolution française 1815 : on appelle Europe de Vienne car elle résulte du congrès de Vienne (1814-1915) pour mettre fin aux guerres napoléonienne, ce congrès met fin Europe révolutionnaire, logique est c’elle de l’effacement de la révolution, d’un retour à l’ordre prérévolutionnaire, d’un ordre ancien, Europe

Chap 2 : L’Europe entre restauration et révolution (1815-1848)Intro: Les monarques européens, en congrès à Vienne (1814-1815), tentent d'effacer l'empreinte de la RF et de l'Empire napoléonien et redéfinissent la carte de l'Europe. Ils effectuent une restauration de l'ordre ancien. Ces rois ne tiennent pas compte des aspirations des peuples à disposer d'eux-mêmes (notamment leur volonté

peur que des mouvements révolutionnaires ressurgissent incite les monarchies européennes à agir : les vainqueurs de Napoléon se réunissent au congrès de Vienne pour tenter d’effacer l’empreinte de la Révolution française et de l’Empire napoléonien et pour redessiner la carte de l’Europe.· Mais ces monarques ne veulent pas tenir compte des aspirations