Connétable

s’achever uniquement en 1557, le fait que le roi soit à l’origine de l’ordre de sa construction a certainement joué un rôle important pour qu’il l’ajoute huit ans plus tard. Quant au château de Chantilly, la raison qui l’a poussé à le citer est que le connétable, chef suprême de l’armée, était un homme des plus influents de l’époque et faisait partie des favoris du roi (Berlioz 492-3). Le chiffre de « neuf mille trois cent deux chambres » (l. 35-6), ce qui paraît des plus invraisemblables, constitue une

moyen d'un lit de justice . • François Ier utilise ces moyens pour renforcer son pouvoir. · Il accroît le domaine royal en lui réunissant les fiefs confisqués pour trahison au connétable de Bourbon en 1523, puis la Bretagne en 1532, en héritage de sa femme, Claude de France, fille de la dernière duchesse de Bretagne, Anne. · Il utilise la guerre pour discipliner la noblesse et affirmer son autorité

est signée à Tours en 1444. Charles VII dit " le Bien Servi " est entouré par de grands conseillers tel que Jacques Cœur ou sa maîtresse Agnés Sorel4. Les Anglais sont embourbés dans un conflit dynastique, la "guerre des Deux Roses ". En 1450, le connétable Richemont est victorieux à Formigny, achevant la reconquête de la Normandie. Dans le même temps, l'ost royal entreprend la reconquête de la Guyenne, Bordeaux est repris par les Français en 1450. La bataille de Castillon achève la reconquête du territoire

central Le roi est entouré de personnes de confiance à qui il demande conseil. Ce sont ses consilarii, des familiers, parmi lesquels on distingue les officiers du Palais et les antrustions. 1. Les officiers du Palais Ce sont le comte du Palais, le connétable – comte de l’écurie –, mais surtout le maire du Palais, intendant de la Maison royale, qui va s’imposer à tous les autres officiers et qui, au VIIe siècle, détient le pouvoir réel. 2. Les antrustions Ils sont membres de la garde royale, un serment

administrateur et un législateur. L’administration centrale qui gravite autour du roi porte le nom de palais. Parmi les fonctions les plus importantes : celles de référendaire (ou chancelier), de comte du palais (pour la justice), de comte de l’étable (connétable, responsable de l’armée), de trésorier et de monétaire. Le maire du palais est à l’origine l’intendant des domaines royaux ; c’est une fonction subalterne. Le palais n’est pas encore fixé dans une capitale. La royauté est itinérante et le restera

avec l’aide de Charles le Mauvais. 1360 8 mai Traité de Brétigny. Édouard III d’Angleterre renonce au trône de France en échange de l’Aquitaine. 1360 24 octobre Paix de Calais, ratification du traité de Brétigny. 1370 2 octobre Du Guesclin devient connétable. 1392 4 août Première crise de folie de Charles VI près du Mans. 1407 23 novembre Jean sans Peur, duc de Bourgogne quitte Paris après avoir fait assassiner Louis d’Orléans. 1414 23 mai Traité de Leicester marquant l’alliance entre l’Angleterre et

continuer la guerre. Il mettra alors par la suite en place, pour plus de contrôle sur les dépenses, un trésor de l’épargne. Chapitre 10  : alors que la France est en guerre contre Charles Quint et Henri VIII, Charles de Bourbon, connétable de France, prépare une trahison en vue de négocier un partage de la France dans une rencontre secrète le 11 juillet 1523. C’est surtout une vengeance pour Charles. Mais François Ier se doute de quelque chose, la trahison échoue. Chapitre

royales variées utilisant les ressources du droit privé et féodal, avec l'acquisition par achat du comté de Chartres en 1286, ou de la Champagne par le mariage de Philippe le Bel. Mais aussi par le droit public, avec la confiscation de l'apanage du connétable de Bourbon par François 1er. C'est ainsi qu'au début du XVIéme, le domaine se confondait avec le royaume. L'inaliénabilité fait son apparition en France, plus tard que dans d'autres royaumes. En effet, longtemps, les Capétiens voient le domaine

signature de la Constitution et éventuellement ses modifications. Le sceau actuel de la République est celui de la IIème République, frappé en 1848. Sous l'Ancien Régime, le chancelier, grand officier de la Couronne, second en dignité après le connétable, est un personnage essentiel. Inamovible, il ne porte pas le deuil à la mort du roi tandis que le sceau du défunt est rituellement brisé. Chargé de la garde matérielle des matrices des sceaux, il préside le scellage des actes qui mobilise beaucoup

désordre au nom d'un ordre rêvé, imaginé comme immémorial. On peut citer Henri de Montmorency-Damville (1534-1614), gouverneur de Languedoc et ancien chef du parti des « politiques » devenu connétable de France ou le duc de Lesdiguières (1543-1626), gouverneur protestant du Dauphiné dont Louis XIII fit dernier connétable de France au prix de la conversion au catho du vieillard mais aussi perso comme maréchaux d'Aumont, de La Force ou de Souvré... Essentiel de la politique nobiliaire d'HIV consista dans