Conseil de la Guerre

les relations amicales entre les pays * Réalisation de la coopération internationale * Harmoniser les efforts entre les pays IV. Ses organes * Assemblée générale * Conseil de sécurité * Conseil économique et social * Cour international de justice * Conseil de tutelle * Secrétariat V. Critique de l'ONU * Points forts * Points faibles Introduction Dans le cadre du droit international des affaires, nous étudions

électoral est révolutionné. Pour la première fois, le suffrage universel s'étend aux femmes. Le nombre des inscrits sur les listes électorales passe de 67.301 en 1936 à 137.906 en 1945, ce qui n'est pas sans conséquences. Le personnel politique d'avant guerre, largement discrédité, ne joue plus de rôle de premier plan. La relève est assurée par des hommes neufs issus de la Résistance. Enfin, les rapports de forces partisans en sont également radicalement modifiés. Le centre de gravité de l'électorat se

groupements. La cour remplace alors le champ de bataille. La démocratie implique qu’il y ait une compétition pacifique (naissance du parlement). Le processus de monopolisation continue une fois que l’Etat est formé et s’étend aux autres Etats => Guerre. Elles ne cessent pas d’exister même si les relations ce sont pacifiées à l’intérieur des Etats. Ce processus tend à séparer un territoire intérieur de l’Etat d’un territoire extérieur à l’Etat mais aussi de séparer les problèmes internes des problèmes

CHRONIQUE Une guerre juste et illégale YVES BOISVERT LA PRESSE Bombarder la Syrie ? À partir de quand a-t-on le droit d’attaquer un pays ? Y a-t-il véritablement un « droit d’ingérence » ? Les cyniques diront qu’il suffit d’en avoir les moyens et les intérêts. Il y a tout de même un effort international pour dessiner quelques règles qui permettent de limiter ou de punir les massacres. En gros, quand un crime grave est commis par un État, il est permis de l’attaquer à condition d’avoir l’autorisation

| |Adresse courriel : |Binch_7@hotmail.com | |Titre du travail : |LE PROCESSUS DECISIONNEL DU CONSEIL DE SECURITE DE L’ORGANISATION DES | | |NATIONS-UNIES ET SON EFFICACITE DECISIONNELLE | |Nombre de mots : |9887

: A. B/Yassir Belkaid/Abdallah Salami SOMMAIRE : I. Introduction II. Les circonstances de l'invasion du Koweït par l'Irak 1) Des buts de guerre à géométrie variable a) Le pétrole et la dette b) Le différend frontalier et la revendication irakienne sur le Koweït c) La guerre sainte et la défense de l’Islam d) La solution de tous les problèmes au Moyen-Orient e) Les erreurs de jugement du Koweït

1 : La guerre froide. Création de l'ONU Intro : L'ONU (=Organisation des Nations Unis) a été crée en 1945 (fin de la Seconde Guerre Mondiale 1939-1945) pour défendre la paix et les valeurs de la République dans les Nations. A) Où est l'ONU et qui en fait parti ? Le siège actuel de l'ONU est à New York, aux États-Unis, avec plusieurs organes pour prendre les décisions dont le conseil de sécurité chargé de prendre les décisions pour la paix et la sécurité dans le monde. Conseil de sécurité :

Chapitre 4 : La France pendant le Seconde Guerre mondiale Définition : -état français : nom donné au régime politique de la France sous l’autorité du maréchal Pétain de 1940 à 1944. -milice : organisation paramilitaire française fondée en 1943 pour combattre les résistants et traquer les opposants au régime de Vichy. -ersatz : produit de remplacement de qualité inférieure. -STO : service du travail obligatoire. -réseau : ensemble de personnes en relation poursuivant un but caché. -marquis :

différends internationaux. Le terme de différend conditionne l’opposabilité de certaines normes. L’Art. 33 CNU indique que « les parties à tout différend (…) doivent en rechercher la solution ». L’Art. 34 CNU poursuit en décrivant la compétence du Conseil de Sécurité à l’égard des différends. Il a le droit d’enquêter sur le différend ou la situation qui le cause. La CIJ (Cour Internationale de Justice) ne peut être saisie valablement que pour trancher un différend d’ordre juridique. Un État n’a pas

eux et qu'ils entretiennent par l'intermédiaire de missions permanentes auxquelles le caractère diplomatique est reconnu. Initialement, les règles applicables aux relations diplomatiques étaient d'origine coutumière. Il faudra attendre la Guerre froide et les nombreuses violations de ce droit coutumier pour que l'Assemblée générale de l'ONU, à la demande de la Yougoslavie, décide de se pencher sur la question. En 1959, est convoquée une conférence de codification et, le 18 avril 1961