Conseil national de la Résistance

sont-ils engagés, avec quelles motivations et pourquoi faire ? 10 c) Quelles difficultés ont-ils dû surmonter ? 11 d) Des débuts difficiles, un développement séparé dans les deux zones 12 e) Les étapes de l'unification de la résistance 13 f) Conclusion : 13 III. Les conditions de vie 15 A. Conditions d’habitation, hygiène et santé : 15 B. Quelques vues du camps de Birkenau : 16 C. Dans les transports : 17 IV. Conclusion 21 V. Bibliographie 22

réactionnaires portées par les antidreyfusards. Transition : Ainsi, l'affaire Dreyfus et la réhabilitation du capitaine marquent une victoire des valeurs républicaines en France. Celles-ci sont à nouveau mises en danger par la guerre en 1914, mais la résistance des institutions montre que démocratie et culture républicaine sont alors bien ancrées dans la vie politique française. De plus face aux troubles qui agitent l'Europe de l'entre-deux-guerres la République fait face. La France, contrairement à certains

homme "héros incarnant dans sa personne des nouvelles idées de la révolution" Grand Basculement à retenir au 19e Basculement entre une légitimité des États fondée sur une dynastie monarchique (légitimité du souverain) et légitimité nationale (construite sur un concept des Lumières et théorisée en France par Sieyès). Bataille des nations en 1813 L'empire napoléonien connaît une chute, les exils de Napoléon déstabilise l'empire et mène à sa chute. 1814-1815 Question

comme une invitation à réfléchir et pour approfondir! ( ) …Donc n’hésitez pas à utiliser également ce dossier en classe pour préparer ou compléter votre visite. Les questions sont abordées de manière à la fois chronologique et thématique. Il est conseillé de suivre la progression linéaire du dossier Nous vous remercions de l’intérêt que vous porterez à ce document. Merci de ne pas le diffuser sans mentionner votre source ! Renseignements : 03 88 47 44 52 ou 58 et pedagogie@struthof.fr Direction

F.F.I. : forces françaises de l’intérieur créées en 1944pour rassemblé les groupes armées de la Resistances. M.U.R. : (Mouvements Unis de la résistance) créé par Jean Moulin en janvier 1943 pour unifier autour du général de Gaulle les trois grands mouvements de résistance Franc-tireur, combat et libération C.N.R. : Conseil national de la résistance ou sont rassemblés les mouvements de résistances, les parties politique et syndicats Maquis : refuges situés dans des régions isolées qui rassemblent

en même temps que le CNR ( Conseil National de la Résistance). J’ai étudié cette oeuvre dans le cadre de l’étude de la 2nde Guerre Mondiale et notamment sur la Résistance Française. Ce chant a beaucoup été entendu, murmuré ou encore siffloté par les résistants. Ce chant était aussi surnommé "le chant de la libération" ou encore " l'hymne de la résistance". ÉCOUTE 30 SECONDES 1ER ET 2ÈME COUPLETS Le thème traité dans ce texte est l’intensification de la résistance et la volonté de libérer

perçue comme une femme de « mauvaise vie ». L'idéal féminin de cette période est la mère au foyer, pilier de la famille, encouragée à faire des enfants. Des prix sont décernés en fonction du nombre d'enfants et en mai 1941, la fête des mères devient nationale. Au cœur de cette politique nataliste, l'avortement qui est interdit est d'autant plus réprimé. Le 15 février 1942, l'avortement est qualifié de « crime de haute trahison ». Cette répression vis à vis de l'avortement restera longtemps gravée dans

retentissement de l’assassinat du général Ditter (chef du STO en France) et le démantèlement du « groupe Manouchian », responsable de cet assassinat, en novembre 1943. Contexte : Depuis 1942 et la création du CNR (conseil national de la résistance) par Jean Moulin, la résistance est structurée, disciplinée, sous les ordres de Londres et du Général De Gaulle. A Paris, des résistants communistes d’origine étrangère sont réunis dans les MOI (main d’oeuvre immigrée), section appartenant aux FTP

Paris est occupé. - Cette défaite éclaire est un traumatisme pour les Français. 8 millions sont sur les routes (c’est l’exode). . L’armistice, un choix lourd de conséquences - Cette déroute provoqe une crise politique : le 16 juin, le président du Conseil Paul Reynaud démissionne. Il est remplacé par le maréchal Pétain. - Le 17 juin, Pétain demande l’armistice («C’est le coeur serré que je vous dis qu’il faut cesser le combat»). - Le 18 juin le général de Gaulle, depuis Londres, appelle au contraire

de refuser la défaite, la Résistance n'a pas d'autre raison d'être que la lutte quotidienne sans cesse intensifiée. Cette mission de combat ne doit pas prendre fin à la libération. Ce n'est, en effet, qu'en regroupant toutes ses forces autour des aspirations quasi unanimes de la Nation, que la France retrouvera son équilibre moral et social et redonnera au monde l'image de sa grandeur et la preuve de son unité. Aussi les représentants des organisations de la Résistance, des centrales syndicales