Conseil national pour la défense de la démocratie-Forces de défense de la démocratie

Le temps des démocraties populaires (1945-1989) A la fin de la Seconde Guerre mondiale, l’URSS occupe et domine la partie orientale de l’Europe. Elle va y mettre en place un « glacis défensif » constitué de démocraties populaires suivant le modèle soviétique. Cependant, ce modèle va subir des évolutions jusqu’à sa disparition à la fin des années 80. Comment les démocraties populaires évoluent-elles de 1945 à 1989 ? Tout d’abord, les démocraties populaires se mettent en place de 1945 à 1953. Puis

partagent les mêmes convictions : le Français Jean Monnet, l’Italien Alcide de Gasperi, l’Allemand Konrad Adenauer… • Les plus convaincus ont une ambition fédérale. Ils rêvent d’une Europe coiffée par « un Conseil européen », par une loi commune au-dessus des États, d’une Assemblée et d’une Défense collective. Ils souhaitent donc un transfert de certains des pouvoirs des États au profit d’un organisme qui représenterait l’ensemble des Européens, même s’ils mesurent les difficultés pour y parvenir

politique (les institutions, question de la démocratie européenne ? 4. L’Europe économique et monétaire 5. L’Europe juridique 1. Fondements de l’idée européenne 1950 = les premières mesures institutionnelles, né l’idéal d’une Union Européenne Facteurs liés à l’histoire institutionnelle, l’expérience politique Europe = _lieu de naissance de l’Etat moderne qui détient le monopole du droit ; _lieu où est née l’idée d’Etat-nation (le principe national prévaut) ; _contexte géopolitique =

Introduction :  URSS : Union des républiques socialistes soviétiques, aussi appelée Union soviétique. Cet ensemble a existé de 1922 à 1991 suite à la révolution bolchévique d’octobre 1917.  Idéologie du modèle soviétique : → Démocratie populaire ; parti unique : parti communiste (PCUS) ; les 3 pouvoirs sont supervisés par le parti ; domination de la république de Russie ; société encadrée par la propagande et l’art officiel ; société de pénurie ; économie socialiste dirigiste. 

par un discours hautement moral et religieux, développant une vision du monde manichéenne et simpliste (« L'axe du mal », « vous serez avec nous ou contre nous ») dans lequel l'Amérique se pose comme le phare de la liberté et le défenseur de la démocratie. Cet aspect du discours des officiels américains et l'unilatéralisme dont a fait preuve l'administration Bush (elle n'a pas tenu compte de l'avis de la communauté internationale pour agir) ont provoqué des critiques très fortes de cette politique

et de l’ordre, contre tout Etat menaçant la tranquillité du système international6. Il y aurait un leadership global, qui agirait dans le cadre d’une réponse collective. Les Etats-Unis seraient en quelque sorte le catalyseur, la conscience des démocraties. Le concept de nouvel ordre mondial a donné lieu à de nombreuses analyses critiques, d’autant plus qu’il avait eu l’occasion d’être "mis en œuvre" avec le conflit du Golfe. En dehors de la volonté de punir l’agression, un autre objectif est apparu

médias mais de caractériser leurs interactions dans le cadre d’un régime démocratique qui a connu des crises, dont l’une a même provoqué sa disparition de 1940 à 1945. L’émergence de l’opinion publique est indissociable de l’avènement de la démocratie. C’est avec les Lumières qu’apparait le modèle de l’opinion publique contemporaine ancrée dans un espace public d’essence démocratique. Au cours des XIXe et XXe siècles, le triomphe de l’opinion publique s’appuie sur la reconnaissance des libertés

RELATIONS INTERNATIONALES Objet de l’enseignement : Distinctions entre national, international et mondial « national »= ordre interne d’un état International » = relation entre états (à l’échelle du monde) mais l’état est l’ordre de base « mondial » niveau qui est supérieur à international, car on estime que l’ensemble de la planète est considéré comme un tout qui est plus important que ses parties. Mondial : niveau qui est au dessus des nations. Quand on dit économie « internationale » :

mot : Le Terrorisme. Ce mot a abouti à une définition non partagée par tous. En effet, nous qualifions le terrorisme comme étant des actes et des pratiques criminels et injustifiables. Il porte directement atteinte aux droits de l’homme, menace la démocratie et vise notamment à déstabiliser des gouvernements. Le terrorisme n'est pas une doctrine, c'est une méthode fondée sur l'usage de la terreur. Cependant aucune définition universelle n'a été adoptée. Il s'inscrit en faux contre les principes religieux

Commentaire de texte : Discours d’investiture de Léon Blum à la Chambre des députés en juin 1936 Ce texte est le discours d’investiture de Léon Blum, nouveau Président du Conseil, à la Chambre des députés le 6 juin 1936 , publié au Journal Officiel le lendemain. Léon Blum (1872-1950) se distingua d’abord comme chroniqueur littéraire dans plusieurs revues de la fin du 19ème siècle, dont La Revue blanche. C’est l’affaire Dreyfus qui suscita son engagement. Il écrivit plusieurs