Consentement Des Futurs époux

droit du divorce. L’impact de la morale est plus fort, plus déterminant. En effet, le droit de la famille est tinté de morale notamment lorsqu’il précise les devoirs des enfants à l’égard de leurs parents, lorsqu’il impose le devoir de secours entre époux. Ceci dit, le droit de la famille est quand même très influencé par l’évolution des mœurs, c’est la tendance dominante. Ceci est notamment représenté par la construction du PACS qui judiciarise des rapports hors mariage soit hétérosexuel soit

apportées paraissent modestes car seuls quelques articles du code civil ont été modifiés par cette loi, ces modifications portent essentiellement sur le vocabulaire, ainsi à l'article 75 du code civil les termes de « mari et femme » sont remplacés par « époux », aux articles 34 et 371 les termes « pères et mères » sont remplacés par « parents » → c'est tout de même une réforme majeure même si seulement modifications de vocabulaire dans quelques articles du code civil. Aucune de ces réformes n'a été adoptée

porte le nom de son père. Si le père reconnaît l’enfant en dernière position, l’enfant prendra son nom. Mais s’il s’agit d’un enfant de plus de quinze (15) ans, son consentement sera requis. En cas de désaveu, l’enfant porte le nom de sa mère. L’adoption confère le nom de l’adoptant à l’adopté. En cas d’adoption par les deux époux, l’adopté prend le nom du mari. Article 7 : L’enfant dont le père et la mère sont inconnus a les prénoms et le nom qui lui sont attribués par l’officier de l’état civil

particulière. → Le contenu : l’ensemble du droit de la famille subit l’impact des lois Carbonnier. Parmi ces lois, on trouve la loi du 13 juillet 1965 qui réforme les régimes matrimoniaux et notamment cette loi instaure une stricte égalité entre les époux dans la gestion et la disposition des biens. Autre loi importante : la loi du 3 janvier 1972 concernant la filiation. Cette loi instaure une parfaite égalité entre d’une part les enfants légitimes (dans le mariage) et d’autre par les enfants naturels

mariage que les époux concluent. Section I : Les conditions de l'union matrimoniale §1) La liberté matrimoniale A) Liberté de se marier et de ne pas se marier Chacun a le droit de se marier s’il le désire et avec la personne de son choix affirmée par le Cconst Cela n'interdit toutefois pas au législateur de poser des conditions limitatives comme l'âge (18 ans) ou l'interdiction de la polygamie (art. 147 cciv), l'interdiction des unions incestueuses ou encore l'exigence d'un consentement du curateur

Des époux peuvent être mariés sans avoir une communauté de vie. Le mariage produit des effets juridiques dès la célébration. B) Age nécessaire et incapacité Les deux personnes doivent avoir (sauf exception) 18 ans résolus. Les mineurs, même émancipé, doivent obtenir consentement d’un de leurs parents. Les personnes sous tutelle peuvent se marier avec le consentement (article 506 du code civil) : Soit des deux parents Soit, s’ils sont en désaccord ou bien décédés, avec le consentement du Conseil

relative au divorce, ordonnance du 4 juillet 2005 qui a réformé la filiation, loi du 4 avril 2006 relative au mariage, loi du 23 juin 2006 relative aux successions et libéralités. → Avènement d’une totale égalité entre les enfants, égalité entre les époux et entre les pères et mères, ceci en favorisant un exercice en commun de l’autorité parentale que les parents soient mariés, ensemble ou pas, il y a donc une meilleure prise en compte de la diversité des situations avec l’admission à coté d’autres

pour faute, divorce par consentement mutuel, l’altération définitive du lien conjugal et le divorce pour l’acceptation du principe de la rupture du mariage. Le divorce met fin à un mariage parfaitement valable alors que la nullité anéanti le mariage. La nullité sanctionne des éléments compromettant à la formation du lien matrimonial. La nullité produit un effet rétroactif alors que le divorce ne vaut que pour l’avenir. Le mariage est une union psychologique de consentement, une volonté de s’unir

mariage et certains effets du mariage, Le divorce : la loi du 11 juillet 1975, loi qui a totalement modifié la réglementation antérieure (faute du conjoint) notamment le divorce par consentement mutuel, la loi du 30 juin 2000 qui a réformé la prestation compensatoire (conséquence patrimoniale du divorce entre époux) et la loi du 26 mai 2005 entrée en vigueur le 1er janvier 2005 qui réforme l’ensemble du divorce, La filiation : la loi du 3 janvier 1972 qui a imposé le principe d’égalité des droits

privé Les situations auxquelles se rapporte la présente section sont celles qui concernent les mariages que l’on dit frappés d’un élément d’extranéité, c’est-à-dire qui comportent des facteurs étrangers. Ce sera le cas notamment lorsque l’un des époux est étranger ou belge mais résidant à l’étranger. La volonté de célébrer de tel mariage comme la reconnaissance d’un mariage étranger vont soulever en Belgique diverses questions. Nous tenterons de les aborder tout d’abord, dans le cadre de la célébration