Conservateurs et réformistes européens

2 Positions internationales | |3 Rôle de la France dans ce conflit | |4 Utilisation de l'opinion publique française et européenne | |5 Crise humanitaire | |6 Chute du Biafra | |7 Après-guerre

organisation ouvrières. A coté du syndicalisme, le mouvement socialiste, qui au contraire est organisé en partie politique et propose un modèle de société fondé sur le collectivisme. Ce mouvement socialiste est lui-même hétérogène, on trouve des réformistes qui veulent utiliser les institution républicaines et les réformer de l’intérieure. On trouve par ailleurs les socialistes révolutionnaires qui refusent de participer aux institution républicaines, qui prônent l’abstention, la grève générale et

nouvelle guerre froide (1973-1985) - fin d’un monde bipolaire (1985-1992) - recherche d’un nouvel ordre mondial (1992-2001) - qui peut cependant varier : ainsi, la détente culmine lors de la conférence d’Helsinki de 1975 ►Le monde européen n’est plus une puissance hégémonique. Les deux guerres mondiales ont affaibli l’Europe On observe un basculement des « affaires du monde » de l’Europe vers l’Asie - le facteur démographique, même s’il n’est pas exclusif permet de se faire

ne satisfait pas les besoins des Égyptiens qui sont parmi les plus gros consommateurs de farine au monde. Le pays, qui ne parvient à produire, au total, que la moitié de sa consommation, a donc recours aux importations (États-Unis, Canada, Union européenne) :le pays est le deuxième importateur mondial de blé, derrière le Brésil. À la fin des années 1970, le secteur agricole fournissait 60 % des recettes d'exportation ; en 1990, il n'en représentait plus que 10 %. Dans le même temps, la part de l'agriculture

production de la compétence. Dans les manières de voter, certains mobilisent de la compétence et d’autres sont sans repères politiques constitués. La découverte de l’électeur stratège a aussi été perturbée dans le cadre de la France par les référendums européens et les victoires continues du FN. Pourquoi ont-ils voté non alors que tout le monde disait qu’il fallait voter oui ? Cela a amené à un retour vers l’explication sociologique, les variables lourdes reprennent leur poids. Les commentateurs expliquent

soldats. Les civils sont ainsi devenus des cibles militaires, voués à l’anéantissement. Invasions, occupations, retraites terrestres ou encore guerre aérienne, ont vu les populations civiles soumises à d’effroyables violences. Dans les territoires européens occupés par les nazis, ce sont entre 25% et 90% des communautés juives qui ont été massacrés. En URSS, 13,6 millions de civils périssent. Toute opposition de la part des mouvements de résistants ou de partisans dans les phases d’occupation, génère

du XXe siècle : celle relative aux raisons qui ont fait de l’Allemagne le pays pionnier en Europe dans l’émergence d’un tel courant politique ; puis celle du problème de la précoce division du mouvement social allemand, tiraillé entre une aile réformiste et une aile révolutionnaire, division qui s’accroît avec la révolution russe que certains veulent imiter tandis que d’autres y voient une menace. Comment expliquer ces divisions internes au mouvement social allemand, et quelles ont été leurs

importante de l’industrie wallonne tombe ainsi aux mains de la banque, qui devient une institution mixte et sera à la base des plus puissants holdings du XIXème siècle. Cette démarche fondée sur les sociétés anonymes est alors unique dans l’industrie européenne. (E. Witte, NHB, 2005, I, p. 131.) 6. La Révolution industrielle dégrade considérablement les écosystèmes existants dans nos régions par des pollutions d’ampleurs qualitative et quantitative jamais atteintes qui affectent directement les populations

terme générique pour tous les mouvements extrêmes nationalistes. Cette idéologie rejette le libéralisme et l’individualisme et s’oppose au mouvement ouvrier marxiste, ainsi qu’au socialisme et au communisme. Les origines idéologiques du fascisme européen I. En Allemagne. 1. Le nationalisme allemand. Le nationalisme allemand commence son ascension dès la fin du XVIIIème siècle. L’Allemagne n’existe pas encore en tant que telle, elle n’est qu’un conglomérat de petits états

production. Révolution Française (1789)  fin de l’Ancien Régime  Affirmation de la souveraineté du peuple. Révolution politique, le peuple est souverain, il fait la politique, pas le roi! Interprétation progressiste et "eurocentrée" (perspective européenne). Critiques du Terminus a quo : Il y a donc une remise en question de la périodisation. Hypothèse: un long Moyen-âge (plutôt qu'un temps moderne), car la vie des hommes ordinaires ne change pas avec 1492 ou 1453 (toujours le même rythme de vie)