Consonne alvéolaire

Figures de styles : Allégorie : Personnification d’une idée abstraite par une image, un tableau, souvent par un être vivant. EX : « Ô Mort, vieux capitaine, il est temps ! » Allitération : Répétition d’une ou de plusieurs consonnes dans un groupe de mots. EX : « Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? » Anaphore : Répétition d’une même expression ou d’un même mot en début de phrase ou de vers. EX : « Partout l’image idée, partout la pensée fleur, partout les fruits »

français oppose les phonèmes /y/ et /u/, comme le démontre la paire minimale /ry/ ~ /ru/ (rue - roue). En anglais par contre, cette opposition fait défaut, puisque l'anglais n'a pas de phonème /y/. Les phonèmes consonantiques Dans le cas des consonnes, on a tendance à tester pour l'existence de phonèmes dans deux contextes distincts: • en début de syllabe (c'est-à-dire, en position initiale) • en fin de syllabe (c'est-à-dire en position finale). Par exemple, en début de syllabe, on peut opposer

« AN » ET « EN » : - Avant = avt - Dont = dt - Donc = dc - Comme = co - Comment = comt - Sans = ss - Sont = st - Font = ft - Temps = tps - Long = lg - Longtemps = lgtps - Souvent = svt SUPPRESSION DE TOUTES LES VOYELLES (ET PARFOIS DE QUELQUES CONSONNES) - Même = m (avec accent circonflexe) - Développement = dvlpt - Problème = pb - Rendez-vous = rdv - Gouvernement = gvt - Mouvement = mvt - Nombreux = nbx - Nouveau = nv - Parce que = pcq - Parfois = pfs - Quelqu'un = qqn - Quelque = qq - Quelque

pouvez accéder au tableau des consonnes. [p] consonne occlusive, sourde, orale, bilabiale, non labialisée. [m] consonne occlusive, sonore, nasale, bilabiale, non labialisée. [s] consonne constrictive, sourde, orale, prédorso-alvéolaire, non labialisée [Z] consonne constrictive, sonore, orale, prédorso-postalvéolaire, labialisée. Les articulations vocaliques Les articulations vocaliques nécessitent la mise en vibration des cordes vocales. À la différence des consonnes, l’air s’écoule librement dans

Introduction La production des sons | Consonnes et voyelles | Point d'articulation et mode d'articulation | Sourdes et sonores | Orales et nasales La production des sons La majorité des sons du langage sont le fait du passage d'une colonne d'air venant des poumons, qui traverse un ou plusieurs résonateurs de l'appareil phonatoire. Les résonateurs principaux (cf. figure 1.1) sont : • le pharynx ; • la cavité buccale ; • la cavité labiale ; • les fosses nasales. Figure 1.1 La présence

Les figures de style 1 - De allitération à asyndète allitération n.f. Répétition d'une consonne ou d'un groupe de consonnes dans une phrase, un vers." Aboli bibelot d'inanité sonore " (Mallarmé). " Pour qui sont ces chinchards, qui sèchent sur vos chéchias ? " (Anonyme) amphigouri n. m. Discours, écrit confus et obscur. anacoluthe n. f. Rupture dans la construction d'une phrase." Vous, ministre de la paix [...], le sang, à votre gré, coule trop lentement " (Racine). anaphore n. f. Répétition

par nature (comme les diphtongues : ae, oe, au, eu) ou par position : toute voyelle suivie de 2 consonnes, d'un j ou d'une lettre double comme x. ● Dans qu, il ne faut pas compter le u comme voyelle : c'est une consonne comme le c ou le k. De même, dans le son gu (ex. lin-gua = lin-gva). U compte aussi comme consonne dans sua-deo = sva-deo. ● Quand une voyelle brève est suivie de deux consonnes dont la deuxième est une liquide (l ou r) elle est considérée comme commune, donc longue ou brève

de vers qu’il soit suivi ou non de consonnes (S, ent, ) ne compte jamais, il n’est jamais prononcé. - Le E muet situé devant ue voyelle n’est jamais compté même si les deux mots en contact sont séparés par une ponctuation. Si un mot se terminant par un E suivi d’une virgule et que le mot suivant commence par une voyelle, on ne prononce pas le E. EX: J’err[e], aiguisant mon couteau. (on ne prononce pas le E et on fait la liaison). - Le E muet devant une consonne est toujours compté. - Le E muet

• Assonance : répétition d’un son vocalique à l’intérieur d’un vers ou d’un groupe de vers. Exemple : Tout m’afflige et me nuit et conspire à me nuire. (Racine, Phèdre) • Allitération : répétition d’un son consonne, d’une consonne, d’un groupe de consonnes, ou de consonnes de phonétiquement proches. Exemple : pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? (Racine, Andromaque) 4. Le poème. Un poème est un ensemble de vers formant une unité de forme. Cette unité provient

négatif : No + subjonctif présent Impératif affirmatif :  Règle d’accentuation : Les mots terminés par une voyelle, par S ou par N, ont l’accent tonique sur l’avant dernière syllabe. __-----__ Les mots terminés par les autres consonnes ont l’accent tonique sur la dernière syllabe. __ __ ----- Cantar Comer Vivir Yo Canto Como Vivo Tú Cantas Comes Vives Ello, Ella Canta Come Vive Nosotros Cantamos Comemos Vivimos Vosotros Cantáis Coméis Vivís Ellos, Ellas