Consonne nasale

mois: vocalisations maitrisées, jeux de variation et d'imitation d'intonation, babillage: production répétitive avec alternance rythmique de consonnes et de voyelles 8-10 mois: production de voyelles ressemblant à la langue maternelle, babillage avec séquences variées de syllabes, début d'intonation 10-12 mois: sélection d'un répertoire de consonnes et de syllabes adaptés à la langue maternelle, babillage varié en séquences longues avec intonation, début de production stables en fonction

: iū, uī. Les consonnes du pinyin Les consonnes F, L, M S et la voyelle Y se prononcent comme le français. Le français possède des consonnes sonores (avec un mouvement des cordes vocales) comme B, D, G et leurs correspondantes sourdes comme P, T, K. En chinois on distingue les consonnes sourdes et les consonnes aspirées (avec une petite explosion d'air à la prononciation). Le problème est que les consonnes sourdes du chinois correspondent à l'écriture de nos consonnes sonores : B en pinyin

ponctuation. Dans le cas d'un poème, respectez le rythme des vers. Attention aux e muets, aux diérèses, aux enjambements. Rappelons ici au sujet des e muets que toute syllabe contenant un e muet compte pour un pied si le e se trouve devant une consonne ou un h aspiré. Il faut alors prononcer distinctement le e. La diérèse se rapporte à deux voyelles que l'on prononce de manière à en faire deux syllabes au lieu d'une. Par exemple, violon peut être prononcé vio-lon (2 pieds) ou vi-o-lon (3 pieds

‫بسم هللا الرحمن الرحيم‬ L’alphabet (méthode d’initiation à la lecture arabe) Leçon 1 : apprendre les 14 premières lettres de l’alphabet. kh ‫ خ‬h‫ ح‬j‫ ج‬th‫ ث‬t‫ ت‬b‫ ب‬a‫ا‬ kha ha jim tha ta ba alif ‫ ص‬ch‫ ش‬s‫ س‬z‫ ز‬r‫ ر‬Th‫ ذ‬d‫د‬ S Sad chine sine zay ra Thal dal Exercice1 : écrire deux lignes de chaque lettre en prononçant le nom de chacune d’entre elles a chaque fois. Exercice2 : lire la ligne suivante par cœur. ‫ابتثجحخدذرزسشص‬ Leçon 2 : réciter de mémoire et a voix

un seul son commun = la voyelle accentuée. Ex : Souverain / Main Rime suffisante : deux son communs (1 consonne + 1 voyelle) Ex : Rêve / achève. Rime riche : trois sons communs et plus (2 consonnes + 2 voyelles). Ex : Hasard / bizarre. - Disposition des rimes : Rime féminine : la terminaison des vers est un « e » muet. Rime masculine : la terminaison des vers est un son correspondant à une consonne. = Les poètes jouent souvent sur l’alternance entre rimes masculines et rimes féminines. Rimes suivies

Leur prononciation dépendra de ce qui suit les voyelles.  Une voyelle suivie d’une consonne et ensuite d’une autre voyelle aura un son long.  Exemple : de molen, le moulin. Le « o » de molen se prononcera « au ».  Une voyelle suivie d’une consonne qui termine le mot aura un son court.  Exemple : de brug, le pont. Le « u » de brug se prononcera très court, comme celui de  « bulle » en français.  Une voyelle suivie de 2 consonnes aura un son court.  Exemple : de heks, la sorcière. Le « e » de heks se prononcera « ais » comme dans 

son commun, Suffisante = deux sons communs ou riche = trois sons communs ou plus La disposition : Plates (aabb), croisées (abab), embrassées (abba) B- Les allitérations et assonnances Les allitérations correspond à une répétition d'un son consonne à l'intérieur d'un vers et l'assonnance celui d'un son voyelle. IV-Le rythme des vers Un vers peut être découpé en deux parties par une césure (une virgule souvent) en deux hémistiches de 6 syllabes si c'est un alexandrin ou 4/6 si c'est un décasyllabe

termine par une consonne prononcée et que le mot suivant commence par une voyelle, la consonne finale du premier mot devient initiale du mot suivant. On dit qu'elle s'enchaîne à la voyelle du mot suivant pour former une syllabe. Exemple: " I l arrive " = [ i- la - R iv ]    En français, l'enchaînement consonantique est toujours prononcé. De plus, la consonne enchaînante garde toutes ses caractéristiques. Exemples: "Une gran de_a mie"   [pic] " Un fil s_in grat "   [pic] Seule la consonne enchaînante

verlan de flic (via le passage par un stade disyllabique hypothétique keufli), rabza verlan de [les] arabes.  le javanais, consistant à rajouter le son av (ou tout autre son) entre les consonnes et les voyelles. Par exemple Marcel → Mavarçavel.  le louchébem (ou largonji), consistant à remplacer la consonne initiale par un L, et la reporter à la fin du mot avec une terminaison (initialement créé par les louchébems de Laripette). Boucher → loucherbem ; À poil → à loilpé . Le mot loufoque est

générale : Pour former le féminin d'un adjectif on ajoute, en général, un -e au masculin: grand---> grande content---> contente frisé---> frisée original---> originale La marque du féminin (-e) fait prononcer la consonne muette du masculin: ron(d )---> ronde méchan(t)---> méchante françai(s)---> française lai(d)---> laide II - Adjectifs en –ER : Les adjectifs qui terminent par -er respectent la règle générale mais prennent un