Consonne nasale

l’on entendait à la cour, au théâtre ou au prétoire était aussi étrange pour un contemporain de Molière ou de Racine que pour le spectateur du XXIème siècle. La prononciation du "r" roulé, du "l" mouillé, des voyelles nasales, du “â” fermé, du “a” ouvert, du "e" muet et des consonnes finales réclame un apprentissage. Cette façon de parler semble très proche de nous et rappelle certains accents encore présents dans nos régions ou dans les pays francophones comme le Québec. JEU FRONTAL : Les

blancheur de la lune, peuvent faire penser à des algues) - de ce mouvement violent et dément , tordre.  Impression de magie corroborée par le rythme lent - longueur de l’alexandrin renforcée par le double enjambement (v 2-3-4), et nombreuses consonnes nasales et voyelles nasalisées : effet d'écho tout au long de la strophe.  Lenteur renforcée par l ‘évocation de la « chanson lente »ds le vers 2, c) Du réel à l’irréel La strophe entière construite sur une mise en abyme.  Le « je » de poète

blancheur de la lune, peuvent faire penser à des algues) de ce mouvement violent et dément , tordre. Impression de magie corroborée par le rythme lent  longueur de l’alexandrin renforcée par le double enjambement (v 2-3-4), et nombreuses consonnes nasales et voyelles nasalisées : effet d'écho tout au long de la strophe. Lenteur renforcée par l ‘évocation de la « chanson lente »ds le vers 2, c) Du réel à l’irréel La strophe entière construite sur une mise en abyme.  Le « je » de poète

violent Combat déjà terminé => plus-que-parfait "avait été" mais la violence est toujours perceptible : "le choc avait été très rude" - superlatif "très" - isolation de la phrase derrière la césure "rude"// -phrase brève, allitération de consonnes dures avec le "t" et le "d" (dentales), le "r" et le "c" dur lexique de la violence : "choc", "rude", "carnage" chiasme vers 3-4 "humaient" "carnage" "âcres" "parfums" => ivresse meurtrière des combattants 3) Les conséquences du combat

ganglions, fait ouvrir la bouche pour examiner les dents, la langue, la bouche, la gorge et le larynx. Il complète généralement ses recherches par la nasofibroscopie, à l’aide d’un fibroscope souple. Le nasofibroscope permet l’inspection des fosses nasales, du cavum, du pharynx et du larynx, l’analyse des mobilités pharyngées, la localisation précise d’une tumeur… c). l’endoscopie sous anesthésie générale s’il suspecte une tumeur, le médecin pratiquera une panendoscopie, sous anesthésie générale

Identifications : Il faut savoir identifier les figures de style que nous avons discutées (allitération, anaphore, et métaphore) et les définir. On vous demandera peut-être d’expliquer également l’effet de la figure de style. L'allitération La répétition d’une consonne pour créer un effet artistique. L’anaphore La répétition d’un mot, une expression ou un groupe de mots en début de phrase. Ça souligne un point. La métaphore Un analogue ou une comparaison qui n' utilise pas les mots comme “comme”. Une métaphore

Rappel de notions de Seconde 1) La notion de signe Signe = Signifié+ Signifiant où : • Le signifiant est la combinaison de lettre ou de son Exemple : Les jeux sur le signifiant   • Allitération : Répétition de consonne • Assonance : Répétition de voyelle Les jeux sur les sonorités • Paronomase : eg ( « Je m’ [aime] érveille. » • Et le signifié le sens du mot. On peut noter deux sens : • Le sens dénoté (ou

musicalité fait partie de la vie des Brésiliens et les jeunes s’adhèrent de plus en plus à jouer des instruments. Le plus adopté : la guitare. d. La consonne bilabiale « m » et la lingue labiale « n » ne sont jamais prononcé, elles sont remplacées par une forte nasalisation. C’est notable uniquement SI à la fin du mot ou SI précède une autre consonne. Esse amor, uma canção a. “cet amour, une chanson” b. [é – sse] [a – môh] [ou – ma] [cain – ssain’ou] c. L’analogie de la chanson à l’amour. Etant

production de la langue orale française exploite une gamme de 36 phonèmes parmi lesquels on distingue 17 phonèmes consonnes, 16 phonèmes voyelles et 3 glides : – les voyelles sont toutes sonores (exemples : /a/ ou /i/). Leur production est accompagnée de vibrations des cordes vocales. De plus, lors de cette production, l’air ne rencontre aucun obstacle sur son passage dans la bouche ; – les consonnes sont réparties en deux séries, l’une sonore (exemples : /b/ ou /d/), avec vibration des cordes vocales, l’autre

Symbolisme phonétique Expressivité Déformation phonétique (tabous linguistiques) •  Exploitation des caractéristiques acoustiques des phonèmes: •  (1) degré d’occlusion des consonnes: occlusives, constrictives, médiales •  (2) consonnes aigües (dentales, palatales) vs. graves (labiales, vélaires) •  (3) consonnes à haute sonorité (nasales, rhotiques, latérales) •  (4) spectre sonore des constrictives: labiovélaires (« bruit rouge »), chuintantes (« bruit rose »), sifflantes (« bruit blanc ») •  (5) voyelles: