Constance Mozart

adolescence. J’étais malade et le docteur, le médecin d’alors, s’était beaucoup occupé de moi.[…]. Un autre homme, Paul Challes, me vient de loin. Aussitôt, mes oreilles se mettent à raisonner de la voix de la Callas, des lieder de Schubert, et de Mozart. Les médicaments ne pouvaient rien pour moi, rien contre l’anorexie mentale et les maux de la solitude. Adolescente, j’ai eu la chance d’avoir un médecin et poète[…]. Souvent aussi, Paul Challes nous lisait les poèmes : Rilke, Rimbaud, Nerval,

Q 4 : Chaque État entrant dans l’euro choisit pour chacune des pièces de monnaie un emblème national et fort, affirmant son identité, par exemple la Belgique et l’Espagne : le portrait de leur souverain, Malte : la croix de Malte, l’Autriche : Mozart, l’Italie : le dessin de Léonard de Vinci, la Divine proportion (doc. 3 p. 208). La Grèce a choisi un symbole vieux de 2500 ans, elle s’identifie à son passé et à la cité la plus brillante de l’Antiquité grecque ; En choisissant une drachme, un

réalités, il vivrait en grand seigneur et s'endetterait peut-être. Ainsi gardez-moi le secret. Votre douce 95 et chère compagnie pourra seule me consoler pendant ces longues épreuves, comme le désir de vous enrichir vous et Lucien me donnera de la constance et de la ténacité… - J'avais deviné aussi, lui dit Eve en l'interrompant, que vous étiez un de ces inventeurs auxquels il faut, comme à mon pauvre père, une femme qui prenne soin d'eux. - Vous m'aimez donc ? Ah ! dites-le-moi sans crainte, à moi

la beauté des femmes ? Pourvu qu’une femme soit médicalement bien conformée, en état de faire des enfants, elle sera toujours assez bonne pour des économistes. 15 À quoi bon la musique ? à quoi bon la peinture ? Qui aurait la folie de préférer Mozart à M. Carrel, et Michel-Ange à l’inventeur de la moutarde blanche ? Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid, car c’est l’expression de quelque besoin, et ceux de l’homme sont ignobles et dégoûtants

couleurs complémentaires. » Mais l’autre ne répondit pas. Il prit sa chope, la reposa sans avoir bu, finit par murmurer, avec un sourire d’extase : « Haydn, c’est la grâce rhétoricienne, une petite musique chevrotante de vieille aïeule poudrée… Mozart, c’est le génie précurseur, le premier qui ait donné à l’orchestre une voix indi-viduelle… Et ils existent surtout, ces deux-là, parce qu’ils ont fait Beethoven… Ah ! Beethoven, la puissance, la force dans la douleur sereine, Michel-Ange au tombeau

quoi sert la beauté des femmes ? Pourvu qu’une femme soit médicalement bien conformée, en état de faire des enfants, elle sera toujours assez bonne pour des économistes. À quoi bon la musique ? à quoi bon la peinture ? Qui aurait la folie de préférer Mozart à M. Carrel, et Michel-Ange à l’inventeur de la moutarde blanche ? Il n’y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid, car c’est l’expression de quelque besoin, et ceux de l’homme sont ignobles et dégoûtants

par la déesse-mère », Connaissance Hellénique 27, 1986, p. 50-63. 07G, 10 déesse-mère, Homère. [ 441 BURY (John B.), « Justa Grata Honoria », Journal of Roman Studies 9, 1919, p. 1-13. 03, 11 famille impériale, Iusta Grata Honoria fille de Constance III, rôle politique. [ 442 CATALOGUE AUTEURS 33 BUSCHALA (Eugene W.), « The pallaké of Philoneus », American Journal of Philology 90, 1969, p. 65-72. 01 G, 11 affranchie, concubine. [ 443 BUSH (Archie C), Studies in Roman social structure,

20XX Cher Monsieur, Je me permets de vous 匐rire au nom de la fraternit�musicale qui nous unit : nous avons chant�il y a trois mois le requiem de Mozart (Rencontres musicales de Compi璞ne) et nous avions pu, si vous vous en souvenez, partager l'intense 覆otion de ce jour. Mon propos n'est pas d'ordre musical, mais professionnel : je suis jeune diplom宓

ouvrant la fenetre. Et il y eut d'abord des politesses. —Ah! c'est vous, mademoiselle. —Mon Dieu! oui, mademoiselle. Je tache de m'installer, mais cette cuisine est si degoutante! Puis, arriverent les renseignements abominables. —Vous aurez de la constance, si vous y restez. La derniere avait les bras tout griffes par l'enfant, et madame la faisait tellement tourner en bourrique, que nous l'entendions pleurer d'ici. —Ah bien! ca ne trainera pas, dit Francoise. Je vous remercie toujours, mademoiselle

la fenêtre. Et il y eut d’abord des politesses. – Ah ! c’est vous, mademoiselle. – Mon Dieu ! oui, mademoiselle. Je tâche de m’installer, mais cette cuisine est si dégoûtante ! Puis, arrivèrent les renseignements abominables. – Vous aurez de la constance, si vous y restez. La dernière avait les bras tout griffés par l’enfant, et madame la faisait tellement tourner en bourrique, que nous l’entendions pleurer d’ici. – Ah bien ! ça ne traînera pas, dit Françoise. Je vous remercie toujours, mademoiselle