Conte 6ème

[pic]Sujet: Définition du Conte   [pic]Sam 15 Aoû - 15:38 | | | |[pic] | |Le conte est un récit de faits ou d'aventures imaginaires. Pour les études littéraires, il fait donc partie des genres narratifs. | |À l'origine, un conte est raconté à l'oral. Depuis la Renaissance il a néanmoins fait l'objet de réécritures, devenant aussi au fil | |des siècles un genre

b) Utopie de l’hospitalité c) Utopie du savoir II/ La dimension didactique et critique a) La critique de la religion b) La critique de la politique. III/ L’art du conte a) La parodie du conte et le merveilleux b) L’utopie I/ L’utopie. a) Utopie des richesses. Ce qui ressort avant tout c’est l’utopie des richesses : récurrence de chiffres hyperboliques, « cinq ou six milles musiciens, douze de ses

il y a les histoires dont la fin est logique. C'est le cas pour les contes ou les fables, car l'histoire se termine toujours par une morale, où en quelques sortes, les « méchants » sont toujours punis. C'est le cas dans Barbe bleue de Perrault. Ce conte met en scène un homme qui dégoute toutes les femmes ; et qui, à la fin, se fait tuer par les deux frères de sa compagne. Enfin il y a les histoires dont la fin est prévisible comme dans théâtre tragique qui, comme son nom l'indique, se termine par

I. Cet extrait a une apparence de conte merveilleux. A En effet on remarque la présence de formules traditionnelles de conte. -Tout d'abord Voltaire a recours à la formule "Il y avait en Vestphalie" (l.1) pour débuter son récit. Il l’inscrit de cette façon dans un genre codé auquel il le rattache et à partir duquel le lecteur pourra mesurer l’écart. -De plus cet effet est intensifié par le milieu riche: l'histoire se déroule "dans un château" (l.1) lieu emblématique de ce genre littéraire.

force d’imagination sympathique et d’érudition patiente, cette âme elle-même, encore à peine débrouillée, toute neuve à ces émotions inconnues, se laissant envahir par elles sans songer à les analyser, et adaptant, sans y parvenir complètement, le conte qui la charmait aux conditions de son existence accoutumée. S’il nous était parvenu de la légende une rédaction française complète, M. Bédier, pour faire connaître cette légende aux lecteurs contemporains, se serait borné à en donner une traduction

pour intervenir en formulant son avis personnel. Les pronoms personnels « nous » et surtout « je » dans la dernière partie de la fable laisse deviner sa présence. Le narrateur admet sa faiblesse quant à la distraction que lui procure un conte et fait référence au conte « Peau d’Ane », qui apparaît de manière allusive dans Le Malade Imaginaire de Molière II, 8 et que Perrault publiera quelques années plus tard en 1694 dans ses Contes de ma mère l’Oye. Mais avant cette publication, l’expression « Peau

nous observons un véritable "dynamisme mental" chez les enfants lorsqu'ils écoutent un conte. Ils sont tout en joie et leur visage est extrêmement mobile : yeux écarquillés, respirations suspendues, trépignements, éclats de rire, etc...Toutes ces mimiques, ces gestes indiquent une très forte participation de l'enfant, on pourrait même dire une très forte implication, une attention en éveil. L'heure du conte fait donc apparaître une forme particulière et très intense de l'intérêt des enfants qui

sous toutes ses formes, quelles soient politiques, religieuses ou sociales. - Memnon ou la sagesse humaine est un apologue, c'est-à-dire un court récit visant à délivrer un message moral, écrit par Voltaire en 1756. Dans ce récit, Voltaire nous conte de manière comique et ironique l'histoire d'un homme nommé Memnon, qui, un jour, à l'idée saugrenue de devenir parfaitement sage dans ses relations avec l'homme, la femme, et avec son environnement. Après avoir conçu tout un projet dans sa chambre

bêtise et le ridicule. Le but de Voltaire et Diderot est de persuader le lecteur et de donner des leçons d’ordre politique et moral. Ils écrivent des récits pour échapper à la censure. Les voyages de Gulliver écrit par Swift en 1721 est aussi un conte philosophique. Swift nous fait prendre conscience du fonctionnement de la société et critique les gens de la Cour et de l’Eglise. Et pour finir, Les lettres persanes de Montesquieu, est un récit épistolaire. Comme le texte de Swift, ce sont tous deux

DEVOIR N°1 Question n°3 : le conte de fées, comme le rêve ou d’autres productions de l’imaginaire collectif, est considéré comme un message que nous pouvons décoder selon une lecture psychanalytique. Je vous propose de travailler sur ce matériel symbolique particulièrement riche. Vous choisirez un conte (dans le répertoire classique des frères Grimm).Vous en ferez l’interprétation en vous inspirant des travaux sur la question et de vos propres perceptions, impressions, expériences… Vous vous