Conte Africain

Le Loup  Dans le conte traditionnel, le loup est vu comme un personnage cruel. Il est là pour faire peur et terroriser ses futures proies. En effet, il se régale des enfants égarés, des grands-mères, mais aussi des animaux plus faibles que lui. Nous pouvons donc dire que la première idée qui nous vient à l’esprit sur le loup est qu’il est méchant et qu’il fait peur. Depuis des siècles, ce mythe voyage à travers les écrits. Le loup dans des extraits De la Fontaine. Dans les fables de La

> Les genres narratifs : le conte, la nouvelle, le roman Objet d’étude : Objectif : Le récit : la nouvelle Faire apparaître le fonctionnement et la spécificité des genres narratifs Étude des genres et registres Perspective dominante : Textes et œuvres : Groupement de textes autour de la nouvelle Séquence 1-FR20 27 © Cned – Académie en ligne Chapitre 1 > La variété des genres narratifs A B ........................................................... 31 Problèmes

L’ENGAGEMENT DANS LA LITTERATURE AFRICAINE: ETUDE DU MYTHE POETIQUE: MAIETO POUR ZEKIA DE JOACHIM BOHUI DALI OU LA VIOLENCE COMME SYMBOLE DE L’AMOUR A Thesis Submitted to the Graduate Faculty of the Louisiana State University and Agriculture and Mechanical College in partial fulfillment of the Requirements for the degree of Master of Arts in The Department of French Studies by Souleymane Fofana B.A, University of Abidjan, 1991 C2 Master, University of Abidjan, 1992 August, 2003

faire un résumé de l’histoire avant de vous en lire un passage pour ensuite pouvoir dégager les caractéristiques littéraires et amener quelques pistes de travail possible en classe. L’histoire : L’Œil du loup dévoile la rencontre entre un enfant africain et un loup d’Alaska dans un zoo. C’est par le biais de l’œil unique du loup et le regard attentif de l’enfant que s’établit un dialogue amical. Tour à tour, chacun plonge au plus profond de la mémoire de l’autre. Leur connivence met le loup en confiance

fondateur de La Reconnaissance Africaine (première revue scientifique du Bénin) et père spirituel de Paul Hazoumé ; - l’ethnologie dahoméenne dont les pionniers sont Maximilien Possy-Berry-Quénum et Paul Hazoumé ; - la littérature orale qui a servi, et sert toujours, de source d’inspiration à des romanciers comme Paul Hazoumé (dans Doguicimi[2]) et Olympe Bhêly-Quenum (dans Le chant du lac[3]), à des conteurs (Maximilien Possy-Berry-Quénum dans Trois légendes africaines[4], Anatole Coyssi et,

étire et sculpte l'or. La mère du romancier s'inquiète pour son mari : ce travail est peut être prestigieux et noble mais il est très nocif pour la santé : il attaque les poumons et la vue. Chapitre 3 : Tindican, village familial. L'auteur nous conte un de ses séjours dans un village proche : Tindican, où sa mère est née et où habite sa famille maternelle. Cette famille l'aimait énormément et le choyait beaucoup également. Son grand-père maternel est mort trop tôt pour l'avoir connu et personne

> Les genres narratifs : le conte, la nouvelle, le roman Objet d’étude : Objectif : Le récit : la nouvelle Faire apparaître le fonctionnement et la spécificité des genres narratifs Étude des genres et registres Perspective dominante : Textes et œuvres : Groupement de textes autour de la nouvelle Séquence 1-FR20 35 Chapitre 1 > La variété des genres narratifs A B ........................................................... 39 Problèmes de définitions Narrations

courtes et les romans. Mais on doit, après André Vial et Louis Forestier, s'interroger sur ce qui distingue le conte de la nouvelle et, après Matthew Mac Namara, sur ce qui unit la chronique aux short stories. Sans excès de conviction, je retiendrai que l'écrivain, en tant que tel, prend la nouvelle en charge, qu'elle est, comme le roman, l'unité d'une diversité successive, tandis que le conte (une histoire qu'on raconte...) manifeste souvent une oralité, déléguée à l'un des personnages ou assumée, semble-t-il

même, ses productions peuvent émouvoir et passionner toutes les tranches d’âges. Mettant en scène des contes classiques et occidentaux aux débuts de sa carrière, il semble s’être intéressé dernièrement à l’imaginaire et aux légendes du continent Africain. Cela est sans doute dû à son enfance passée en Guinée et un peu partout en Afrique. Ainsi, nous livre-t-il des œuvres de plus en plus en personnelles. « Azur et Asmar » en est la parfaite illustration puisqu’elle réunit l’occident et l’orient (Afrique

l’élan viril, le genou vainqueur, les plaines à grosses mottes de l’avenir ? Tiens, je préfère avouer que j’ai généreusement déliré, mon cœur dans ma cervelle ainsi qu’un genou ivre... Aimé CÉSAIRE, Cahier d’un retour au pays natal, 1946, Présence africaine, 1971 (p. 40-42). 1 Pongo : grand singe. 2 Mégir signifie « tanner une peau » ; c’est l’action du mégissier, qui utilise pour cela la mégie. 3 Oreillard : chauve-souris. 1- Conseils de méthode Avant de se lancer dans la lecture du texte à commenter