Conte d'été

Les caractéristiques des genres littéraires Conte Personnages Lieux Temps Actions Péripéties Fin de l’histoire Intention d’écriture   Fée, farfadet, magicien, animaux qui parlent, objets  animés,…      Pays imaginaire, monde merveilleux, château, forêt  enchantée,…    Il était une fois…  Jadis, …      Toujours imaginaire et irréaliste      Basé sur des éléments imaginaires (sort, potion, poison,  le méchant qui tente de détruire le bon, objets qui  s’animent ou se transforment)    Se termine toujours bien 

Analyse Genèse Il est naturel que Voltaire ait songé à écrire un conte oriental. Il était déjà l'auteur de ‘’Zaïre’’, de ‘’Zulime’’ et de ‘’Mahomet’’, et il mettait la dernière main à ‘’Sémiramis’’ lorsqu'il écrivit ‘’Zadig’’. Sa documentation en vue de l'’’Essai sur les mœurs’’ enrichit singulièrement ses connaissances sur les peuples orientaux. Il a lu le ‘’Spectator’’ d'Addison, qui contient quantité d'anecdotes curieuses. L'’’Histoire de la sultane de Perse et des vizirs’’, de Chec-Zadé

Peau d’âne ou Peau-de-toutes-bêtes Jacob et Wilhem Grimm Peau-de-toutes-Bêtes, également connu sous les noms de Peau-de-Mille-Bêtes ou de Toutes-Fourrures est un conte collecté et retranscrit par Jacob et Wilhem Grimm, dans les Contes des Enfants et du Foyer (Kinder- und Hausmärchen - Berlin -1812) sous le titre allemand Allerleirauh. Nous avons choisi la traduction de Wikisource http://fr.wikisource.org/wiki/Peau-de-toutes-b%C3%AAtes, dont nous avons quelque peu modifié la mise en forme

Pg1Pg1 Littrature et Linguistique Franaise Le Schma Narratif Le schma narratif : n.m. le schma narratif voit le jour la suite des travaux structuralistes de Propp sur le conte ou de Greimas sur le schma actantiel. Il dcompose la structure d’?un rcit en cinq tapes. Les cinq tapes du schma narratif : 1/ la situation initiale : elle correspond au dbut du rcit et prsente tous les lments indispensables sa comprhension

par un autre moyen relèverait de « l’obscénité ». Les contes sont des objets artistiques qui permettent aux enfants de se reconnaître, de se relier entre eux et également de créer un lien avec l'humanité passée et à venir. Cette dimension donne au conte traditionnel son statut artistique. Le message passe sous une forme accessible et acceptable par l'enfant. - Pour Philippe Meirieu, l'art permet d'exprimer nos angoisses et de les ancrer dans une culture commune afin de les sublimer. Il s’agit, en

« une configuration narrative récurrente » [2]. ------------------------------------------------- Topos majeurs Exemples de topos majeurs : * la scène de la première rencontre amoureuse * la déclaration d'amour dans un conte * la scène de bal dans un conte * la scène de combat dans une pièce de théâtre * le récit de la naissance dans une autobiographie * le jardin fermé ou ouvert * l'anagnorèse : révélation finale d'un lien de parenté entre des personnages (comme dans

la véritable nature de Gilles. Les sous entendu de l’auteur nous permettent de dire qu’il est un véritable criminel. Des liens avec le Barbe Bleue de Charles Perrault et d’Amélie Nothomb sont alors établis. On retrouve tout le côté seigneuriale du conte de Perrault, et la passion pour Dieu et l’art dans celui de Nothomb. Dans le roman d’Amélie Nothomb, il est ambivalent, car il est dangereux mais est charmant. Il aime charmer, plaire, il ferait tout pour les femmes qu’il aime : c’est un homme à femmes

AROUET Ecralinf O Tremblement de terre de Lisbonne Wolf  disciple de Leibniz « le mal n’existe pas » T Incipit du conte Fonctions de l’incipit  QTB !! - Fonction informative - Fonction générique ( genre) - Fonction dramatique/narrative - Fonction proleptique 1/ les caractéristiques du conte 1.1 la temporalité -il y avait > 1.2 l’espace - château > connotation : - Westaphalie : lieu réel > effet de réel - TTK >

récit 1) un récit complet et traditionnel a) les indices du récit alternance traditionnelle de tps du passé pr le récit : imparfait (« était », « avait », « ressemblait » l.1, « voyait », « étaient », « pouvait » l.2…) très présent au déb du conte, notamment ds le 1er §, pr mettre en place les actions de 2d plan, le décor, les descriptions sommaires ; passé simple (« vint » l.7, « pria » l.8, « dit » l.9, « puisa », « présenta » l.10…) évoquant les actions de 1er plan qui lancent l’intrigue

A Alphonse Daudet le conteur d’histoire Tout d’abord je tiens à vous remercier pour votre belle histoire, même s’il ne s’agit toujours pas d’un conte badin, je l’ai vraiment adoré. J’ai pu constater, Suite à la lecture de votre lettre, que la mélancolie ne vous a point encore quittée, j’espère qu’à la prochaine lettre le brouillard parisien ne vous atteindra pas. « La légende de l’homme à la cervelle d’or » a suscité en moi un grand intérêt. Au début de votre histoire, vous décrivez cet