Conte Télégramme

morale, est pratiqué par de nombreux auteurs soucieux de convaincre leurs lecteurs en recourant à cette forme littéraire plaisante et efficace. La Fontaine y voit par exemple le moyen d’instruire sans lasser : « Une morale nue apporte de l‘ennui ; le conte fait passer le précepte avec lui », de même que Charles Perrault, qui prétend illustrer une morale à l’aide de ses contes, des « bagatelles » certes, mais qui selon lui « renferment une morale utile ». C’est donc surtout parce qu’il joint l’utile à

populaire, oralité, tradition orale, conte, conteur, folklore , Maroc Corps de la communication Pour introduire mon exposé, je dirais qui d’entre nous, étant bébé n’a pas été endormi dans les bras de sa mère par l’éternelle chanson ‘’ frère Jacques, dormez vous…) Et étant enfant on a pris l’habitude de s’endormir par un conte des fées habilement raconté par nos grand-mères. Et étant grands nous avons tous été émerveillés et captivés par l’histoire d’un conte ancien racontée merveilleusement

Commentaire composé du chapitre 16 de l'oeuvre de Voltaire qui conte les aventures d'un jeune huron qui découvre la France. L'auteur centre son récit sur la critique de la religion. Résumé: Voltaire utilise des genres divers pour dénoncer les injustices, l'arbitraire et lutter contre l'oppression. Dans ce but, il invente une nouvelle forme littéraire : le conte philosophique. Il émet ici des critiques sur la religion et en particulier sur les Jésuites en utilisant un discours qui néglige la foi

2/ LE MOT FABLE : 1 - L’étymologie : « Petit récit moralisant illustré à l'aide d'animaux » (M. de France, Fables, éd. K Warnke, Prologue, 19). Empr. au lat. class. fabula « propos, paroles » d'où « récit fictif, pièce de théâtre, narration, conte, apologue » attesté notamment au sens 3 par Phèdre. 2 – Différents sens du mot fable : Une fable peut être une histoire, un mensonge, une invention, une légende et une blague. 3 – Les mots de la même famille : Donnez la nature grammaticale

Lecture du conte : Le petit chaperon rouge Le sens évident : Le sens se confond avec la morale de l’histoire ; c’est le sens superficiel. La petite fille qui court un grand risque de sortir du droit chemin, tombant sous les dents d’un méchant loup. Le texte apparait comme un message codé pour les besoins de la bienséance, mais nul ne peut se tromper : le loup n’est qu’un male jouisseur. Donc, la morale oriente le sens du texte dans la mesure où elle vient comme conclusion. Seulement notre

« La Laitière et le pot au lait » = histoire d’une jeune paysanne qui rêve de s’enrichir mais retour brutal à la réalité. En quoi cette fable illustre-t-elle le principe « plaire et instruire » cher à La Fontaine ? I – Un récit plaisant Le conte a une valeur éducative : - Texte vivace (rythme) → Vers bref (ex : « Perrette sur sa tête ayant un pot au lait » (v 1) → présente le pers. princ. → rimes : ville/agile → musicalité, entrain - Impression de simplification pour en faire en texte

l'optimisme du siècle des Lumières. Le fantastique a souvent été utilisé par des auteurs pour contourner la censure. On tolèrera plus facilement des idées choquantes si elles sont présentées comme l'œuvre de la folie ou du Diable. La mode du conte fantastique reste vigoureuse en France jusqu'à la fin du XIXe siècle.

représenté sous la forme du lion et de hauts personnages de la cour de l'époque. Les fables s'adressent aussi aux adultes parce qu'il faut avoir une certaine culture pour comprendre toutes les métaphores que lafontaine glisse dans ses fables, derrière le conte bien gentil destiné à faire la morale aux enfants(leçons de vie avec les thèmes du bonheur, de l'amitié) se cache une satire du pouvoir arbitraire. d'autre part, la fontaine glisse énormément d'allusions à la mythologie de l'antiquité grecque et latine

révélation, mais qu'il décèle dans les forces mystérieuses de l'Univers, dans la toute puissance du destin, dans l'innommable comme dans l’ineffable. Stendhal, lui, n'avait aucune inquiétude religieuse ni métaphysique : aussi n'a-t-il jamais écrit de conte fantastique. Pour en rêver, ne fût-ce qu'un seul, il faut avoir le sens du mystère, de l'au-delà, d'une transcendance de quelque nature qu'elle soit. Marcel Schneider, La littérature fantastique en France, Fayard, 1964

|  | | |« Une morale nue apporte de l'ennui : |L’histoire capte l’intérêt du lecteur, elle le | | |Le conte fait passer le précepte avec lui. |divertit. Les gens aiment qu’on leur raconte des | | |En ces sortes de feinte il faut instruire et |histoires (cf. la fable : Le pouvoir des fables). | |