Contes du jour et de la nuit

(Maupassant) - Wikisource La Peur (Maupassant) La bibliothèque libre. Contes divers (1884) Guy de Maupassant La Peur Le Figaro, 25 juillet 1884 ◄ Le Tic La Tombe ► Le train filait, à toute vapeur, dans les ténèbres. Je me trouvais seul, en face d’un vieux monsieur qui regardait par la portière. On sentait fortement le phénol dans ce wagon du P.-L.-M., venu sans doute de Marseille. C’était par une nuit sans lune, sans air, brûlante. On ne voyait point d’étoiles, et le souffle

ont changé le cours de l’histoire et des auteurs tels que Flaubert et Stendhal contribuèrent énormément aux changements entre les deux mouvements. Une variété de textes ont laissé entrevoir les caractéristiques connues aux mouvements, tel que les contes, les poèmes et les romans. Ces écrits littéraires font ressortir les fantasmes, les désirs, les désespoirs, les espérances et parfois même des visions futuristes. Trois grands principes conçoivent le romantisme : les Passions, l’accent sur l’individu

Gaulois le 17 février 1884, puis reprise dans le recueil Contes du jour et de la nuit en 1885. Les personnages principaux sont : Mathilde Loisel et son mari, de prénom inconnu. Résumé : Mathilde Loisel est une parisienne au foyer qui rêve d'une vie de faste, de richesses et d'élégance. Elle est l'épouse d’un petit employé du ministère de l'Instruction publique, qu'elle a épousé faute de mieux, mais qui en fait beaucoup pour elle. Un jour, celui-ci arrive avec une invitation pour une fête au Ministère

que ses tuteurs, les Thénardier, l'ont envoyée en pleine nuit dans la forêt voisine pour remplir un seau d'eau. Annonce des axes : Pour rendre compte de l'angoisse de l'enfant, Hugo métamorphose la forêt en un décor nocturne terrifiant et, par une généralisation caractéristique de la vision romantique du monde, donne à la marche de la fillette une forte valeur symbolique. I. La métamorphose terrifiante du monde Hugo peint une forêt la nuit, les « nuages noirs », « une grosse étoile » et la végétation

Rédaction (15 points) L’usage de la calculatrice et de tout document est interdit. Pour la deuxième partie (rédaction), l’usage d’un dictionnaire de langue française est autorisé. Un beau matin d’hiver – une matinée de brume, quand la lumière du jour naissant se confond encore avec les halos des réverbères – un homme marchait le long d’un canal. C’était un homme non pas très âgé, mais usé par la vie, pour avoir dormi dehors et avoir bu trop de vin. Cet homme-là (mettons qu’il s’appelait Ali) n’avait

ANDERSEN LA PETITE FILLE ET LES ALLUMETTES ET AUTRES CONTES ------------------------------- A ALAIN-FOURNIER Voir ON N’EST PAS SÉRIEUX QUAND ON A QUINZE ANS, p. 50 (La Petite Fille et les allumettes. La Princesse sur un pois. La Petite Poucette. La Petite Sirène. Les Habits neufs de l’empereur. L’Intrépide Soldat de plomb. Le Vilain Petit Canard. La Bergère et le Ramoneur. Les Amours d’un faux col) Ni fées ni carrosses dans ces contes – le merveilleux s’installe dans le quotidien et le transforme

I. Le philosophe et les autres hommes II. L'esprit des Lumières I. Le philosophe et les autres hommes a) Les liens →les passions communes l. 12/13 + l. 14/15 "les ténèbres/la nuit" → liées, se renvoient. b) Les oppositions * "ténèbres" ≠ "nuit" : Après la nuit, le jour et dans la nuit, il y a les étoiles donc de la lumière. * "les autres hommes" ≠ "le philosophe" Pluriel = masse ≠ sg: autonome, personnel

Les contes de la bécasse Première histoire: Ce cochon de Morin Morin étant battu par sa femme, un jour vit une belle femme devant lui et décida alors de la suivre. Il fit connaissance avec elle et ils se mirent à discuter. Ne sachant quoi lui faire comme compliment et la voyant lui sourire depuis longtemps, il entreprit de l'embrasser. C'est alors qu'il se fit pousser par elle, étant affolée de voir l'homme se précipiter sur de cette façon. La jeune femme porta une plainte à la police

et registres | | |d’argumentation, une même conception de la condition de la femme se | | |fait-elle jour ? | |LECTURES ANALYTIQUES (groupements de textes) | |- Texte n°1 : La Fontaine : Fables « La jeune veuve »

En 1883 est publié un recueil de nouvelles intitulé « Contes de la bécasse » et dont l’auteur est l’écrivain français Guy de Maupassant. En lisant « Contes de la bécasse », on peut faire connaissance avec un grand nombre de personnages. En premier lieu, on fait la connaissance du vieux baron des Ravots par qui tout commence. En effet, il s’agit d’un homme qui a été le meilleur chasseur de sa province durant quarante ans mais qui ne pouvait plus s’adonner à sa passion depuis cinq ou six ans étant