Contexte Historique De La Joconde

DU TRECENTO AU CINQUECENTO Plan du cours: I- Historique II- Trecento, un passage vers la Renaissance italienne (XIVè) II- Les débuts du Quattrocento (XVè) III- Le Quattrocento IV- Le Cinquecento (XVIè) Introduction – De la fin du Moyen-Age à la Renaissance, aperçu historique et artistique. Le Moyen Age s'étend sur une vaste période (V-XV). Cette entrée dans l'époque moderne correspond au développement d'un mouvement appelé la Renaissance. En Italie, les prémices de la Renaissance

artisan auquel on passait la commande de portraits, donc un tâcheron dont les œuvres étaient jugées à son aptitude à copier des sujets réels. Un bon portrait devait être conforme à l’original, sans toutefois en accentuer trop les défauts. Dans ce contexte, l’idée que l’art se doit d’imiter la Nature va plutôt de soi. La figuration de la Nature est un passage obligé pour l’art. Ne trouve-t-on pas dans la sculpture grecque des moulages de taureau où il semble bien que les « artistes », se soient contentés

double de celle du séjour à Saint-Pétersbourg qui les sépare. Les occupations de Diderot à La Haye justifient sans doute le détour et explique sans doute pourquoi il a laissé un Voyage en Hollande et peu de notes en soi sur son voyage en Russie. Contexte Diderot était invité depuis 11 ans auprès de Catherine II et les largesses de l'impératrice méritaient certainement qu'il aille la remercier de vive voix. Toutefois, ses obligations (l'Encyclopédie, la Correspondance littéraire entre autres) et son

se pose : cette beauté est-elle objective ou subjective ? Si la beauté est objective, pourquoi alors ne sommes-nous pas tous d’accord pour trouver une œuvre belle (certains trouvent beau le Requiem de Mozart, d’autres non ; certains admirent la Joconde quand d’autres restent de marbre en face d’elle) ? Cela laisserait penser que la beauté est plutôt subjective. Mais si c’est le cas, alors on peut trouver tout beau, c’est-à-dire que tout peut devenir de l’art. On retombe alors dans les problèmes

qui apparaissent dans les mass media ; • Permettre d ’analyser et d ’interpréter les divers symboles au sein de ces productions ; • Fournir une clé des songes. Les archétypes psychosociaux 2 Modèle systémique de la communication Contexte Co-texte(s) Message Dispositif d ’énonciation Relations Contenu Attitudes Spectateur (MEUNIER, 1991) Les archétypes psychosociaux 3 Rêves et inconscient • Pour Freud, l ’essence du rêve est la satisfaction hallucinatoire

que ceux-ci se donnaient : la peinture « académique » du XIXème siècle a pour objectif de représenter, avec une technique particulière qui privilégie le dessin à la couleur donnant alors des toiles assez sombres aux forts contrastes, des scènes historiques, mythologiques, ou encore des nus. Les canons sont alors ceux de l’Antiquité. Le mouvement impressionniste se distingue par sa technique en touches de peintures, et vise à représenter des paysages, des scènes de vie quotidienne, des genres peu nobles

premières de grande qualité, ils conditionnent leurs biscuits et gauffrettes dans de superbes boites en fer. Certains biscuits représentent les lettres de l’alphabet, d’autres véhiculent blagues et devises. Après avoir porté les noms de personnages historiques, les nouvelles pâtisseries évoquent pays étrangers, pièces de théâtre et faits de société. En 1914, les pâtissiers français possèdent un savoir-faire éblouissant, certains font de brillantes carrières à l'étranger. Crème Moka Vous mettez seize

figure mythique emblématique de la fin du siècle, l’intérêt pour le personnage d’Ophélie se manifeste en France dès la première moitié du siècle, lié à l’engouement que la bataille romantique a fait naître pour le théâtre de Shakespeare. La filiation historique entre l’Ophélie romantique et l’Ophélie fin de siècle n’est pas cependant linéaire. La sensibilité romantique française retient d’Ophélie la passion malheureuse et la folie, tantôt égarement amoureux, tantôt douleur morale, aux accents spleenétiques

(influence des grands voyages, cf. point historique). · Opposition aux dogmes de l’Eglise  (proposition théorique établie comme vérité indiscutable par l’autorité qui régit une certaine communauté). · Exigence d’un retour aux textes de l’Evangile, la confiance dans la « parole sacrée du texte » et non dans son commentaire (cf. point historique, guerre de religion)CaractéristiquesL’humanisme

n'est qu'au XIXe siècle qu'elle se généralisa avec « l'exaltation du génie, doublée d'une surestimation romantique de l'exécution autographe » [1] Dans le meilleur des cas, l'expert redresse le cheminement historique de l'objet d'art, qui devient alors authentique de part la preuve historique. On l'appelle aussi « pédigree » de l'oeuvre, elle consiste à établir de manière la plus complète possible l'histoire de l'oeuvre jusqu'à remonter à son origine même, cad l'atelier de l'artiste. Quand cette