Contexte Religieux Au Moyen Age

Enzo ETUDE CRITIQUE DE DEUX DOCUMENTS : Ce qu’ils apportent à la connaissance des villes au Moyen-Age. Le premier document est un extrait des statuts de Bologne de 1288 et le second est une photo aérienne d’une ville au Moyen-Age. Dans un contexte d’urbanisation et d’expantion de la société, ces deux sont différentes et ont un mode de développent et de répartitions du pouvoir différents. Premièrement, les villes

DIDACTIQUE Gestin,Daniel, et Montsellier Marie-Ange (dir.), Lettres ouvertes, « Le fait religieux. Question pour l'enseignant de français » CRDP de Bretagne, 2002. Cette revue propose à l'enseignant de français de se questionner sur la place du fait religieux à l'école et son enseignement au regard des programmes scolaires et des oeuvres étudiées. Cette revue propose une démarche plurielle et pluridisciplinaire. Elle se caractérise par une pluralité des points de vue

Plan et vocabulaire du cours : « Comment vivent les sociétés européennes christianisées au milieu du Moyen-âge? » I.Les sociétés du milieu du Moyen-Age vivent fortement encadrées par un clergé A/Au XI ème siècle, L'Eglise se réforme -Eglise: assemblée des premiers chrétiens -pontife, pontificat, :titre donné aux évêques de l'Église catholique -concile : réunion d'évêques et de cardinaux fixant le dogme de l'église catholique -clergé : prêtre, abbé ; évêque ; :prêtre de l'Église cath

perfectionnée face « au jargon barbare » de France. III/ Le Moyen-Age : un temps de désordre politique, religieux et social incompatible avec l’excellence. Manichéisme de la Vision des Lumières. A/ Un temps de troubles politiques, moraux et religieux créant un climat non propice à l’émergence artistique B/ Le cas de la France. L’impossible émergence intellectuelle. (+ critique de la scolastique) Une France marquée par les vices du Moyen-Age/ enfermée dans une culture « marquée par le sceau de la barbarie

domine en Europe du début du XIè siècle au milieu du XIIè et même dans certains pays, jusqu'à la fin de ce dernier. Il dérive de l'art carolingien qui, sur un fond puissant de traditions romaines et gallo-romaines, s'est imprégné durant le haut Moyen Âge d'influences orientales : Asie, Proche Orient, Byzance… Diverses circonstances comme les pèlerinages et les croisades ont renforcé ces apports auxquels des traditions linéaires abstraites, celtes, barbares et arabes viennent s'ajouter dans certaines

occidentale de cette période est le réalisme avec lequel les artistes exposent leurs sujets. Grâce à l'utilisation de la perspective et à la maîtrise des couleurs, les artistes ont réussi à donner vie à leurs œuvres.Ainsi, la différence entre le moyen âge et la renaissance est ainsi l’introduction d’un plus grand esprit de la méthode mais surtout l'émergence d'un nouvel intérêt pour l'étude de la nature et de l'univers. Nous nous demanderons donc comment, à travers la peinture occidentale du 15-16ème

c'est ce qui fonde (droit, philosophie, art, histoire..) la modernité, au sens de période historique. Pourquoi s'en distingue-t-elle de l'histoire médiévale ? Pourquoi les modernes rejettent-t-ils, au 16ème siècle, ce qui précède ? L'expression Moyen Age, est utilisée de façon banale, mais ce n'est pas une expression neutre, c'est une idée idéologique, des humanistes qui veulent s'éloigner de cette époque : temps médian, au milieu de deux pôles, qui sont : d'un côté, l'Antiquité, la culture classique

faut savoir que l’art en général, au Moyen-Age, est surtout religieux. Que ce soit dans le domaine de la peinture, de la sculpture ou de l’architecture, l’art parle de Dieu et lui est voué. L’histoire des cathédrales est liée au renouveau que connaît l’Occident à partir du XIème siècle. Cette période du Moyen-Age marque le retour de la prospérité. On remarque un essor dans les villes, ce qui rend l’Eglise plus puissante que jamais. C’est donc dans ce contexte que s’ouvriront les chantiers de cathédrales

IntroductionMettre en scène le théâtre religieux traditionnel dans une démarche interculturelle Nikta Sabouri Thèse présentée à la Faculté des études supérieures et postdoctorales dans le cadre du programme de Théorie théâtrale et dramaturgie en vue de l’obtention du grade de maîtrise ès arts Département de théâtre Faculté des études supérieures et postdoctorales Université d’Ottawa © Nikta Sabouri, Ottawa, Canada, 2016ii Remerciements En préambule à cette thèse, je souhaiterais

Higgins, Membre extérieur (Département d’anglais) RÉSUMÉ Ce mémoire traite de la notion de carnavalesque, qui fut proposée par le théoricien russe, Mikhaïl Bakhtine dès les années 1920. A partir de l’étude de la tradition orale des carnavals au Moyen Age et à la Renaissance en France, Bakhtine postule que la littérature peut être le lieu d’une subversion de la pensée vis-à-vis de la société. Opposant culture classique et culture populaire, Bakhtine définit le lien dialectique par lequel monde officiel