Contre Blason

PAPON • A partir du milieu du XX° s le devoir de mémoire a été reconnu officiellement a travers des déclarations officielles et des textes de lois (lois mémorielles). Ex : Loi Gayssot 1990 : délit de la contestation de l’existence des crimes contre l’humanité ; Loi 2001 : reconnaissance du génocide arméniens ; Loi 2001 : reconnaissance comme crime de l’humanité la traite négrière et de l’esclavage. II. Un devoir de mémoire limité A. Limité car utopique • le temps qui

concentration et d’extermination, les Alliés décident de les filmer, afin d’informer le monde entier et de constituer des témoignages irréfutables, notamment en vue de ce procès. Le fait qu’ils aient ainsi été présentées comme preuves à charge contre les accusés constitua donc une grande première et l’accusation prit de multiples précautions afin que celles projetées soient considérées comme irréfutables. L’idée de John Ford était bien par la projection de ces images, de mettre les « nazis face

moment commencera une histoire de passion très intense, elle a à peine quinze ans et demie et lui dix ans de plus. Venant d'une famille très pauvre elle va se laisser séduire par ce chinois riche, avec qui découvrira la jouissance et le plaisir, par contre cette relation ne sera jamais avoué à sa famille qui refuse toute relation de la fille blanche avec un chinois. Sa famille, la mère et ses deux frères, profitera de la générosité du chinois, il les amène aux restaurants chers par exemple. La relation

| | | | Définitions des 5 ou 6 concepts principaux : Eichmann : Auteur de crime contre l’humanité durant le III° Reich Faculté de jugement : Pour Kant, « faculté de penser le particulier comme contenu dans le général », le jugement désigne un acte de l’esprit posant des relations entre des termes. Impératif gatégorique : Il exprime

des crimes de guerre. Ce projet tient à une dimension juridique qui vise à prescrire tous les crimes et délits, passé le délai de vingt années. Le texte nous interroge sur une double dimension, l’une juridique, l’autre morale : Juridique : le crime contre l’humanité est-il un crime comme les autres ? Morale : comment ce qui est impardonnable peut, après vingt ans, devenir pardonnable ? La thèse développée par l’auteur est qu’un tel crime est impardonnable, imprescriptible « Lorsqu’un acte

le 11 avril 2000 un mandat d’arrêt international avait été émis par un juge belge à l’encontre de M. Ndombasi, ministre des affaires étrangère du Congo. Il était reproché à ce dernier de s’être porté auteur de crimes de guerre ainsi que de crime contre l’humanité, avant sa prise de fonctions, lorsqu’il était encore directeur de cabinet du Président. Les crimes dont il était ainsi accusé étaient punissables en Belgique en vertu de la loi du 16 juin 1993 relative à la répression des infractions graves

international ; Les fleurs du Lotus ; Médecins du monde; Amitié-Coopération Franco-Lao ; CRF – Croix Rouge Française ; LNP (sida) - Sécurité Alimentaire: Action contre la faim ; Sol Asia ; CDTC - Éducation/Formation professionnelle: SOS villages d'enfants ; CCL – Comité de Coopération avec le Laos - Aide au développement de l'agriculture : Action contre la faim ; ARAL – Action Rhône-Alpes/Laos - Associations de parrainage d'enfants: Partage ; Sol Asia ; Enfants d’Asie - Protection de l'environnement/Aide

que le concept, né des travaux de la Commission internationale indépendante de l'intervention et la souveraineté des États (CIISE) après les génocides du Rwanda et de la Bosnie, vise à empêcher les crimes de masse dans quatre cas : génocide, crimes contre l'humanité, crimes de guerre et nettoyage ethnique. Le concept se décline en trois volets : la prévention, l'intervention et la reconstruction. En 2009, le Secrétaire général de l'ONU a proposé son articulation en trois piliers : 1) la responsabilité

japonais (l'URSS, toujours liée au Japon par un traité de non-agression, s'était abstenue de prendre part à cette décision). Le 6 août c'est le bombardement d'Hiroshima, le 9 août c'est celui de Nagasaki et l'entrée en guerre de l'Union Soviétique contre le Japon ; le 10 août le Japon fait savoir qu'il accepte les termes de la déclaration de Potsdam à l'exception des dispositions qui viseraient l'empereur ; le 14 le Japon fait connaître sa pleine acceptation de la déclaration de Potsdam : le 15 c'est

intérêts et les poids sont très diversifiés. Mais toujours est-il que pour la première fois dans l’histoire, une juridiction permanente à vocation universelle devient compétente pour juger les auteurs des crimes d’agression, de guerre, les crimes contre l’humanité et de génocide. Il s’agit en soi d’une avancée extraordinaire qui marque un changement de cap face à la réticence historique des États à se soumettre à la justice internationale. Le paysage actuel semble plus nuancé : les institutions judiciaires