Convergences et alternative

de la notion même de civilisation) et d’autre part sur sa capacité à assurer encore sa « mission » universelle. Les contestations externes proviennent de la volonté de singularisation des autres civilisations et de leur souhait de développer une alternative à la mondialisation occidentale. Certains intellectuels sont en désaccord avec le concept de civilisation en tant qu’aire homogène de culture, de traditions et d’esprit ou en tant que phénomène progressiste qui tendrait vers un Idéal au fur et

émergents en chemin vers cet état final. Nous faisons ici référence au concept de la beta convergence absolue, selon cette théorie tous les pays convergeraient vers un même point (l‟état stationnaire), les pays étant le plus loin de cet état seraient ceux qui auraient le taux de croissance le plus élevé. Les auteurs économiques contemporains ont préféré la théorie de la convergence conditionnelle à celle de la convergence absolue, celle-ci précise que chaque pays évolue vers un état stationnaire sachant

trois premiers chapitres, les positions des différents acteurs du champ économique et social ; elle questionne la RSE à la lumière des théories de l’entreprise, pour en proposer finalement une définition pluridimensionnelle. Celle-ci serait une convergence de trois objectifs : prospérité économique, justice sociale et qualité environnementale. Reste à savoir comment appréhender les résultats et les comportements d’une entreprise dans ce domaine. C’est l’objet de la seconde partie de l’ouvrage. Les

mouvance va proposer des alternatives au monde actuel. Puis la reprise des luttes sociales dans les pays du Nord constituera sa troisième phase. On peut considérer que nous sommes actuellement dans la quatrième phase du mouvement, caractérisé par l’échange d’idées et les propositions à travers l’organisation de Forums sociaux mondiaux. Les Forums sociaux sont des espaces de dialogue de la société civile. A ce titre, les ONG peuvent y participer afin de trouver de nouvelles convergences sur des actions très

La “ main invisible ” d'Adam Smith : pour en finir avec les idees recuesLA “ MAIN INVISIBLE ” D'ADAM SMITH : POUR EN FINIR AVEC LES IDÉES REÇUES Jean Dellemotte Alternatives économiques | « L'Économie politique » 2009/4 n° 44 | pages 28 à 41 ISSN 1293-6146 Article disponible en ligne à l'adresse : -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- https://www.cairn.info/revue-l-economie-politique-2009-4-page-28

l’ensemble des domaines de connaissances utiles à l’organisation et à ses différents acteurs. Il s’élabore sur le modèle des exemples proposés dans le dernier chapitre. L’ensemble des niveaux de compétences acquis par une personne constitue une alternative à l’évaluation classique du « potentiel » humain. La « compétence » devient un concept opérationnel car il permet de montrer, par des faits significatifs (savoirs, savoir-faire, savoir faire-faire), de quelle façon et à quel niveau un « potentiel

1.3) Les effets de la mondialisation Les effets positifs : * La convergence mondiale : Selon la théorie de la convergence, les pays du monde convergent en fonction de leur indicateurs économiques. * L’accès aux produits, à l’information, à la technologie. * La transparence : nous avons de plus en plus l’obligation d’être transparent, cependant transparent ne veut pas dire clarté, sincérité. * La baisse des couts grâce à l’ouverture internationale. * Le développement des rencontres

bonne condition pour créer une alternative du dollar. C’est un symbole qui rassemble un peuple. Maintenant on commence à payer le pétrole en euro et l’OPEC a commencé à accepter les paiements en euro. L’objectif de l’Union Européenne est de garanrtir la paix. Qu’est-ce que Maastricht apporte comme nouveautés ? – On se retrouve avec un pas en avant, fortement voulu par Jacques Delor : la vision d’une monnaie unique. Pour cela il fallait des critères de convergence, c'est-à-dire les conditions

ailleurs, la recherche d’un autre critère de substitution apparait délicate (II). I°/ Une conception convergente de la séparation des pouvoirs L’analyse des institutions représentatives des régimes parlementaire et présidentiel montre une convergence en ce sens qu’aucun de ces régimes ne pratique une séparation stricte des pouvoirs. Alors que c’est l’apanage traditionnellement rappelé du régime présidentiel, nous montrerons que celui-ci, en pratique, se rapproche davantage d’une séparation souple

entre pouvoir de contrôle de l'actionnaire et pouvoir de gestion et d'organisation des dirigeants, et insistent en outre sur la nécessité par le conseil de surveiller ceux qui gèrent la société. Cette approche fit voler en éclat le mythe de la convergence des intérêts entre actionnaires et dirigeants d'entreprise. Parallèlement, la concentration des titres entre les mains des gestionnaires de fonds de pension (investisseurs institutionnels) adeptes de la corporate gouvernance entraînait une modification