Conversations Avec Les Hommes Voltaire

collège d’hommes monacal La défense d’un bonheur purement humain L’obsession de la liberté * Champ lexical contrainte associé à négation et modalisation (honteuse sujétion, joug de servitude) – Idée = chacun est son propre maître – Laisser les Hommes libres d’agir leur permet de se tourner vers le Bien – Liberté condition de réussite humaine, morale mais aussi physique, intellectuelle et amoureuse. Le plaisir du corps et de l’esprit avant tout * Activités plaisantes qui ne négligent pas

époque comme Boileau par exemples dans ses Satires où il raille les prétentions des hommes. La conversation : se développe dans les salons tenus par des dames de haut rang. Passionnées de littérature et d’histoire, ces dames réunissent chez elles les grands esprits de leur temps, pour disserter à propos de sujets varies ou lire en public des œuvres littéraires. Le salon est un lieu de débat où l’art de la conversation est maitre : il s’agit de défendre un point de vue sans froisser son interlocuteur

extérieure, vanité → condamné. Son regard descend, oublie les Dieux qui sont au-dessus. → à force d’avoir d’yeux que pour soi-même on finira par tout perdre Evangile selon St-Luc (« le retour du fils prodigue » ) – le père représente Dieu et les fils les Hommes. Certains oublient les valeurs de Dieu et certains reviennent à temps auprès de Dieu et se change en bien. → ne pas se plaindre lorsque qqun qui n’a jamais rien fait est très récompensé d’un coup alors que nous qui avons toujours fait notre devoirs

Dans la Préface de son Dictionnaire philosophique portatif, Voltaire écrit : "les livres les plus utiles sont ceux dont les lecteurs font eux-mêmes la moitié ; ils étendent les pensées dont on leur présente le germe ; ils corrigent ce qui leur semble défectueux, et fortifient par leurs réflexions ce qui leur parait faible[1]." Que pensez-vous de cette affirmation ? Quelles sont les relations entre auteur et lecteur ? => Voltaire suppose que le lecteur ne soit pas passif. Intégration du lecteur

atomes (gens) se parlent. Pour le Sirien, ils ne peuvent pas parler car ils n’ont pas d’organes, la voix pas d’âme pas cette espèce les hommes  insectes (mites, atomes). Micro coupa une rognure d’ongles est construisit une grande trompette pour entendre parler les hommes Il adoucit la voix avec des cures dents Il va jusqu’à offrir sa protection aux terriens. Les hommes du vaisseau ne le voient pas et l’aumônier prie des prières d’exorcisme. Le nain raconta d’où ils venaient et le voyage de Saturne.

travail des hommes. Confiants en la capacité de l'homme de se déterminer par la raison, les philosophes des Lumières exaltent aussi la référence à la nature et témoignent d'un optimisme envers l'histoire, fondé sur la croyance dans le progrès de l'humanité. L'affirmation de ces valeurs les conduit à combattre l'intolérance religieuse et l’absolutisme politique. David Hume David Hume David HumeGotthold Ephraim Lessing Certains philosophes interviennent dans des affaires judiciaires (Voltaire défend

Je cherche qqun pour m'aider à étoffer mon commentaire ! Micromégas est un géant qui vient de la planète Sirius. Au chapitre 4, il arrive sur Terre. CHAPITRE VII Conversation avec les hommes « Ô atomes intelligents, dans qui l’Être éternel s’est plu à manifester son adresse et sa puissance, vous devez, sans doute, goûter des joies bien pures sur votre globe ; car ayant si peu de matière, et paraissant tout esprit, vous devez passer votre vie à aimer et à penser ; c’est la véritable

I- L'AUTEUR ET SON CONTEXTE Voltaire, de son vrai nom François Marie AROUET, né à Paris le 21 novembre 1694 et décédé le 30 mai 1778 dans la même ville, est un grand philosophe des Lumières ayant pratiqué de nombreux genres littéraires tels que la poésie, le théâtre, le conte philosophique, ou encore l'essai. Des circonstances personnelles justifient l'écriture de cette œuvre car Voltaire utilise l'Ingénu pour transmettre ses idées et ses convivctions tout en évitant la censure. II- L'OEUVRE

volonté de rassembler toutes les connaissances disponibles et de les répandre auprès du public – d’un public éclairé. Le mouvement des Lumières se distingue des mouvements intellectuels qui l'ont précédé par son destinataire : l'opinion publique. Voltaire, Diderot et leurs amis sont des agitateurs d'idées ; ils veulent discuter, convaincre. Les progrès de l'alphabétisation et de la lecture dans l'Europe du xviiie s. permettent le développement de ce qu'on a appelé un « espace public » : les débats

nobles, soucieux de leurs privilèges, s’y opposent. Sur le plan social et culturel, le mouvement des idées se fait contre la cour qui cesse d’être le centre du pays et la source de l’opinion. C’est dans les salons que l’on entretient le goût de la conversation brillante et est fréquenté par les habituées : les gens du monde et les philosophes. Les cafés sont des lieux où l’on échange des idées. Et enfin les clubs est l’endroit où les esprits sérieux et soucieux de progrès s’intéressent aux problèmes