Cordeliers

s’imposant volontairement des punitions dans l’intention de réparer leurs fautes. 4. « roue » : instrument de supplice sur lequel on attachait la victime avant de lui briser les membres avec une barre. 5. « prieur » : celui qui dirige un couvent. 6. « cordelier » : religieux qui porte pour ceinture une corde à trois nœuds. Texte C : Guillaume APOLLINAIRE, « Nuit rhénane », Alcools, 1913. [Dans ce poème, Apollinaire s’inspire des paysages et des légendes de la vallée du Rhin, en Allemagne.]

elles furent officiellement autorisées par le gouverneur de Guyenne, à la condition que la place fut « close et fermée de barrières » pour éviter les accidents. Les courses de taureaux se déroulèrent dès lors à l’emplacement de l’ancien couvent des Cordeliers qui devint, par la suite, la place de la Course (face à La Poste). En 1857, lors de la venue de Napoléon III, les arènes avaient la forme d’un fer à cheval long d’une quarantaine de mètres et d’une contenance de 2 000 places environ. | C’est

éléments passés comme elle les a vécu quand ils se sont déroulés. Ainsi, de nombreuses incohérences et contradictions font leur apparition au fil du récit. Par exemple, lorsque Suzanne fait le portrait du père Lemoine, elle parle au présent : "C'est un cordelier ; il s'appelle le Père Lemoine ; il n'a pas plus de quarante-cinq ans. C'est une des plus belles physionomies qu'on puisse voir ; elle est douce, sereine, ouverte, riante, agréable [...]" (page 227). Puis, après de nombreuses descriptions précises

moine qui expirait couché dans la cendre des agonisants, - une jeune fille qui se débattait pendue aux branches d'un chêne, - et moi que le bourreau liait échevelé sur les rayons de la roue.      Dom Augustin, le prieur défunt, aura, en habit de cordelier, les honneurs de la chapelle ardente; et Marguerite, que son amant a tuée, sera ensevelie dans sa blanche robe d'innocence, entre quatre cierges de cire.      Mais moi, la barre du bourreau s'était, au premier coup, brisée comme un verre, les

terminer la Révolution mettent sur pied la thèse de l'enlèvement du roi et par les décrets du 15 et 16 juillet le font innocenter et rétablir dans ses fonctions, ceci devant l’opposition des patriotes républicains et démocrates[27] — venus surtout des Cordeliers — bien décidés à réclamer la mise en accusation du roi et l’instauration d’une république[28]en déposant une pétition au Champ-de-Mars. Cette pétition antilégaliste fournit, le 16 juillet 1791, un prétexte aux bourgeois libéraux pour rompre avec

Paris évolue rapidement sous l’influence du militantisme radical. Celui- ci trouve son origine dans les sociétés populaires du début de la Révolution : le club des cordeliers, les diverses « sociétés fraternelles » de quartier et le club des jacobins6 après la scission et le départ des modérés. De nombreuses figures du club des cordeliers étaient déjà des marginaux avant 1789, et ils trouvent avec la Révolution une audience et une marge de manœuvre qu’ils n’avaient pas. Des courants radicaux naissent

accompagne Cunégonde chapitre 11, et le frère Giroflée qui se console avec des prostituées comme Paquette à Venise ce qui montre un monde trompeur et où échouent les apatrides au chapitre 24. Il y a d’autre part, les cupides qui sont le révérend père cordelier qui vole l'argent et les bijoux de Cunégonde, l'abbé périgourdin qui introduit Candide dans l'enfer parisien en espérant profiter de ses largesses au chapitre 22. Il y a enfin ceux qui, comme les jésuites du Paraguay, goûtent avec délice au pouvoir

Cherchant le plus souvent dans l'angoisse le sens de la vie, les témoins les moins optimistes que nous a donnés la litté­ rature du XVIIe si~cle, invitent l'homme ! se penser comme individu, ! assumer voire l élire la solitude. "Fuir le tourbillon" (Cordelier 1955) est une ex­ pression qu'affectionne Mme de Maintenon dans ses lettres, ponctuées d'aspira­ tions a un repos qu'elle accuse la vie de cour de lui nier sans cesse. Cette retraite lui permettrait d'équilibrer son rythme de vie entre la solitude

métropole où contes et nouvelles sont publiés au jour le jour dans les principaux quotidiens. Dès 1881, situé à Fécamp, "derrière l'église Saint-Étienne", "La Maison Tellier", une transposition à la Lautrec des "maisons" rouennaises de la rue des Cordeliers ; puis, le succès croissant, le débit s'accélère : cinquante par an entre 1882 et 1884, parmi lesquels Les Contes de la Bécasse, très proches par le sujet et l'esprit des Mémoires d'un Chasseur de Tourgueniev, que Maupassant rencontre alors fréquemment

écouter les poèmes appris par cœur. Il apprit à tel point qu’il créa un rythme bien à lui : le tercet. La poésie des trouvères ne se composant pas sans la musique, il dut alors l’apprendre malgré ses faiblesses. En 1249, il composa le Dit des Cordeliers pour commencer et mit ensuite son talent au service du clan universitaire de Paris qui résiste à l’implantation des ordres mendiants. Après cela, il ne resta plus que ses œuvres dans son répertoire où il y racontait sa vie misérable. Dans l’une