Corps de logis

de 3 avants corps côté cour et une rotonde en demi hors d’œuvre côté jardin. Il est accessible par le biais de 2 pont-levis (seul un est disponible aujourd’hui). Le corps est composé de 4 pavillons, deux carrés côté cour et deux rectangulaires côté jardins. Latéralement, ces pavillons paraissent jumelés, les bâtiments dits « jumeaux » étaient de tradition française. La composition générale de Le Vau est conforme aux goûts de l’époque, il y’a quelques exceptions tels que le corps double en

du Cher. De ce château féodal ne subsiste de nos jours que la tour des Marques. En 1493, Thomas Bohier, notaire et secrétaire du roi, se porte acquéreur du château le 3 juin 1493. Avec sa femme Catherine Briçonnet, ils vont faire construire le logis que nous voyons aujourd’hui. A la mort des Bohier et suite à la découverte de détournement de fonds, le domaine de Chenonceau devient une résidence royale mais François I délaisse Chenonceau au profit de Chambord. François 1er meut en 1547. Son

A la fin de Ve siècle, il devient officiellement une forteresse qui se divise en trois parties principales : le baile ou basse-cour, le logis du roi et le donjon haut de 36m, construit par Foulques Nerre, qui est la partie la plus importante de la forteresse. Le donjon reste une résidence royale jusqu'au XVe siècle et est abandonnée avec la construction du logis royale et transformé en prison d'état par Louis XI. Le donjon est la partie la plus ancienne et la plus intéressante du château, il fait

acculant ainsi à la ruine et les obligeant à lui vendre le restant de leur propriété. Il fait alors raser l'ancienne demeure ne conservant qu'un petit donjon qu'il fait réaménagé dans le style Renaissance en harmonie avec le nouveau château. Le corps de logis repose à la fois sur les fondations du premier château et sur les arches d'un ancien moulin, ce qui donne l'impression que Chenonceau a été déposé sur les eaux du Cher. C'est l'épouse de Bohier, Catherine Briçonnet qui supervise les travaux pendant

vengeresses et un mépris sans bornes à travers tout le poème. 1ère partie : Pourquoi disons-nous que c’est un poème réaliste ? 1) Le poème se présente comme un récit d’une affaire réelle : a. Le narrateur est présent dans le poème pour s’occuper du corps de l’enfant, donc il est un témoin sur scène. Tout ce qu’il décrit sont des chose vues par lui-même, ce qui nous fait convaincus par une force de témoignage. i . Le narrateur est pris à témoin par la grand-mère qui l’appelle « Monsieur » (vers 29)

dépit de l’irrégularité engendrée par les dispositions intérieurs. (8) On constate que sur l’ensemble des façades et tours du donjon, sont disposés des pilastres superposés à intervalle régulier et qui sont recroisés a chaque étage par un double corps de moulure horizontales. Au niveaux inférieur, on remarque les pilastres sont privés de chapiteaux. Cependant les moulures horizontales dominent sur les pilastres, sur l’ensemble du donjon. De plus elles sont soulignées au niveau de la terrasse par

chemise déchirée est le seul en action : il déshabille l’enfant -l’enfant dont le bas du corps repose sur la table -la grand-mère, seul personnage assis sur un fauteuil et dont le corps est dans l’ombre (on ne distingue bien que sa tête et ses mains dont l’une tient une main de l’enfant). Au sol : Il y a un vêtement. Le corps de l’enfant est soutenu par le personnage central dont la tête penchée est juste au dessus de la sienne et fait

dans une rue de deux balles dans la tête. Ramené chez lui, le corps sans vie est déshabillé pour être l'objet d'une rapide toilette. Le poème est donc tout près ici de la forme narrative : il " raconte " les suites d'un événement. Il forme en lui-même un épisode que le lecteur peut aisément, avec un peu d'imagination, replacer dans une chaîne d'actions : l'émeute, l'arrivée des soldats, les tirs, l'agonie de l'enfant, le retour du corps porté par des amis et, plus tard, les funérailles au petit matin

long pas d'échassier.     Je lui demandai :     "Que sont devenus les gens de là?"     Et il me conta cette aventure. II     Lorsque la guerre fut déclarée, le fils Sauvage, qui avait alors trente-trois ans, s'engagea, laissant la mère seule au logis. On ne la plaignait pas trop, la vieille, parce qu'elle avait de l'argent, on le savait.     Elle resta donc toute seule dans cette maison isolée si loin du village, sur la lisière du bois. Elle n'avait pas peur, du reste, étant de la même race que

divisée en deux niveaux pour la partie Sud-Ouest, là où est l'entrée principale donnant sur la haute-cour ou cours d'honneur, alors que l'accès Sud-Est donne sur la basse-cour ou cour des communs. La haute-cour, autour de laquelle s'articule le corps de logis, est bordée à chaque côté par une tour de quatre niveaux auxquels on accède par des escaliers rampe-sur rampe, le dernier niveau de la tour servant de poste de surveillance sur la vallée alentour ainsi que la Loire. Rythmée par des probables jardins