Corpus Molière Le Bourgeois Gentilhomme

l’immédiateté, que l’instant où on s’esclaffe ? N’a-t-il pas une raison plus profonde souvent implicite ? Le corpus qui nous est soumis est constitué de quatre documents qui sont censés faire rire. Un extrait d’un roman du XVI e siècle intitulé Gargantua de F. Rabelais datant du 1534. Les trois autres sont des pièces de théâtre de siècles différents : Le bourgeois gentilhomme de Molière datant du 1670, ensuite une pièce de E. Labiche qui a pour titre Un chapeau d’Italie, du 1851; enfin une pièce

Le corpus qui nous est présenté comporte quatre extraits de textes théâtraux : Le Bourgeois Gentilhomme (de Molière, 1670) ; On purge bébé (de Feydeau, 1910) ; La cantatrice chauve (de Ionesco, 1950) ; En attendant Godot (de Beckett, 1952). Sur quels ressorts comiques jouent ces scènes ? Nous allons analyser les différents comiques des textes. Dans ces textes la situation est comique : un adulte se retrouve dans une position d’enfant ; un maître qui croit en savoir plus que sa bonne mais qui finalement

Enfin, Molière, à travers le personnage de Nicole, acte III du « Bourgeois Gentilhomme », prouve que le fou rire est bien le résultat d’une situation particulière. Au regard de ces illustres observateurs, une question est soulevée : le rire est-il purement mécanique ? Par quels processus est-il initié ? Nous répondrons, dans un premier temps, en relevant les conséquences physiologiques du rire, puis en présentant une zone cruciale du déclenchement : le cerveau Les auteurs de ce corpus soulignent

Les fonctions du comique au théâtre Question sur corpus : Pour ce corpus, nous disposons de trois extraits de pièces de théâtre : le premier est un extrait du Bourgeois gentilhomme, acte II scène 4, écrit par Molière en 1670. Le deuxième est un extrait de On purge bébé, écrit par George Feydeau en 1910. Et le dernier, est un extrait de la pièce de théâtre d’Eugène Ionesco : La Leçon, écrit en 1951. Dans les trois textes, la relation entre les personnages semble être la même. A chaque fois

faire rire, de nous distraire et de nous faire réfléchir sur la vie et sur nous-même. Cette fonction de la comédie, distractive et pédagogique est illustrée par notre corpus qui comprend trois extraits de comédie qui s’échelonnent du 17ème siècle à nos jours. Notre corpus contient un extrait du Bourgeois gentilhomme écrit par Molière en 1670, Un chapeau de paille d’Italie de Labiche rédigé en 1851 et enfin de la tragique comédie de La Cantatrice Chauve écrit par Ionesco en 1950. A cet ensemble s’ajoute

registres employés dans les textes A, B et C. Quelle est la visée de l’auteur dans chacun de ces textes ? Le corpus propose trois textes théâtraux appartenant à deux registres différents : les registres comique et tragique. Le texte A, extrait du Bourgeois Gentilhomme, une des nombreuses comédies de Molière, appartient au registre comique : il met en scène, dans ce passage, M. Jourdain, un bourgeois qui se prend pour un noble, et qui est victime d’un subterfuge. La visée de cette scène est de faire rire

Ce corpus est constitué de trois scènes de trois comédies classiques de Molière : Le Misanthrope en vers et deux en prose le Malade imaginaire et le bourgeois gentilhomme. Ce sont les 3 dernières scènes de ces comédies au cours desquelles l’intrigue se dénoue. Pourquoi peut-on parler de dénouements de comédies ? Quels sont leurs points communs et différences ? Nous aborderons tout d’abord le thème du mariage communs a ces trois scènes, nous verrons dans un deuxième temps comment certains protagonistes

particulièrement au débat d’idées. En tant que dialogue, le théâtre se prête au débat d’idées. Importance du dialogue argumentatif, forme vivante, héritière du dialogue philosophique. Analyse des scènes du corpus : Giraudoux et Dumas fils. Faire référence également aux scènes argumentatives chez Molière, Le Misanthrope, sur l’amitié, où chaque personnage, Alceste et Philinte, défend sa thèse. La double énonciation théâtrale : derrière le personnage, c’est le public qui est visé. Les idées s'incarnent

Ce corpus présente une scène tirée de la pièce classique Le Bourgeois gentilhomme (1670) écrite par Molière, ainsi que deux autres extraits de pièces plus contemporaines : la pièce caricaturale et critique de son époque On purge bébé de Georges Feydeau (1910) ainsi que le drame comique de Ionesco, La Leçon (1951). On retrouve le caractère comique chez les trois auteurs. Nous étudierons donc les différents procédés employés : le comique de gestes, le comique de mots, puis le comique de caractères

d’écriture. Le premier texte est une scène issue de l’acte II de l’œuvre de Molière, Le Bourgeois gentilhomme paru en 1670. Cette pièce se situe à l’apogée de la période littéraire dite « Classique » qui correspond à la seconde moitié du XVIIème siècle. A cette époque les auteurs étaient soumis à de nombreuses règles, visant à respecter la bienséance du spectateur. Dans cette pièce Molière se moque d’un riche bourgeois qui désire imiter le comportement de la vie des nobles. Le second extrait est