Corpus Rêve

parut en avril 1857. A sa sortie le livre fait l’objet d’un procès retentissant pour atteinte aux bonnes mœurs. Il s'agit d'un extrait du chapitre 12 de la deuxième partie de Madame Bovary de Flaubert. On assiste dans ce passage au rêve de voyage d'Emma Bovary, rêve qui coïncide avec son projet de départ en compagnie de son amant. Flaubert a expliqué, dans une préface, que son ambition en écrivant Madame Bovary, était d'en finir avec sa période romantique. Ainsi fait-il, dans ce roman, une critique

touche a l’inconscient et intéresse beaucoup freud : il sagit du domaine du rêve .dénué de sens pour les savants de l ‘époque , pour freud c’est pourtant tour le contraire : le rêve est essentiel a la vie de l’humain . le reve possède un sens : il est l'accomplissement d'un désir. Il a pour fonction de satisfaire le rêveur.. Selon Freud, le rêve est l'accomplissement d'un désir inconscient. Son sens doit être interprété. Le rêve se présente alors comme un moyen de connaître la névrose. Ils sont nécessaires

esclave de ses instincts par un acte de volonté - La théorie freudienne de l’inconscient nie le sujet libre et autonome tels que l’ont pensé Descartes, Kant, ou Sartre Idée 2 : l’inconscient ne peut être connu rationnellement - pour Freud, le rêve, les actes manqués, les lapsus sont « comme des messages » de l’inconscient qu’il appartient au psychanalyste d’interpréter. - Peut on être sûr que l’interprétation n’est pas purement subjective ou imaginaire ? Idée 3 : on peut se connaître soi

point de départ est les rêves d’un jeune séminariste qui a l’impression d’avoir une double-vie suite à la vision d’une femme lors de son ordination. A la suite de cette vision, le jeune prêtre rêve la nuit de sa vie amoureuse avec cette femme. Des hommes d’Eglise essayent de le raisonner mais rien n’y fait, le rêve continue d’exister. Ces rêves semblent tout à fait plausibles ce qui donne au fantastique toute sa dimension dans le sens où le lecteur peut ainsi hésiter longuement sur le caractère ces rêves :

halo
lumineux
jaune
sur
le
chien
 
 Bande
son
:

 • Voix
des
deux
hommes
 • Reprise
du
fond
musical
de
la
première
séquence,
lourd,
inquiétant

 
 Bilan
 La
séquence
2

donne
l'explication
de
la
première
séquence,
elle
fait
le
lien
avec
la
scène
onirique
 des
chiens,
le
rêve
récurrent
de
Boaz
depuis
2
ans,
20
ans
après
les
faits.

 • La
 scène
 présente
 tous
 les
 fils
 conducteurs
 :
 le
 Liban,
 le
 début
 de
 la
 guerre,
 Sabra
 et
 Chatila.

 • Elle
annonce
le
motif
du
film:
l'oubli,
la
mémoire.

 • Elle
présente
le
contexte
et
les
personnages

artistique * Un monde d’illusion « Comme si c’était vraie » notion d’illusion théâtrale « les rêves qu’on fait quand on dors » (thème du rêves) + la nuit crédulité des spectateurs qui vont prendre la pièce pour vraie * Le sommeil et le rêve * Porteur de vérité l’homme qui ignore tous du monde viens chercher la verité de l’illusion du théâtre avec ici de apparences perceptible par le sens « l’œil voit , l’oreille entend » cela montre la verité accessible par « l’esprits »

sommeil : à partir de 1924 avec la découverte de l’EEG par Hans Berger Existence de corrélations entre les différents états de vigilance et les modifications de l’activité électrique cérébrale * 1953 : Aserinski et Kleitman découvrent le sommeil de rêve et sa traduction électrique * Sommeil : état complexe. Il ne s’agit pas d’une mise en veilleuse de l’activité mentale et physique, mais d’un réel « état second » où toutes les fonctions biologiques sont modifiées de façon rythmique : température

toujours dans le Centre saint Paul Ainsi Ludovic éprouve-t il qu’il est solitaire dans ce monde Ludovic recourt au rêve pour réaliser son désir refoulé ; mais «le rêve, l accomplissement du désir n’est donc pas une fin en soi, mais un moyen d’élimination traumatique. Ludovic s’enferme dans les rêves pour alléger son traumatisme, voilà pourquoi, il se fait des illusions : il rêve d’un père imaginaire idéal dont il a espéré être le fils ; mais ce père n’a rien à voir avec le père réel. André Gide

la partie sombre, ce qui est plutôt paradoxal, car dans tout tableau, c'est le sujet présent dans la plus claire qui est mise en avant. On peut faire une comparaison avec le rêve : En effet, un détail de notre rêve peut être l'objet d'une analyse psychanalytique très importante, alors que le sujet le plus important du rêve peut être sans intêret, d'un point de vue psychanalytique. L'angle de vue du peintre est différent des représentations habituelles : On peut constater que le point de fuite

peut le voir dans la scène 6 où les bannis se retrouve clandestinement. De plus, la nuit est liée au monde onirique et surnaturel. Elle devient alors un espace onirique où la réalisation des pulsions et des rêves devient possible. La frontière entre rêve, illusion, réalité et cauchemar est difficilement perceptible, parce que la nuit trouble les repères ; ainsi l'imagination a une emprise plus grande sur l'être, et elle s'oppose alors à la perception distincte permise lors de la journée. On le voit