Cortex

oestrogènes est bien moins importante sur le cortex , sur le quel ces hormones se fixent peu . Or, au cours de l'évolution, le cortex est la région du cerveau qui a le plus tendance à se développer. En conséquence, chez l'Homme et les primates par rapports aux autres mammifères, l'influence hormonale sur le comportement sexuel devient de moins en moins important . La testostérone aussi pour le male. L'humain est moins sensibles à ces hormones car le cortex est développé .

contrôle visuelle l’illusion disparait La perception du monde visuel n’est pas une photographie mais une interprétation de la réalité construite par notre cerveau et particulièrement par le cortex visuel 2 principales étapes de traitement d’informations visuelles Au niveau de la rétine (œil) Au niveau du cortex visuel (SNC) Les limites de la première étape de traitement des informations visuelles Images formées par la rétine : Inversée 2D Zone vide : tâche aveugle Zone centrale : Fovéa

Présentation PowerPointChapitre 19 – Le stress, une adaptation de l’organisme Le stress aigu correspond aux réponses normales et ponctuelles d’un organisme à un agent stresseur d’origine biologique (infection, …), physique (bruit, chaleur, …) ou sociale (passage d’un examen, …) Lors d’une phase de stress aigu on note notamment une augmentation de fréquence cardiaque, corrélée à une augmentation de sécrétion d’adrénaline; suivies d’une augmentation de sécrétion de cortisol. Origines

tumeurs cérébrales. Ces lésions ont permis de mettre en évidence une carte des fonctions cérébrales : 4 lobes principaux du cerveau : Lobe frontal Lobe occipital Lobe pariétal Lobe temporal Les personnes qui présentent une lésion dans le cortex occipital présentent comme symptôme des troubles de la vision alors que les yeux sont parfaitement fonctionnels. Si la lésion est uniquement du côté droit, la personne va avoir des troubles dans leur hémi-champ gauche et inversement car il y a un

début des années 1960, le MFB est un faisceau d’axones qui part de la formation réticulée, traverse l’aire tegmentale ventrale, passe au niveau de l’hypothalamus latéral et continue jusqu’au noyau accumbens ainsi qu’à l’amygdale, au septum et au cortex préfrontal.. Le MFB est composé de voies ascendantes et descendantes, incluant en majorité des voies dopaminergiques. Le système dopaminergique mésocorticolimbique est l’une de ses principales composantes. 35 Le jeu de l’ultimatum 36

habillage/déshabillage V. Histologie : existe-t-il un marqueur pathognomonique de la MA ? 3 évènements pathogènes sont à prendre en considération : Atrophie du cortex, Plaques séniles, Dégénérescence neurofibrillaire En comparant deux hémi cerveaux (patient sain vs patient MA), on observe une augmentation de la taille des ventricules, une réduction de la taille du cortex ainsi qu’une destruction de l’hippocampe chez le patient MA Sur le plan neuroanatomique, la MA est définie par : Existence de plaques échogènes

synaptique transmission excitatrice (glutamate) transmission inhibitrice (GABA) 3. Facteurs trophiques NGF BDNF 4. Protéines d’adhésion cellulaires cadhérines (N-CAM) intégrines 5. Cytosquelette actine myosine MAP, protéine Tau (MAPT) Les neurones du cortex ou hippocampe ont un grand nombre de synapses (plusieurs milliers). Les capacités d’activités cérébrales seront diminuées, ce sont ces synapses qui forment les réseaux essentiels aux activités cérébrales. Tout au long de la vie des contacts synaptiques

générer un sentment de claustrophobie ou de malaise et donc fausser les résultats du test. 16 Définition Objectifs Outils 1er résultats Voies de recherche Limites L’EEG   Cette méthode est basée sur le fait que l’activité des neurones du cortex cérébrale entraine une variation de champs électrique enregistrable par le billet d’électrodes placées au niveau du scalp. On parle alors de cartographie et de potentiel évoqué. 17 Définition Objectifs Outils 1er résultats Voies de recherche

centres nerveux indépendants mais qui est sous la dépendance du cortex cérébral. (thalamus qui trie les infos et les dirige vers le cortex cérébral, hypothalamus qui participe dans les réponses neuro végétatives, corps strié) * cortex cérébral : à la périphérie (= substance grise) : partie la plus subtil du cerveau, c’est là où on prend conscience, on harmonise les réponses, on les rectifie. Si on regarde de très près le cortex cérébral il est possible de distinguer des zones (=aires) qui sont

auditives centrales. Leur anatomie est très complexe. Pour simplifier, les informations auditives contenues dans le nerf sont traitées tout au long de leur parcours en passant par plusieurs étages de relais pour atteindre finalement l’aire auditive ou cortex auditif primaire, région du cerveau qui s’occupe de l’audition. Les quatre premiers étages, situés dans le tronc cérébral, sont :  Les informations auditives arrivent ensuite dans le cerveau au niveau du thalamus auditif ou corps genouillé médian