Cosette

brusquant comme le montre le complément circonstanciel de temps « tout de suite » (l.48). Pour obliger la jeune femme à donner l’argent, il fait un chantage en jouant sur le registre pathétique, lorsqu’il affirme qu’il « mettr[a] à la porte la petite Cosette toute convalescente […] qu’elle crèverait si elle voulait » (l.48 → 51). Il joue ici à nouveau sur le contraste entre la douceur et la méchanceté. Ensuite, nous voyons que Fantine est enfermée dans ce monde hostile. Tout d’abord, elle passe son temps

de retrouver Cosette, mais il apprnd qu’un jeune homme a été pris pour lui, c’est-à-dire pour Jean Valjean, et accusé d’avoir volé un petit garçon savoyard. M. Madeleine se dénonce pour que l’accusé soit libre, mais s’enfuit. On le rattrape à Paris net on l’envoie aux Galères, mais s’enfuit à nouveau. Il retrouve Cosette et l’emmène à Paris, où ils s'installent dans un couvent grâce a un vieil homme à qui l’ancien forçat a sauvé la vie qui travaille comme jardinier là-bas. Quand Cosette à environ quinze

sont eux exploités. Dans le texte 2, Victor Hugo montre que les adultes « se sert d’un enfant ainsi qu’un outil » (v. 25) ils sont utilisés et exploités par les adultes, c’est là aussi une forme de maltraitance des enfants. Dans le texte 3, la jeune cosette est une camériste, elle « était rouée de coups, cela venait de la femme ; elle allait pieds nus l’hiver, cela venait du mari » (l. 36) la figure de style de la ligne 39, nous montre que cette jeune domestique est exploitée par ces employeurs. Ces

Jean Valjean, du retour du bagne jusqu'à sa mort. Autour de lui gravitent les personnages dont certains vont donner leur nom aux différents tomes du roman, témoins de la misère de ce siècle, misérables eux-mêmes ou proches de la misère : Fantine, Cosette, Marius, mais aussi les Thénardier (dont Éponine et Gavroche) ainsi que le représentant de la loi Javert. Tome I : Fantine [modifier] Dans ce tome s'entremêlent deux destinées : celle de Fantine et celle de Jean Valjean. Le livre commence par

Rédaction Cosette est une petite fille mince est jolie. Depuis l'âge de trois ans, elle vit en pension chez la famille Thénardiers, des aubergistes. Elle est maltraitée et battue. Comme chaque soir, elle se rendait à la source d'eau afin de ramener de l'eau. Elle s'apprêtait à rentrer, elle était seule, elle avait peur. Cosette porter un seau, il était très lourd, le poids était insupportable. Elle avait de plus en plus peur. Soudain le poids du saut semble aussi léger qu'une plume elle leva

mauvaise situation ; n’ayant pas sa fille a ses côtés et un travail épuisant et à faible revenus elle perd de son charme et se fatigue, M. Madeleine la recueilli chez lui mais il sait qu’elle est sur son lit de mort. Il lui fait la promesse de cherché cosette chez les Thénardier

Cosette était laide. Heureuse, elle eût peut-être été jolie. Nous avons déjà esquissé cette petite figure sombre. Cosette était maigre et blême. Elle avait près de huit ans, on lui en eût donné à peine six. Ses grands yeux enfoncés dans une sorte d’ombre profonde étaient presque éteints à force d’avoir pleuré. Les coins de sa bouche avaient cette courbe de l’angoisse habituelle, qu’on observe chez les condamnés et chez les malades désespérés. Ses mains étaient, comme sa mère l’avait deviné, « perdues

| |sa fille Cosette en garde chez des aubergistes de Montfermeil, les | | | |Thénardier, afin de pouvoir trouver du travail. | |Cosette |[pic] |[pic] |Cosette -de son vrai nom Euphrasie- est confiée par sa maman Fantine aux| |

rencontre une famille d'aubergistes qui ont recueilli la petite Cosette. Fille, d'une mère célibataire malade qui avait confié son enfant en attendant des jours meilleurs.Les Ténardiers, se servent de Cosette comme "bonne à tout faire" dans des conditions déplorables.Après avoir arraché la petite Cosette au couple Thénardier, Jean Valjean s'installe à Paris et prend le nom de Fauchelevent.Devenu un homme honorable, il élève Cosette dans les meilleures conditions.Mais c'est sans compter Javert (l'inspecteur

nous montrer comment pardonner (Monseigneur Myriel à Jean Valjean après avoir voler son argenterie). Il la pardonner mais en échange Jean Valjean a promis de devenir un homme honnête. Dans le livre on voit aussi comment la famille qui prend soin de Cosette (fille de Fantine) se serve de l’enfant pour demander de l’argent à la mère. C’est cruel. Mais Fantine est l’image d’une mère qui aime sa fille et qui va même vendre ses cheveux et se faire arracher les dents pour se faire de l’argent est l’envoyer