Cosette

Les Misérables Introduction : 1°) Le sujet : Je vais vous présenter «Les Misérables » de Victor Hugo,à travers l’ histoire d’ un personnage en particuliers celui de Cosette ainsi que le contexte social en lien avec le titre du roman. 2°) L’auteur : Victor Hugo est né le 26 février 1802 à Besançon. Son père s’appelait Léopold( né à Nancy en 1773 et mort à Paris en 1828), il était un officier dans l’armée de Napoléon 1ER. Sa mère s’appelait Sophie( née en 1772 et morte en 1821

Misérables, un des romans les plus populaire de la littérature française. C'est un roman à la fois historique, social et philosophique. Le passage étudié est le troisième tome de la série; Fantine, jeune fille-mère, malade, décide de laisser sa fille Cosette à la famille Thénardier, en attendant des jours meilleurs. C'est la première apparition du couple Thénardier, l'auteur se focalise donc sur leur description. Comment Victor Hugo s'y prend-il pour dresser un portrait assassin des Thénardier ? Dans

au tour de Jean Valjean, ancien forçat, depuis sa sortie de prison en 1815 jusqu'à sa mort, en 1833, dans les bras de Cosette et de Marius. Mais autour de Jean Valjean, apparaissent aussi les destinées d'autres misérables ; Fantine, ouvrière obligée de confier Cosette, sa fille, à des inconnus, les Thénardier qui la traiteront comme un esclave. Marius, qui tombe amoureux de Cosette, et qui s'engagera sur les barricades lors de l'insurrection de 1832. Gavroche, gamin de Paris, qui sera tué, en chantant

le personnage de roman Lycée Louis de Broglie – Marly-le-Roi – Année 2013-2014 – 1ère S 1 Texte A : Victor Hugo, Les Misérables, 1862. La mère de la petite Cosette, Fantine, se trouve dans une extrême misère après avoir été renvoyée de l’usine de M. Madeleine. Les Thénardier, chez qui sa fille est en pension, lui racontent que Cosette est malade afin de lui soutirer de l’argent. Elle en vient à vendre ses dents pour subvenir aux besoins de sa fille. 5 10 15 20 25 Fantine jeta

plus de difficultés financières pour nourrir sa fille Cosette, qu’elle a été obligée de confier à un couple de gens malhonnêtes et rusés, les Thénardier. Pour payer les frais d’une maladie inventée par ces derniers, Fantine doit vendre ses cheveux, puis deux dents. Les deux dents étaient arrachées. Elle envoya les quarante francs à Montfermeil[1]. Du reste c’était une ruse des Thénardier pour avoir de l’argent. Cosette n’était pas malade. Fantine jeta son miroir par

les Thénardiers prennent Cosette et utilisent l'enfant pour extorquer plus d'argent de Fantine, et les collègues de Fantine la mettent a la porte pour l’indécence. Elle souffre pour tous les actes répréhensibles que les autres ont fait. Ce n'est qu'en dernier recours qu’elle se tourne vers la prostitution et c'est juste pour le bien de son enfant. L’histoire de Fantine montre que la pauvreté n'égale pas nécessairement la malhonnêteté. L’enfant illégitime de Fantine, Cosette, est un exemple de l'endurance

enfin se prostituer pour aider sa petite Cosette (les Thénardier sont des escrocs en plus => encore plus pathétique).               B- Le roman témoin de l'époque * Au xixe siècle, le roman voulait être un miroir de la société : dénonciation des injustices sociales. Hugo dénonce la misère dans Les Misérables, à travers plusieurs personnages touchants et vivants. Ce ne sont pas des types ; ont leurs défauts et leurs qualités => ressemblent au lecteur. Cf. Cosette, Fantine, Valjean… * Lorsque le roman

écrit par Victor Hugo en 1881. Dans cet extrait La mère de Cosette négocie avec La famille Thénardier pour qu'ils gardent sa fille ,afin qu'elle soit la plus heureuse possible, en attendant de gagner de l'argent et de pouvoir élever sa fille elle même. Dans cette extrait du roman l'auteur fait référence a des faits réels, l'abandon des enfants en raison d'une misère trop grande. En effet au début de l'extrait la mère de Cosette veut laisser sa fille aux Thénardier car leurs filles ont

habile pour les arnaquer, ce qui provoquait chez lui un énorme rire gras quant avec la Thénardier ils en avaient entourloupé un de plus. Il passait sa journée avachi dans le fauteuil du salon, une bouteille de rouge à la main à ricaner en regardant Cosette balayer et en lui aboyant des ordres. Son visage coupé par une mystérieuse et grande balafre était pustuleux et parsemé de petites coupures rouges dues au rasoir qui le faisait jurer. Son large nez écrasé avait la forme d’une pomme de terre, et

qu'il est très déçu de s'être fait voler sa pièce. J'ai été ému au moment où l'étranger offre la poupée à Cosette, en effet à la page 133/134, vous dites : « Tiens c'est pour toi. L'étranger paraissait avoir les yeux pleins de larmes. » On voit bien que vous avez fait en sorte que ce moment soit triste et émouvant. Par contre, je n'ai pas aimé le moment où la Thénardier envoie Cosette chercher de l'eau au puit en pleine nuit. Par exemple à la page 117, vous écrivez : « La peur lui était revenue