Cosette

l'amour : amour chrétien sans concession de Mgr Myriel qui, au début du roman, demande sa bénédiction au conventionnel G (sans doute l'abbé Grégoire3 ) ; amours déçues de Fantine et Éponine ; amour paternel de Jean Valjean pour Cosette ; amour partagé de Marius et Cosette. Mais c'est aussi une page de la littérature française dédiée à la patrie. Au moment où il écrit ce livre, Victor Hugo est en exil. Aidé depuis la France par des amis qu'il charge de vérifier si tel coin de rue existe, il retranscrit

portrait de Cosette est fait par un narrateur omniscient. Composition et définition de omniscient : Omni=tout, scient=sait ; qui sait tout. Il est dans la tête de tous les personnages, il connaît leur passé, leurs sentiments, leurs pensées. Ici, il sait l’âge véritable de Cosette et ses habitudes, il est dans la tête de Fantine. Le narrateur omniscient fait également des commentaires, il donne son opinion afin de créer un sentiment chez le lecteur (ici de la pitié pour Cosette). II) L’organisation

qui laisse entendre qu’on ne peut pas la guérir, puis il y a également le thème de la nostalgie lorsque Cassou évoque Cosette et sa mère Fantine : « Aux fées rencontrées […] je vais racontant Fantine et Cosette L’Arbre de l’école », il s’agit de deux personnages pauvres et pathétiques du roman Les Misérables de Victor Hugo, roman dans lequel les personnages principaux dont Cosette et Fantine mais aussi Gavroche (dans le premier extrait) symbolisent la misère et la souffrance. De plus, on retrouve

et romancier avec les miserable -1862-. son engagement contre napoleon 3 et le second empire est sans faille : exilé a guernesay, il écrit en 1853"les chatiments". il défend aussi les faibles : les enfants exploités par des adultes cupides, comme cosette par les thernardier et les femmes réduites a la prostitution comme fantine sa mère. cette dernière réduite a la misère vend son corps afin de payer la pension de sa fille. dans cette extrais elle acquiert une un dimension allegorique puisqu'elle

petite Cosette, des griffes des aubergistes Thénardier, et se dissimule avec elle dans un couvent. Quelques années plus tard, le jeune Marius tombe amoureux de Cosette. L’insurrection se prépare. Javert, surpris à espionner, est arrêté, mais Jean Valjean lui sauve la vie. « Déraillé », il se suicide. Le petit Gavroche meurt héroïquement sur les barricades. Jean Valjean sauve Marius, sans connaissance, à travers les égouts de Paris. Marius découvre qui est Jean Valjean et, ayant épousé Cosette, l’éloigne

Valjean, ancien forçat qui a tenté de se racheter en élevant une orpheline, Cosette. La jeune femme et son époux Marius retrouvent le héros dans ses derniers instants. ! 1 Quand un être qui nous est cher va mourir, on le regarde avec un regard qui se cramponne à lui et qui voudrait le retenir. Tous deux, muets d’angoisse, ne sachant que dire à la mort, désespérés et tremblants, étaient debout devant lui, Cosette don- nant la main à Marius. D’instant en instant, Jean Valjean déclinait

Ce geste va bouleverser sa vie. A partir de ce moment, il se consacre à faire du bien autour de lui. Il recueille Cosette, une malheureuse, exploitée par sa famille adoptive. Il l'éduque et l'aime comme sa fille. L’histoire est donc centrée sur des personnages faisant partie de la classe ouvrière.Comme Fantine, jeune femme abandonnée par son amant, par qui elle a une fille nommée Cosette. Pour subvenir à ses besoins, elle va chercher du travail en laissant sa fille aux Thénardiers. Elle mourra de faim

problème qui est l’argent et le manque de biens matériels. Dans Les misérables, Fantine, pour subvenir aux besoins de sa fille est prête a tous même à vendre ses cheveux et ses dents et ainsi rembourser ses dettes aux Thénardier qui gardent sa fille Cosette. Sa misère peut être comparée à celle de Gervaise dans L’assommoir qui meurt de faim et de froid et qui est tombé dans l’enfer de l’alcool. Le peu qu’elle gagnait, elle le dépensée dans de l’alcool pour oublier ses problèmes. Elle est même prête a

Cette petite grande âme venait de s’envoler. II/ Dans ces phrases, relève les compléments d’objet et donne leur nature et leur fonction précise. 1. Marius voulait que Gavroche porte sa lettre à Cosette le lendemain matin. 2. Gavroche décida de porter cette lettre et de présenter les hommages de Marius à Cosette. 3. Il remit le portefeuille dans sa poche puis appela Gavroche. 4. Marius ramassa le cadavre de Gavroche et l’emporta dans l’auberge. 5. Marius posa le corps sur la table et demanda à ses amis

le tableau de Caspar David Friedrich. En effet, la femme est dans une pièce, seule, pensive et effectue certainement un monologue interne. Deuxièmement, les narrateurs utilisent des verbes d’états. Dans le texte d’Hugo par exemple : « Cosette éprouva » « Cosette ne savait pas » (l.1, 6). Ces verbes permettent encore une fois au lecteur de comprendre le ressentit du personnage. De plus, certains narrateurs utilisent aussi des verbes de perceptions ainsi qu’un champ lexical des sens. Dans le texte