Costume trois pièces

Le costume du 13ème siècle D’après Kantir, capitaine de l’Ost impérial 1ère partie Préambule Ce document a pour but d'aider les amateurs de Moyen Age qui souhaitent se confectionner un costume proche de ce qui se faisait à la fin du 13ème siècle. Sans prétention d'exhaustivité ou de rigueur historique, ce document s’appuie fortement sur les documents cités en annexe que vous pouvez acheter pour une étude complète. Cette première partie décrit les sous-vêtements et le costume civil, bases

Le résultat net, entre ces deux années, est passé de perte à bénéfice. La société Décor’Ameubl va mieux. J’approfondis, p. 26 Activité 1 : analyse des coûts d’un costume pour homme, p. 26 Compétence visée : C 4.1.1 Identifier les coûts et le prix de vente 1 Je calcule le coût de revient pour la confection des costumes en complétant l’ANNEXE. ANNEXE Tableau de calcul du coût de revient Montants 1 Prix d’achat Tissu 3 000 × 5 × 53 € = 795 000 € + Charges d’achat Fournitures

 Nous allons étudier trois mises en scènes au sein de ce corpus, Phèdre par Patrice Chéreau en 2003, Phèdre de Villégier en 1991 ainsi que Phèdre de Rauck Christophe. A travers ces différentes mises en scènes, à des années d’intervalle, nous comparerons les décors de chacune ainsi que le contraste entre lumière et obscurité et également les costumes des personnages. En matière de décor, la seule indication qu’ait donnée Racine pour Phèdre se situe en I, 3, 156. L’auteur indique

sources d'inspiration sont variées : l'antiquité ; l'histoire de l'Angleterre ; le théâtre Elisabethain s'inspire des faits historiques récents soit de la vie quotidienne ; des sombres histoires de sorciers qui forment de sanglantes tragédies. Les costumes sont somptueux et permettent de situer socialement le personnage. Les accessoires sont d'un réalisme parfait. Chaque couleur à sa fonction : une couleur pour la fonction symbolique ainsi que une couleur pour la fonction dramatique. Le théâtre Elisabethain

d’un genre nouveau, rompant complètement avec les préceptes classiques. Le projet est toutefois titanesque et, de fait, injouable sur scène. La préface de Cromwell fait cependant date et pose les fondations du romantisme français. Trois ans plus tard, et après la censure de Marion

De Marivaux Mise en scène David Géry Avec Philippe Fretun Marie Matheron Donatien Guillot Julie-Anne Roth Geoffrey Carey Daniel Martin Eléonore Joncquez-Simon Pierre-Benoist Varoclier Kevin Lelannier Scénographie Jean Haas Lumières Pascal Sautelet Costumes Cidalia da Costa Maquillage-coiffure Sophie Niesseron Musique Jean Paul Dessy Bande son David Géry Assistante à la mise en scène Stéphanie Leclercq Conseil distribution Laura Koffler-Géry Production Espace des Arts, Scène nationale de Chalon-sur-Saône

claires indications scéniques destinées au futur metteur en scène. Autant celles-ci peuvent être rare et discrètes, comme dans de nombreuses pièces du théâtre classiques où elles se contentent d’annoncer les entrées, sortie et déplacements des personnages ; comme par exemple dans la scène d’exposition de Monsieur de Pourceaugnac de Molière, où les trois seules didascalies « à Nérine », « se retirant dans le fond du théâtre », « accourant à Julie » restent insuffisantes pour monter un spectacle

suivre les instructions et la pièce de Molière à la lettre. Il y ajoute d'autres interprétations aux scènes ainsi que des éléments dans le jeu. En effet, les costumes utilisés sont contemporains avec Sganarelle en clown sont t-shirt rayé blanc et rouge, un don juan habillé de cuir, un don Luis aux allures mafieuses dans son costume trois pièces, Mathurine et de Charlotte sont les mêmes avec leurs robes bleus, cela peut nous faire pensé aux personnes de notre temps moderne. Puis il y a aussi le pauvre

avancées technologiques, des jeux de lumières et de sons. Les costumes, maquillages et décors sont aussi importants et souvent très utilisés. Le public Aspect rituel On peut relever de nombreux automatismes, voir rituels théâtraux réalisés par les spectateurs. Ils applaudissent au début et à la fin de chaque scènes. Ils ne parlent pas et se permettent juste de rire à certains moments mais cela dépend des genres et registres des pièces. Aspect magique Une certaine magie s’opère sur le

populaire étrusque, lui inspire certains jeux de scène. Il exploite remarquablement les situations qui font rire, témoin « sa petite marmite » où se démène un avare volé, digne ancêtre d’Harpagon. Ses successeurs (Térence, par exemple) composent des pièces plus littéraires, les togatæ (d’après le nom du manteau romain, la toge.) Pourtant, c’est par une toute autre voie que Rome va influencer le théâtre comique à venir : celle de farces improvisées, les atellanes, d’où naitra la commedia dell’arte.