Cotte de mailles

cracher dans un puits pour faire des ronds » è vulgaire, éphémère esprit léger, frondeur de L. qui se moque de tout provocation gratuite 3. Un personnage inoffensif à monte derrière le duc le fait qu’il pose beaucoup de questions sur la cote de maille montre qu’il ne connaît pas/ questions inappropriées à inexpérience par rapport à la guerre le fait qu’il veut la percer d’un stylet (rapport métonymique) position qu’il occupe à la chasse à il est derrière è On s’appuie sur l’implicite, la connotation

IV, scène 9 La pièce se passe à Florence, au XVI siècle. Lorenzo de Médicis a décidé d'assassiner son cousin Alexandre de Médicis, duc de Florence, qui gouverne en tyran. Le moindre détail de ce meurtre a été prémédité : Lorenzo a volé la cotte de mailles d'Alexandre, a arrangé un faux rendez-vous galant avec sa tante Catherine Ginori pour attirer Alexandre dans sa propre maison où attend en embuscade Scoronconcolo, un ami dévoué à Lorenzo. Lorenzo erre dans les rues, attendant l'heure du rendez-vous

hache était destinée au soldat à pied. Seuls les chefs portaient un casque de bronze. Le reste de l’armée portait un casque de fer. Quelques guerriers gaulois combattaient torse nu ceux-ci étaient les plus valeureux, les autres portaient une cotte de maille. L’armée gauloise était peu organisée et peu entrainée mais elle était réputée pour avoir de très bon guerriers qui inspiraient la peur sur le champ de bataille. Ils portaient d’immenses boucliers de longues épées, chant de guerre au moment d’engager

 reste  délicat.  Outre  leur  prix  souvent  très   élevé  au  mètre  (ne  vous  étonnez  pas  si  votre  galon  vous  coûte   plus  cher  que  votre  ensemble  chainse-­‐cotte-­‐surcot)  ils  offrent  des   décors  peu  compatibles  avec  la  période  médiévale.  Cherchez  dans   les  enluminures  ou  les  musées  (comme  le  musée  de  Cluny  où   quelques

à la bataille d'Hastings en 1066 portaient des cottes de mailles qui couvraient les genoux et les coudes, et qui étaient fendues sur les côtés et le devant pour rendre les mouvements plus aisés. Sur la tête, ils portaient un casque conique en métal avec une protubérance verticale qui protégeait le nez. Ils étaient équipés d'un bouclier oblong qui les protégeait à cheval de la tête au pied. 29 Cotte de maille La cotte de mailles (haubert), une tunique plus ou moins longue faite d'anneaux

homme libre, le serf d’aucun homme ne pas être excommunié, ne pas être banni de l’église Le Templier On se fait toujours l’image d un templier en long manteau blanc. Il peut s’agir d’un manteau, ou d’un surcot en tissus portée au dessus de la cotte de maille du chevalier. Il n’y avait que les Templier issus de la noblesse qui pouvait porter le manteau blanc. Ceux issus de la paysannerie portaient un manteau en bure, une grosse étoffe que portait aussi les moines. L’origine de la croix vient de la

robe simple est composée d’une cotte, d’un surcotte et d’un manteau. * La cotte : pièce de vêtement qui remplace peu à peu la chainse. On la porte sur la chemise. Elle est assimilable à une chemise. La cotte matelassée est à l’origine du pourpoint. La coupe des vêtements est de plus en plus soignée et variée. Les manches des vêtements sont souvent évasées sauf celles de la cotte. La cotte est de + en + ajustée. * Le surcotte : porté au dessus de la cotte. * Les aumônières vont servir

sortir à minuit » I.1 « Tu as une jolie jambe » III.5 « le diable m’emporte, tu as une tante qui me reviens » II.5 Un Don Juan : A la Marquise Cibo qui lui tient un discours politiques. Intérêt=les femmes. Tante de L. II.6 L. vole sa cotte de maille, sans que A ne le soupçonne. « Je suis sûr qu’il m’aime moi » Naiveté d’A Produit de L., ne doute jamais de lui. « il faut pourtant que j’aille au bal, chez les Nazi» I.1 « le duc sort, vêtu en religieuse, tous deux masqués » I.2

engagé par le seigneur pour jouer de la musique. Le bouffon était vêtu d'un costume bicolore avec des grelots et faisait rire l'assemblée. Ils étaient présents lors des festins. Le maître-artisan et sa dame La "chainse", les chaussures et la cotte constituaient la tenue de travail de l'artisan. Par temps frais, il met sa houppelande, manteau à coupe large. Les habits quotidiens des femmes étaient simples et adaptés à leurs occupations. Les paysans Ils fabriquaient eux-mêmes leurs habits

une cotte de mailles. Il est composé d’environ 30 000 anneaux et pèse de 10 à 14 kg. En dessous, le guerrier a enfilé un gambison, (veste matelassée) dont le rôle est d’amortir les chocs. La tête est protégée d’un bonnet de laine, sur lequel on met le camail, (grande cagoule de mailles) qui couvre aussi la gorge et les épaules. Au moment du combat, le chevalier coiffe son heaume, le casque fermé, qui protège tout le visage, le cou et la nuque. Les jambes étaient équipées de chausses de mailles et