Couleur des cheveux

théories psychanalytiques p.17 A. Théorie de Maslow p.17 B. Les besoins primaires et secondaire p.17 C. Les motivations selon JOHANNES p.18 D. Classifications de produits de consommation p.18 X. Les couleurs et les surfaces de la publicité p.19  Les couleurs p19  Les surfaces p.19 XI. Le type de publicité p.20 XII. Les techniques utilisées p.21 XIII. L’expression verbale du message p.21 XIV. Le contenu de la publicité p.22 XV. Conclusion

shampooing est un marché extrêmement segmenté avec des propositions multiples, adaptées à la nature des cheveux (gras, secs ; lisses, frisés…), leur couleur (blond, brun, …), l'âge (enfant, adulte) et encore plein d'autres critères (cheveux colorés, produit naturel, …). Cette « sophistication » progresse sans cesse et le linéaire des shampooings s'allonge, ressemblant de plus en plus à une mosaïque de couleurs et d'étiquettes. A travers cette étude, nous pouvons nous demander comment la segmentation sur

ethnique est né aux Etats-Unis en 1900 avec une certaine Madame C.J.Walker, esthéticienne de métier et de couleur noire. Son constat :  Les femmes noires veulent s’intégrer dans la société américaine à dominante blanche  Elles utilisent des méthodes barbares pour défriser les cheveux  Elles n’hésitent pas à les repasser au fer chaud. Son idée :  Lancer un peigne chauffant capable de défriser les cheveux crépus Son objectif :  Répondre aux besoins d'une communauté particulière LE PRODUIT : Elle

   I) Le récit poétique d’une aventure surnaturelle a) Un poème narratif  Le poète en contemplant son verre de vin en écoute « la chanson lente d'un batelier » (v. 2). Ce dernier célèbre l'apparition de « sept femmes » aux « cheveux verts » (v. 3‑4). Effroi du poète : il tente de conjurer leur puissance maléfique en s'entourant de jeunes filles ordinaires, « blondes » (v. 7), inexpressives (« Au regard immobile », v. 8) et sages (« aux nattes repliées », v. 8). Progression dans

une nouvelle silhouette : la minceur devient une référence et pour la première fois, le bronzage devient populaire. Elle porte les cheveux courts à la garçonne, qu’elle cache sous un chapeau cloche pour les sorties. La robe chemise fait une entrée très remarquée dans la garde-robe : elle est déclinée par de nombreux créateurs et est portée par toutes dans des couleurs vives. La mode des années 20 voit naître une petite révolution : pour la première fois, les femmes dévoilent leurs jambes. La robe

découverte et son évolution au sein de l'histoire de l'art. Ensuite, nous replacerons l'artiste dans l'histoire de l'art et dans son mouvement artistique. Enfin, nous analyserons l'œuvre et nous nous attarderons sur son sujet, sa composition, ses couleurs, ses matières et l'utilisation particulière de la technique choisie. Présentation de la technique et de l'artiste : A) La technique : Tout d'abord, nous allons voir l'origine du mot. Le mot sérigraphie vient du latin sericum, la soie

peinture murale à fond bleu | | | |hanches, cuisses, |et motifs japonisants | | | |cheveux, aisselles) | | | | |-          le silence du | |

plan ? quelle famille de typo ? quelle prise de vue ? quel plan ?...) Les couleurs Les lignes de lecture (ligne de force et ligne directrice) 2 - Interprétation de l’image (connotation) Choix de la nature de l’image Choix de la prise de vue Choix de l’echelle Signification des lignes de lecture Signification générale des couleurs Thèmes abordés (éléments iconographiques par rapport au thème, signification des couleurs par rapport au thème, signification de l’emplacement des éléments...) 3

est légèrement axé sur le bas. La femme est de type caucasien, sa peau est rose pâle (chair), ses yeux verts clairs. Les traits de son visage sont saillants : notamment son nez, ses pommettes et ses lèvres. Ses clavicules ressortent également. Ses cheveux, châtains, semblent mouillés. Ils sont tirés en arrière, derrière ses oreilles et continuent dans le dos, laissant ainsi son visage à découvert. Elle ne sourit pas et ne semble pas maquillée. Sa poitrine est largement découverte par la robe. Cette

appelées galerus, car la longueur de leurs cheveux n'est pas suffisante. Au milieu du Ier siècle, les coiffures restent assez simples. La coiffure en nid d'abeilles apparaît sous l'empire et durera longtemps. Le jour des noces, les femmes portent des nattes (tresses de cheveux entrecroisés). Les riches se font faire des boucles à l’aide d’un fer a friser par des esclaves spécialisés appelés cinerarii. Elles peuvent aussi se faire faire des soins ou se faire parfumer les cheveux par des psecas. Les esclaves appelés cinflones teignent