Couleur primaire

dans toutes les communes de France. Ces deux Symboles nationaux, auxquels nous pouvons ajouter la Marseillaise, rende la République vivante, actuelle et unie. Dufy retient de la rue sa dimension à la fois festive et animée : masse de personnages de couleurs, chatoiement coloré des drapeaux, agitation du 14 juillet. AUTEUR ( biographie) : Raoul Dufy (1877-1953) Peintre, dessinateur, graveur, céramiste, créateur de tissus et de tapisserie… D’abord influencé par l’impressionnisme, puis par le fauvisme

évoquant la paix. Ils sont fixé face à face dans la chapelle de Vallauris. Les dimensions sont les mêmes : 10m x 4.70m. Ce que je vois, ce que je comprends. La guerre Les couleurs dominantes sont le bleu(pour la paix), le noir (pour l’enfer) et le rouge (sang). Dans l’ensemble le paneau est foncé, les couleurs sont violentes. Sur le sol rouge sang, la Guerre, représentée par une sorte de diable cornu, se déplace dans un char aux roues carrées. Dans une main, un glaive ensanglanté, dans l'autre

tournant radical et déterminant s’opère en peinture, l'invention de l'abstraction. L'art abstraite est une œuvre qui ne représente pas le réel. L’œuvre abstraite met en relation des éléments comme des points des lignes des formes géométriques et des couleurs. L’œuvre abstraite s'oppose à l'art figuratifs. Les artistes ne cherchent plus à représenter la réalité. La peinture abstraite ne fait référence qu'à elle-même 1910 KANDINSKI PEINT LA PREMIERE AQUARELLE ARTISTIQUE 1913 MONDRIAN SIMPLIFIE LA FIGURE

petites touches de peinture de couleurs primaires (rouge, bleu et vert) et de couleurs complémentaires (orange, magenta, jaune, etc.). On perçoit néanmoins des couleurs secondaires, par le mélange optique des six différents tons seulement1. Cette technique est née en France notamment sous l'impulsion de Georges Seurat (1859-1891) puis de Paul Signac (1863 - 1935), à la fin du xixe siècle Lorsque le tableau est regardé à une certaine distance, les points de couleur ne peuvent être distingués les

directeur artistique...). La charte graphique s'applique à définir : 1. Le logotype : ses couleurs définies grâce au nuancier Pantone, sa position dans la page sur tous les supports (papier à en-tête, documents officiels, plaquettes, dossier et chemises, camion, etc.), la zone d'exclusion (espace protégé minimum autour du logo), ses déclinaisons sur des fonds blancs et de couleurs. La charte peut également définir les interdits : par exemple, l'interdiction d'apposer le logo sur un fond

réalisé en raison de la guerre d’indépendance espagnole. II) Description La technique utilisé est l’huile sur toile. Cette œuvre est concrète et le trait est net. Les lignes sont courbes. Les couleurs dominantes sont le rouge (couleur primaire), le noir et le bleu (couleur primaire). Les couleurs sont fades, discrète et froides. La source de lumière est naturelle (lumière du jour), elle est discrète et assez obscure. La scène présentée est la charge des Mamelouks (mercenaires égyptiens combattant

l’attention on distingue une mise en valeur d’une couleur par rapport à l’autre, pour ma part j’y vois une mise en valeur des pavés blancs par rapport au noir telles des colonnes se dressant. Il y aurait donc une dualité de valeur entre les deux couleurs, le blanc et le noir. En synthèse additive, le blanc est perçu par l’œil comme étant l’association équilibrée des 3 couleurs primaires, à l’inverse du noir qui se distingue par l’absence de couleur primaire. Le blanc serait donc un ensemble équilibré

une canne. Plusieurs couleurs sont présente dans cette œuvre L’œuvre est de tendance irréaliste et la forme accordé à la représentation est arbitraire. Premièrement, c’est une œuvre très coloré qui contient des couleurs primaires comme du jaune et du bleu, secondaires comme de l’orange, du vert et saturées, comme par exemple dans l’espace autour de la femme au niveau de sa tête où se trouve du jaune. Il y a une dominance de couleur froide et quelques endroits où des couleurs chaudes sont présentes

jambes du Chaperon Rouge),arrondies,..). Son illustration ressemble à un schéma allant à l'essentiel c'est à dire faisant abstraction des éléments décoratifs, ou d'ornements habituellement observables dans les représentations du Chaperon Rouge (foret,couleur,..). KDL va à l'essentiel. De plus, chaque forme géométrique composant cette œuvre, semble se chevaucher, se juxtaposer de façon ordonnée les unes sur les autres. On a donc un assemblage composite. 2) Analyse sémantique de l'œuvre

recourir à deux méthodes. Il pouvait relever son pinceau et laisser les cernes des objets en réserve de façon à souligner leurs volumes. L'autre possibilité était au contraire de faire un contour noir pour délimiter les espaces réservés à chaque couleur. Dans ce tableau, Pissarro a eu recours aux deux techniques. Par exemple, on voit clairement que les contours du muret ou des maisons sont laissés en réserve. Cependant, les contours du tronc de l'arbre au centre et de la femme sont repassés en noir