Couloir de la mort

vingt-quatre heures d’un condamné à mort pendant lesquelles il écrit sur les cinq semaines qu’il a vécu depuis son procès jusqu’au moment de son exécution. On ne connait par contre ni l’identité de cet homme, ni son crime. Tout au long du récit, il nous montre des flashbacks de sa vie d’avant tout en continuant à écrire sur son quotidien en prison ; il nous partages ses craintes et angoisses. Le récit se termine avec son exécution sous une foule dénouée de sentiments qui voit sa mort comme un spectacle.

Pour ou contre la peine de mort ? Plus de la moitié des pays du monde, soit 112 pays, ont choisi d'abolir la peine de mort. Le total des pays non abolitionnistes s'élève à 83. En 2002, au moins 1526 prisonniers furent exécutés et 3248 personnes condamnées à mort. La peine de mort fait l'objet de nombreux débats, où de solides arguments s'entrechoquent. Les « pour » et les « contre » défendent fermement leurs avis. Est-ce la solution de condamner à mort quelqu'un ayant commis un crime, aussi odieux

Gaule Romanisée Les élites Gauloises se rallient à Rome et à l'Empereur. Son culte est diffusé dans tout l'Empire. Cette période s'appelle la période Gallos Romaine. Biographies: Auguste Empereur (23/09/-63 - 19/08/14) supposé hériter à la mort de ce dernier mais rencontre vite des difficultés. Il s'allie à Antoine, ainsi qu'à Lépide pour former le second Triumvirat. Dans ce partage de l'Empire, Octave hérite de l'Occident. La paix instaurée dure quelques années mais Octave récupère les terres

aimée… » La mort d'Yvonne : la fin de la grande aventure, mais pas la fin du rêve L’extrait représente le scène de désolation dans le domaine d’Yvonne de Galais que précède la morte de cette femme. Récité par le narrateur, l’extrait montre que le protagoniste, même ayant déjà commence la vie adulte, garde ses impressions naïves d’adolescence (le rêve). I. La fin de l’aventure a. De-romanisation de la mort Le premier passage introduit une atmosphère de désolation de la maison où Yvonne est mort. Le

TEXTE 1 : LA MORT DU ROI TSONGOR Chap1 la grande nuit blanche du roi Tsongor, 1e fragment Laurent Gaudé est un auteur contemporain du XXIe siècle. Auteur et dramaturge, il reçut le prix Goncourt en 2002 pour sous le soleil des Scorta et en 2004, le prix Goncourt lycéen pour l’œuvre que nous allons étudier, la mort du roi Tsongor. L’extrait suivant raconte que lors de la marche de Katabolonga, porteur du tabouret d’or, d’ordinaire calme, ce-dernier rencontre des ouvriers chargés de préparer la

qu'ils ont vu. Le procureur réclame contre lui la peine de mort. Après la plaidoirie de son avocat, Claude prend la parole pour expliquer qu'il a été torturé moralement et que son geste est une réponse aux provocations subies. « - Je suis un voleur et un assassin : j'ai volé et tué. Mais pourquoi ai-je volé ? Pourquoi ai-je tué ? Posez ces deux questions à côté des autres, messieurs les jurés. Les jurés le condamnent à la peine de mort. Résigné, il ne se pourvoit en cassation qu'au dernier moment

habitude d’écrire un journal mais je ferai avec. Mon codétenu s’appelle Jean de Paris. C’est un littéraire… Déjà que je suis condamné à mort je dois en plus cohabiter avec un littéraire… En plus, il n’arrête pas de parler ! C’est pire que la mort ! 30 Septembre 1981, Cellule 13, Deux jours que je suis là et j’ai déjà envie d’aller dans le couloir de la mort ! Jean n’arrête pas de me parler de comment déjà ? Ah oui Racine, Molière etc.… Je trouve la littérature complètement inutile ! Malgré ça

juridiction d'un État membre, si celui-ci est condamné à la peine de mort dans son pays d'origine. Elle le justifie en déclarant que les conditions entourant la peine de mort ("syndrome du couloir de la mort", angoisse, délai d'attente...) constituent une torture, ce qui est contraire à l'article 3 de la Convention Européenne des droits de l'homme. (arrêt Soering c/ Royaume-Uni, 7 juillet 1989). Depuis, la jurisprudence a évolué et la peine de mort est de plus en plus autonomisée. Elle devient un acte de torture

« tirés », « grillages », « barreaux », « prison », « prisonniers ». On remarque l’absence de personnes, les rues désertes, on passe de l’esprit d’enfermement à l’esprit de mort. Nous en venons dans un deuxième temps à la métaphore du tombeau avec le champ lexical de la mort : « os », « mort », « froid de mort », « noires », « tombeau ». Toute la description ne retranscrit que du négatif : elle parle de chiens « au poil hérissé », de fenêtre « fermée par des grillages », de maisons « abandonnées »

allait vers ses 18 printemps était plus jeune que Cratos de 2 ans, son aîné. Ils habitaient dans une petite maison  à l’extérieur du village appelé Cranatos. C’était un petit village du fin fond de la Grèce, très éloigné de la capitale Athènes. Après la mort de leurs parents, leurs grands-parents les avaient recueillis, élevés et plus tard leur avaient appris à se débrouiller seul dans la nature. Ils n’étaient pas très fortunés mais n’avaient jamais manqué de rien. Aegis et Cratos étaient très liés, ils