Couloir de la mort

Blacks ! Ce mot me fait courir un frisson par tout le corps. Ce mot me couvre du maillot numéro 14, celui d’un trois- quart aile droite trempé de sueur adolescente. J’ai 18 ans, et mes quatre- vingt-cinq kilos sont lancés à 40 km/h dans un étroit couloir bordé d’une demi-tonne de muscles et de rage tentant de m’empêcher d’écraser derrière la ligne adverse cet œuf de poule que je porte sous le bras. La ligne française en blanc et la ligne Black en noir, un jeu d’échecs sur tapis vert. Un jeu d’échecs

automatiquement est le sort des juifs dans les camps de concentration justement appelés camps de la mort. Même si certains révisionnistes veulent nous faire croire que cela n’a jamais existé ; nul doute que l’on promettait à ces pauvres victimes une douche bienfaisante, revigorante, bref un bien être certain et qu’au final c’est la mort qu’elles trouvaient. De même certains sadiques les faisaient courir dans un couloir bordés de nazis en armes qui leur tiraient dessus, leur promettant une bonne surprise s’ils

merveille des merveilles Le miracle annoncé plus haut ? 199 – Premier jour Des draps blancs dans une armoire Des draps rouges dans un lit Un enfant dans sa mère Sa mère dans les douleurs Le père dans le couloir Le couloir dans la maison La maison dans la ville La ville dans la nuit La mort dans un cri Et l’enfant dans la vie. 152 – L’orgue de Barbarie Moi le joue du piano disait l'un moi le joue du violon disait l'autre moi de la harpe moi du banjo moi du violoncelle moi du biniou.

[…]Ascenseur, couloirs, sol blanc. C’est le même carrelage mais blanc avec de petites nervures grives. » Il sait lire et compter mais dans sa tête uniquement car il ne parle pas. Il ne veut pas grandir, il veut retourner dans le ventre de sa mère et pour cela, il refuse entre d’autres choses, de parler. Puis à l’âge de 6 ans, il commence à parler, uniquement à sa mère. Un jour, toujours à 6 ans, il annonce à sa mère qu’il a tué Julien : « Maman, dis-je d’un air solennel et grave, Julien est mort ! Il est

Claire. Dans ce village il y a eu un meurtre tout à l’heure: Rodrigo Paestra a tué sa jeune femme et son amant. Il est fugitif et la police le cherche. Un orage estival se forme. Tous les hôtels sont pleins et les quatres doivent dormir dans les couloirs de l’hôtel. Marie observe, que Claire et Pierre ont une aventure. En même temps elle voit Rodrigo Paestra sur le toit. Elle peut comprendre son motif pour avoir tué sa femme et son amant. Elle est dans la même situation. Marie boit beaucoup de Manzanilla

Le corpus de texte présenté à l’étude est composé de deux extraits de pièce de théâtre, écrites dans le cadre de l’objet d’étude qui correspond à la mort et à sa représentation au théâtre. Il s’agit de la scène 7 du deuxième acte de Les mouches écrite par JP Sartre en 1943 et d’un extrait d’Agamemnon d’Eschyle datant de 458 avant J.-C. Ces deux scènes sont toutes deux inspirées des mythes antiques des Atrides et représentent une scène meurtrière. Nous nous demanderont dans un premier temps quels

l’action dans l’air, dit-il laconiquement. Ça s’active dans le couloir. Hjelm, un peu hésitant, se mit à reproduire le modèle gestuel de Chavez. - Comment ça, "ça s’active" ? - Difficile d'être plus précis. Mais la voix de Hultin va résonner dans ce bureau d’ici trente secondes, sois-en sûr. Qu’est-ce que tu dirais d’un petit pari ? Paul Hjelm secoua la tête. Il contempla son CD et son livre, jeta un dernier coup d'œil au tas de feuilles mortes dans la cour, fit un effort pour se réveiller et prendre

deux morts. Elle a ensuite atteint plusieurs villes de l’état causant la mort de 11 personnes. La tornade ne s’est pas arrêtée là : a traversé le fleuve du Missouri rejoignant l’état de l’Illinois. A 14h30 elle est arrivée dans la ville de Gorham effaçant totalement cette dernière et tuant 34 personnes. Elle a continué d’avancer vers le nord-est à une vitesse de 117 km/h et a ravagé l’école du village de Maunie provoquant la mort d’un enfant. C’est également dans cet état qu’on a pu compter le plus

poème, le poète met en évidence la disparition de la chaleur humaine en personnifiant un troupeau animal : « nous allions la tête courbée, sous les nuages en troupeau de gros animaux […] chercher en soufflant la tiédeur des genoux ». C’est un amour mort, coulé, noyé « Entre nous déployé comme l’air d’un vieux naufrage ». Jacques Réda joue également avec l’aspect esthétique de son œuvre. Le visuel est révélateur de « l’espace », la distance qui s’est creusé entre les deux amants puisque dès lors qu’il

La peine de mort en France I. Les différentes pratiques de la peine de mort II. La peine de mort dans le monde III. La peine de mort en France IV. Débat éthique sur la peine de mort V. Conclusion Introduction Les adversaires de la peine de mort guillotineraient volontiers les partisans de la peine de mort. » René Barjavel La prise de position d'un homme devant la peine de mort est pour moi un test absolu de son niveau de civilisation. » Maurice Chapelan Problématique : Une