Count Basie

Les Benny Goodmand, Fletcher Henderson et Count Basie sont les stars de l’heure et se font entendre par le nouvel objet fétiche; la radio. Grâce à celle-ci, les groupes se font entendre dans toutes les villes des États-Unis. On danse sur des airs de swing Grâce au New Deal de Roosevelt, les Américains reprennent confiance au gouvernement alors que la prohibition est maintenant chose du passé. Des chansons tel que One O’Clock Jump du band de Count Basie font danser les jeunes couple dans les clubs

Hendricks et la vocalisation note pour note des solos d'Al Cohn, Zoot Sims, Stan Getz et Woody Herman. Annie Ross rejoint ensuite le groupe. Ils innovent dès leur premier album Sing a Song Of Basie en 1957. Non seulement, ils vocalisent les solos des musiciens mais aussi chacune des parties de l'orchestre de Count Basie grâce à la technique du re-recording. Cette tendance à l'évocation instrumentale de la voix sera poussée à ses extrémités par des chanteurs comme Al Jarreau qui maîtrise un éventail incomparable

taille sur le modèle des trois sections de trompettes, trombones et anches qui privilégie les solistes prenant des chorus intégrés dans des arrangements écrits au détriment de l'improvisation collective. C'est l'ère des big bands de Duke Ellington, Count Basie, Glenn Miller, Benny Goodman, avec un répertoire marqué par les compositions de George Gershwin, Cole Porter, Richard Rodgers etc. et les chansons de variété de Tin Pan Alley, qui forment l'ossature des standards de jazz. Les grands solistes de

contraintes en durée,nous n’aurions qu’une idée assez vague de ce qu’était le Jazz à ses débuts. La suite Enfin, après une petite parenthèse pendant les débuts de l’ère « Swing » des années 30 (Le plus célèbre et talentueux exemple est celui de Count Basie) qui coïncide avec la grande crise économique, le Jazz Nouvelle Orléans refait son apparition, souvent sous l’influence de passionnés comme le critique français Hugues Panassié qui dès 1938 réunit entre autre Sidney Bechet et Tommy Ladnier. Un peu

taille sur le modèle des trois sections de trompettes, trombones et anches qui privilégie les solistes prenant des chorus intégrés dans des arrangements écrits au détriment de l'improvisation collective. C'est l'ère des big bands de Duke Ellington, Count Basie, Glenn Miller, avec un répertoire marqué par les compositions de George Gershwin, Cole Porter, Richard Rodgers etc. et les chansons de variété de Tin Pan Alley, qui forment l'ossature des standards de jazz. Les grands solistes de cette époque sont

1980 - Live with Edmonton Symphonie 1993 - Live '93 1997 - Live At The Montreux Jazz Festival 2000 - Live At The Olympia 2000 2003 - Gospel Christmas with Voice of Jubilation Albums posthumes 2005 - Genius & Friends 2006 - Ray Sings, Basie Swings 2010 - Rare Genius : the Undiscovered Masters Analyse d'une des chansons de Ray Charles : Hit the road Jack Hit the Road Jack est une chanson écrite par Percy Mayfield et enregistrée pour la première fois en 1960 Elle fut popularisée

premières permissions, la plupart s’affichaient en Levi’s, des jeans vendus exclusivement aux militaires depuis 1942. Dans tout le pays, qui venait de subir cinq ans de rationnement, ces nouveaux objets, débarqués en même temps que la musique de Count Basie, Louis Armstrong ou Sidney Bechet via la radio de l’US Army, évoquaient une mystérieuse et délicieuse société d’abondance. - Le “Soft Power” qui diffuse ce modele culturel La domination americaine sur les marches internationaux de la culture

Orchester der 1920er Jahre, die in der Tradition der Theaterorchester und Bands für grosse Tanzveranstaltungen standen, waren der eigentliche Ursprung des typischen Swingorchesters der 1930er Jahre. Namen wie Benny Goodman (1909-1986), Duke Ellington, Count Basie (1904-1984), Jimmie Lunceford (1902-1947) u.a. bezeichnen die Ära, in welcher der Jazz die Rolle der populären Musik Amerikas einnahm. Die Swingmusik war in erster Linie ein kommerzieller Erfolg. Man identifizierte sie mit den grossen Bigbands jener

Miller. Count Basie : La plupart des musiciens de jazz prennent des surnoms. Count Basie ne vient pas de New York : il représente les big bands du sud-ouest, et plus précisément de Kansas City. C’est une ville importante, un grand noeud commercial. Beaucoup de bluesmen s’y produisent. Le jazz de Kansas City est fort influencé par le blues. Il a une section rythmique incroyable. Il utilise les riffs de manière systématique, voire empilée. Extrait : Jumping at the Woodside, de Count Basie. Le Woodside

du blues et jazz : un mouvement de balancement. Le Swing = style musical / le swing : mouvement rythmique. Orchestrations écrites, mélodies, rythmes à respecter, harmonies et accords consonants. De grands orchestres qui suivent des partitions : Count Basie Le be bop : mouvement « hot » (puisque le précédent était cool) des années 40 : on sort du consensus (il n'y plus un orchestre qui suit une partition) : on joue ce qu'on a envie, pour s'exprimer. C'est une rupture radicale avec le genre précédent